Du monde au balcon

C’est un fantasme que je n’ai pas eu l’occasion encore de réaliser. Être au balcon un après midi d’été sur une rue passante. Dans l’ombre un homme aussi caché qu’entreprenant…J’en ai fait un petit sonnet. Au passage si un lecteur dispose d’une telle configuration d’appartement je suis preneuse…

 

Accoudée au balcon, en jupe et talons haut

Je parle à un badaud, qui reluque mes seins

Caché par les rideaux, Tu as de noirs desseins

Tu caresses mon con, et glisse un doigt au chaud

 

C’est une belle journée, badine le badaud

Merveilleuse en effet, idéale pour bronzer !

Je mouille à ton doigté, ne cesse de minauder

Monsieur restez parler, je suis seule et j’ai chaud

 

Tu relèves ma jupe, et me prends en levrette

Et l’autre reste dupe, il me conte fleurette

A chaqu’aller retour, se balancent mes seins

 

Madame allez vous bien, demande l’homme en bas

Et si l’orgasme vient, je ne le montre pas

Pour me faire la cour, reviendrez vous demain ?

 

 

 

 

 

Sonnet pour une none un peu cochonne

L’un de mes derniers plan cul était en costume. J’ai essayé vous le relater mais sans succès. Ce que j’écrivais ne me satisfaisait pas. Je n’arrivais pas à rendre l’atmosphère de ce moment particulier. Alors j’ai décidé d’en faire juste un petit sonnet. J’aimerais bien que vous m’écriviez en commentaire ce que vous en pensez…

 

En costume de none, entre mes seins Jésus

Mes vœux d’obéissance, prononcés à l’église

Pour votre jouissance, me font à vous soumise

Quand  l’angélus sonne, l’heure à laquelle je suce

 

Votre main sur ma tête, écartez la soutane

Mes yeux levés vers vous, et votre queue bien droite

le rouge me monte aux joues, peur d’être maladroite

-« Prends ma jolie et tète, avant qu’elle ne se fane »

 

Faut-il sortir la langue, et vous lécher les couilles ?

Que je reste accroupie, ou que je m’agenouille ?

J’ai trop tergiversé, j’encoure votre courroux

 

-« Maintenant ça suffit ! Si tu n’sais pas sucer

Alors retourne toi, ma patience est usée ! »

Et c’est sur mon fessier, qu’ainsi pleuvent les coups