Ma bouche pour sucer

Touchée par le nombre de commentaires et de likes sur ce que je vous ai écrit sur mon petit cul j’ai décidé de récidiver avec ma bouche qui ne suce pas que des glaçons.

Ainsi donc j’imagine tout ce que je peux faire pour toi avec ma belle bouche à pipe. Enfin, si je peux te tutoyer. Je peux ? super, tu es un amour ! Tout d’abord tu dois savoir que je prends un soin particulier de ma bouche. En premier lieu mes lèvres sont pour toi toujours soulignées d’un rouge brillant qui les rend pulpeuses à souhait. J’ai des seins plutôt bien proportionnés. Ils tiennent tout seuls malgré un bon bonnet C, presque D et si je veux que tu lèves un peu les yeux sur mon visage il faut bien que je prenne soin de l’apparence de cette bouche qui elle aussi sera toute à toi. Derrière mes lèvres il y a deux rangées de petites dents nacrées. j’aime à penser qu’elle font un très joli collier autour de ta bite.

Si tu me sors dans un restaurant chic saches que je saurai me pendre à ton épaule pour déposer, légèrement indécente, un baiser mouillé sur ton cou. J’aime alors presser mes lèvres et les ouvrir légèrement pour passer, ni vue ni connue, le bout de ma langue et gouter ta peau. J’aime suçoter un tas de choses lorsque je suis avec toi en public. Cela peut être, distraitement une branche de mes lunettes pendant que tu me parles. J’aime aussi mordre ma lèvre inférieure pour montrer que j’aime le contact de ton pied sur mon mollet sous la table. Chaque fois que mes lèvres se ferment sur un aliment je prends soin à ce que tu puisse imaginer que bientôt je vais te sucer comme tu l’as rarement été. A cet instant tu ne sais pas encore ce dont je suis capable avec mes lèvres et ma langue mais tu as déjà compris que je suis une fille qui suce. Je te l’ai chuchoté juste assez fort pour que nos voisins de table l’entendent aussi : »J’ai très envie de ne pas prendre de dessert pour pouvoir monter dans la chambre. J’ai trop envie de te sucer ! »

Par dessus la table je peux prendre ta main et porter ton pouce à ma bouche. Je serre bien fort, aspire et tourne ma langue autour du doigt en te regardant droit dans les yeux. Demande vite l’addition que l’on passe aux choses sérieuses ! Cette fois pas d’ascenseur, ma chambre est au ré de Chaussée, du restaurant il n’y a qu’un grand couloir à traverser. Avant de nous retrouver seuls j’aimerais que tu me plaques contre la porte de la chambre pour me rouler un énorme patin. Je veux te dévorer les lèvres, embrasser à pleine bouche tendis que tu passes la main sous ma jupe pour remonter à ma culotte où t’attend ma chatte gonflée de désir. Je continue à embrasser, humide en haut comme en bas. J’aime tes doigts experts qui écartent le tissus pour s’introduire et me fouiller aussi habillement que je tourne ma langue dans ta bouche.

Mais comme du monde arrive dans le couloir et que tu es moins impudique que moi tu ouvre la porte et me pousse à l’intérieur. Tu t’assois sur le canapé de notre grande chambre et me laisse faire. A genoux par terre je déboucle ta ceinture et m’attaque à la fermeture éclair de ton pantalon. Je dégage vite ta queue pour la prendre directement en bouche. J’ai sucer ainsi, toute habillée, concentrée uniquement sur ta queue entre mes lèvres, Je lève les yeux vers toi, reconnaissante et soumise. Je fais ma bonne pute gratuite et, franchement, j’aime ça. J’aime aussi tes encouragements et ta main, ferme mais pas brusque sur ma nuque. Tu me dis que je suis belle, que tu n’attendais que moi, tu me dis que je suis celle, juste faite pour tes bras. Ah non, merde, ça c’est du Patricia Kaas, rien à voir. Bon allez, pardon, je me concentre, je m’applique et je suce. Toi tu m’encourages : »Bien, tu es une bonne petite chienne, continues comme ça, suce bien…Allez, plus profond ma salope, fait bien ta pute. Tu l’aime hein ma queue. »

Ca oui, je l’aime. Mais maintenant je la veux déjà dans ma chatte. Tout en continuant à sucer je défais à tâtons tes lacets et enlève tes chaussures. C’est moins facile que ça en à l’air de faire cela sans lâcher ton sexe turgescent de ma bouche. Je dois bien serrer les lèvres et aspirer. Tu te débarrasses de ta chemise et je baisse ma jupe sans m’arrêter de sucer. Parviendra-t-on à nous mettre nus sans que ta bite ne sorte de ma bouche ? Tu le sauras peut être demain, si je n’ai pas trop la flemme de t’en écrire plus.

si j’ai compris comment ça marche la nana ci dessous est connectée, il suffit de cliquer…