Les collants fins

Je suis nue juste en collants fins

Il faut les caresser longtemps

Tu peux me pousser dans un coin

Je suis à toi, prends tout ton temps

Mon con sous le nylon luisant

Bel abricot lisse et bombé

Ouvert sous tes doigts caressants

De mouille va tout imbiber

Poses la langue et puis les lèvres

Bientôt tu vas le déchirer.

Pour me prendre comme une chèvre.

Tu vas aimer me faire Bêler

Ma chatte offerte et dégoulinante

T’appelle, avide et frémissante.

Tu tires fort sur mes collants,

Les dents serrées, le souffle lent.

Je t’encourage, la voix rauque,

J’écarte mes cuisses sans honte.

T’enfonces deux doigts d’un coup brutal,

Ma bouche gémit, mon corps s’emballe.

Ton sexe dur, déjà dressé,

Frappe contre mes fesses cambrées.

Je te supplie de m’empaler,

De m’enfoncer sans me parler.

Ma peau colle au mur, dégrafée,

Je t’offre mon cul, vas-y, baise.

Fais-moi sentir que je suis rien,

Qu’une salope entre tes mains.

Et quand tu viendras, plein de haine,

C’est sur mon ventre que je t’entraîne.

Je veux ton foutre comme un collier,

Un bijou blanc à exposer.

Et quand tu pars, sans un regard,

Je souris nue dans le miroir.

Le con battant, encore sali,

Rêvant déjà de la prochaine nuit.