Jolie maman adultère baisée par son amant

Soir d’été, village côtier en Pays Basque. Avant goût de vacances en famille, résidence secondaire familiale. Plan cul trouvé sur mon site de rencontre préféré du moment. Désir qu’il me voit d’abord en épouse modèle avec mari et enfant. Lui indiquer la pizzeria où nous devons dîner en terrasse avant d’aller faire un tour dans la chaleur de fin juin. Le voir s’installer seul à deux tables de distance, mesures COVID obligent. Savoir qu’il va peut être bientôt me baiser si j’arrive à échapper à monsieur mon mari cette nuit. Robe légère et un joli corsage. Lancer de discrètes œillades Et faire semblant de m’intéresser à la conversation avec mari, belle sœur et beau frère aussi là.

Croiser, décroiser mes jambes. Toucher mes cheveux, mordre ma lèvre. Mes seins qui pointent sous mon corsage. Mon beauf qui me dévore du regard. Ma belle sœur qui me foudroie…Mon mari gêné mais fier que je sois belle à ses côtés. Les enfants, pour une fois sages au restaurant ! Bonheur simple des premières sorties post déconfinement. Retour des jours heureux comme dit notre président. Rencontre coquine et fellation aux toilettes compromise, trop risqué, configuration mal adaptée, fichus geste barrière et distanciation sociale ! Aller quand même aux toilettes pour quelques sextos et photos suggestives. Donner le nom de l’impasse faiblement éclairée où je peux le rejoindre quand nous aurons quitté la pizzéria. Impatience, dîner interminable, lever les yeux au ciel, gonfler les joues. Sucer furtivement mon majeur en le fixant dans les yeux au moment où tous regardent mon neveu qui fait le pitre. Refuser un dessert en espérant être suivie dans cet tentative d’écourter le dîner. Désert pour tous donc, sauf moi. Attente prolongée. Main de mon mari sur ma cuisse. Éviter de me raidir, le laisser faire en pensant à un autre. Un autre qui est à moins de cinq mètres…Improviser, saisir l’occasion d’écourter le dîner en glissant à l’oreille de mon mari que j’ai envie qu’on rentre vite se mettre au lit. Presser sa main sur ma cuisse pour me faire mieux comprendre. Sourire de la voir se lever pour aller payer directement au comptoir. Me délecter de son frère vert de jalousie qui enrage. Trouver ma belle sœur laide et grosse. Oublier mes lunettes de soleil dans leur étuis sous ma serviette au moment de partir. Ne m’en apercevoir qu’à mi chemin entre la maison et la pizzeria. Dire que je fais demi tour à pied et les rejoins à la maison. Refuser que mon mari m’accompagne, prétexter que s’il couche notre fille en arrivant  on peut se mettre au lit pas trop tard. Courir  , récupérer mes lunettes et filer vers la ruelle sombre où m’attend sagement mon plan cul. Premiers baisers sur la bouche, le moins de mots possible, juste l’essentiel, dire mon envie de faire ma chienne pour lui, l’inviter à toucher dans ma culotte pour constater comme je mouille. Douce jouissance d’un doigt qui glisse dans ma chatte. Prolonger le baiser pour le laisser trouver mon bouton sensible. Défaire son pantalon et m’agenouiller sur le trottoir pour sucer comme une vraie pute de rue. Penser que j’aurai les genoux rouge et qu’il faudra inventer une histoire de chute pour mon mari. Sucer jusqu’à ce qu’il jouisse et avaler son sperme tiède. Promettre de rejoindre mon nouvel amant dans deux petites heures à son appartement. Réajuster ma robe, recoiffer mes cheveux et rentrer à la maison le cœur battant. Casser un de mes talons juste avant d’entrer pour donner corps à mon histoire de chute dans la rue. Dire à mon mari que j’ai couru, jouir encore de la mine sombre de mon beau frère quand j’annonce que j’ai envie de me coucher tôt avec mon époux légitime. Dire bonsoir à ma belle sœur en ajoutant, théâtrale : « Bonne nuit très chers, je me dois de vous laisser, le devoir conjugal m’appelle… »

ouvrir en grand la fenêtre de notre chambre au prétexte de la chaleur jouer la femme lascive et déshabiller mon mari. Le laisser me caresser et penser qu’il est un autre. Me rassurer de savoir qu’il jouira vite. Le laisser venir sur moi, boucher les hanches en rythme et accélérer les choses avec un doigt dans son anus. Faire semblant de jouir en même temps que lui. Lui proposer un Rohypnol s’il veut profiter de sa nuit et assurer que je me lèverai si notre fille appelle. Augmenter un peu sa dose pour être sûre…Attendre qu’il ronfle, me rabiller et enjamber la fenêtre de notre chambre en rée de jardin pour filer vers mon rendez-vous nocturne pour enfin retrouver celui qui me fera jouir et défoncera sans retenue mon petit cul de jolie maman salope et adultère. Je rentrerai bien avant l’aube, fourbue, les fesses rouges avec quelques suçons à dissimuler. Mais heureuse et rassasiée pour un temps.

 

Post scrotum:

J’adore vos commentaires. J’y réponds presque toujours. Surtout quand vous écrivez ce que vous aimeriez me faire dans l’intimité…Ne soyez pas timides !

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