Rencontre sans lendemain pour une nuit sans fin

Rencontre sans lendemain. J’aimerais parfois que cette expression « rencontre sans lendemain » veuille juste dire nuit sans fin plutôt que plan cul clandestin et trop vite oublié. Hélas toutes les bonnes choses ont une fin et lorsqu’on a baisé toute une nuit à s’en arracher la peau on se retrouve parfois bien seule au petit matin dans un grand lit encore tiède de nos ébats avec ce bel inconnu qui restera, justement, un inconnu. Chaque rencontre sans lendemain est différente, chaque plan cul me fait découvrir de nouvelles étreintes, chaque orgasme est différent. Il n’y a pas deux peaux qui aient la même odeur, le même grain. Si j’étais célibataire je crois que même avec 365 nuits par an je ne pourrais en toute une vie de fille facile me lasser de faire de nouvelles rencontres coquines. Alors imaginez moi mariée, devant ruser pour me libérer une ou deux fois par mois. Sachez que si je ne fais (presque) que des rencontres sans lendemains ce n’est pas parce que je n’ai pas envie de connaître chacun de mes amants mais juste parce que j’ai plaisir à découvrir chaque fois de nouvelles sensations. Un plan cul est parfois très doux, parfois violent, souvent raté et vite oublié mais lorsque ce n’est pas le cas il est inoubliable et son seul souvenir me fait mouiller ma culotte lorsque je suis couchée à côté de mon légitime époux. J’ai pris l’habitude dans ce blog de raconter à chaque fois une rencontre sans lendemain dans le détail depuis la drague sur le net (ou dans la vraie vie) aux orgasmes les plus inavouables. Je veux changer un peu dans cet article dédié à la rencontre sans lendemain. Je vais donc, par petits chapitres, vous livrer dans le désordre et sans logique mes coup de cœur, de queue et mes émois de cette année scolaire si vite passée. J’espère que vous aimerez, j’espère qu’à me lire vous banderez (ou mouillerez), j’espère que vous me laisserez un commentaire, j’espère enfin que cela vous donnera envie de faire, vous aussi, de belles rencontres sans lendemain. Car plus nous serons nombreux et nombreuses adeptes de la rencontre sans lendemain, meilleures seront nos nuits calines.

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six profils actifs sur copine de sexe pour une rencontre sans lendemain

Ou faire une rencontre sans lendemain l’été ?

Pour moi le meilleur endroit pour faire une rencontre sans lendemain c’est, incontestablement, un bal musette dans un village ou près d’un camping le plus loin possible de chez moi. Loin de chez moi c’est primordial pour être certaine que je n’y suis pas connue et que j’éveillerai l’appétit des mâles sur place. C’était l’été 2016, presque un an déjà. J’avais décidé que je m’appelais Cerise et je portais une robe à poids. C’est moi qui l’ai dragué et invité à me faire danser. C’est moi qui l’ai entrainé vers un coin sombre entre deux maisons en pierre. C’est par contre lui qui a mis la main dans ma culotte pendant qu’il m’embrassait. Je mouillais tellement que ses doigts rentraient tout seuls. Je l’ai sucé accroupie car le sol était de graviers et je ne pouvais me mettre à genoux. Il m’a prise debout et j’ai mordu son épaule au sang pour ne pas crier quand il me faisait jouir. J’aurais voulu qu’il me rejoigne après à mon hôtel car je vouais plus que cette brève étreinte. J’imaginais mon petit cul défoncé et les ressort du lit qui couinent presque autant que moi. Mais ce soir il ne pouvait pas, il fallait qu’il s’organise, demain, sûr, il pourrait me rejoindre à l’hôtel, vers 10h ? J’ai dit oui, sachant que le lendemain je serai déjà partie. Je suis à consommer sur place ou à emporter mais pas à mettre au congélateur.


De vrais sites de rencontre dédiés à la rencontre sans lendemain ça existe ?

Forcément, pour vivre le frisson d’une rencontre clandestine et sans lendemain le premier réflexe pourrait être d’aller sur un site de rencontre spécialisé comme copinedesexe ou cinqasept. Pour une fille c’est très facile car il y a tellement plus d’hommes en recherche d’une rencontre sans lendemain que de fille que les sites n’ont pas besoin d’ajouter des faux profils d’hommes pour équilibrer le ratio homme/femme de ces sites. Bien sûr la contrepartie c’est que les hommes galèrent un peu plus. Même si les plus persévérant finissent par trouver on est bien obligé de dire qu’il y a beaucoup de déçus. Avec un peu d’expérience je peux vous affirmer que je n’ai plus vraiment besoin d’internet pour m’assurer des plans culs sans lendemain. Mais le gros intérêt pour moi d’internet c’est que l’on peut planifier, préparer la rencontre, allumer le mec avec le descriptif des préparatifs et accessoires que l’on compte utiliser.

Pourquoi je multiplie les rencontres sans lendemain ?

L’amant parfait n’existe pas. Et s’il existait ce serait sans doute ennuyeux et, peut être que je ne serais pas à la hauteur. Certains hommes sont très bon pour les préliminaires mais mauvais ou peu endurants lorsqu’ils sont bien au chaud dans mon minou étroit. D’autres savent me besogner comme des stars du porno mais n’ont aucune imagination pour instaurer une ambiance qui me fasse fantasmer. Multiplier les rencontres sans lendemain c’est, pour moi, l’assurance de vivre à chaque fois quelque chose de nouveau. Réussie ou ratée la rencontre sans lendemain est toujours une surprise. Et j’aime les surprises presque autant que les orgasmes. J’aime par dessus tout ce moment où mon plan cul me voit en vrai pour la première fois. En général il aime ce qu’il découvre. J’aime quand il ose enfin mettre sa main sous ma jupe. J’aime découvrir s’il est velu en bas du ventre. J’aime promener mes lèvres de son cou à ses couilles en trainant ma langue tout le long du chemin. J’aime une chambre d’hotel chaque fois différente. Un AirBnB original. J’aime quand il me consomme sur la table de la cuisine, être sur ses genoux dans un grand fauteuil club, tendre mon postérieur à sa main de fesseur agenouillée au pied du lit. J’aime te sucer alors que tu conduits, j’aime te sucer aussi quand tu es confortablement installé avec un verre de whisky ou sirotant une poire belle Hélène. J’aime que ta femme appelle sur ton portable, que tu lui réponde et lui raconte ta journée de boulo alors que je suis à califourchon sur toi et que je glisse ta verge dans mon con. Notre rencontre restera une rencontre sans lendemain mais elle sera surtout inoubliable.

jeune salope pour plan cul à 3

Mon fantasme d’initiation d’une jeune salope

Jeune salope, je dois l’honnêteté d’écrire qu’à plus de trente ans je ne peux plus me qualifier ainsi. Je suis jolie, ferme de partout et très coquine, ça oui. Mais comparée aux jeunes salopes dévergondées que l’on peut trouver sur le net ou dans la vraie vie j’ai conscience que je ne réponds pas exactement au même fantasme. Pourtant, avec une jupe à carreaux d’écolière de grosse lunettes et deux couettes je sais que je fais très bien illusion ! Pour en discuter en chat ou au lit avec mes amours (je préfère ce terme à amants) de passage, je sais que baiser une jeunette à peine entrée dans l’âge adulte est un fantasme récurent chez nombre d’hommes de tous âges. En évoquant le sujet je me suis vite rendu compte que j’avais ce même fantasme. Non pas de coucher avec un jeune puceau (très peu pour moi) mais plutôt initier une jeune salope aux joies d’une sexualité débridée et sans tabous. J’avais déjà eu des plans à trois mais toujours avec un homme et une autre fille déjà bien expérimentés question gaudriole.  Je voulais trouver une jeunette, non pas vierge, mais au moins débutante pour avoir le plaisir de l’offrir en cadeau coquin à mon amoureux de quelques jours pour un plan à 3 inoubliable.

Jeune salope débutante débusquée sur internet

Je suis toujours surprise de constater la diversité des profils que l’on trouve sur les sites de rencontres. C’est à s’y perdre, des sites sérieux comme e_darling hébergent des filles et des mecs qui n’ont pas froid aux yeux ni aux fesses alors que des sites plutôt orientés plan cul comme copine de sexe ont (entre les nombreux faux profils) des midinettes à la recherche d’un amour durable et sincère (sic) ! Je me voyais mal trouver parmi ces jeunettes presqu’innocentes la jeune salope en devenir que je rêvais de prendre sous mon aile pour une éducation sentimentale plus charnelle qu’intellectuelle. Comme toujours ma recherche se heurtait d’abord à des dizaines de faux profils et de dingues plus ou moins prostituées. Jusqu’à cet après midi crapuleux où nous surfions le net avec Jean Patrick nus sur le grand Lit de ma chambre d’hôtel. C’est par la boite mail que naquis l’espoir. Et l’espoir s’appelait Capucine, une lectrice encore lycéenne de mon blog ! Voici, sans les nombreuses fautes d’orthographe, le mail que m’envoyait cette délicieuse bachelière :

Bonjour Lucie,
Je suis une grande fan de ton blog. Je viens d'avoir mon bac ainsi que mes dix huit ans. Je ne suis, tu t'en doutes, pas très expérimentée mais pas vierge non plus ! Je voudrais te demander comment tu fait pour vivre de telles aventures. Moi mes "copain" ne m'ont jamais fait vivre le dixième de ce que tu décris. Et les rencontres sur internet m'ont toujours déçues. Si tu passes par Laragne Montéglin  un jour n'hésite pas à me faire signe...Au moins pour un café et une discussion entre filles !

C’était un mercredi, nous étions à Arles et j’avais annoncé à mon mari que je devais rentrer dans le Pyrénées le lendemain. Mais c’était aussi une semaine de canicule et je pouvais bien retarder mon retour d’un jour en prétextant un problème de boulo à mon mari tout en posant une RTT en douce auprès de mon boss. Pas très prudent mais jouable. Je poussais Jean Patrick du coude : »ça te dis un petit voyage dans les hautes Alpes, histoire de voir si on arrive à transformer une oie blanche en jeune salope dévergondée ? »

Une jeune salope en perspective

Chère Capucine,
Merci d'être fan de mon blog. Pour les aventures sexuelles hors du commun je ne saurais trop quoi te répondre. Sinon que tout n'est pas toujours aussi réussi que dans mon blog et que, surtout, je passe un temps fou à chatter, échanger par mail et trier les demandes sur les sites de rencontre avant de jeter mon dévolu sur un profil. Et même avec toutes les précautions que je prends pour un super plan cul réussi il y a au moins deux déceptions dont je ne parle pas ! Mais ne tournons pas autour du pot, si tu m'écris c'est que tu es ouverte au moins d'esprit. Je suis avec un "ami" de passage pas loin de ta région. Si tu veux on peut se voir demain. Mais je te préviens, après le café je compte bien que nous t'emmenions à l'hôtel !

L’approche était directe mais je n’avais pas envie de faire 300km pour me prendre un but une fois sur place. Sa réponse fut instantanée et aussi succincte que direct :

"Chiche !"

Je tenais ma jeune salope à initier. Jean Patrick, qui lisait en même temps que moi, bandait comme un âne. Je fermais le mac book et me jetais sur lui : »Ca te dis une jolie femme mariée avant de te faire la jeune salope que je t’offrirai demain ? » Sa queue qui s’enfonçait dans ma chatte me répondait que oui, ça lui disait. Ca lui disait même beaucoup.

Jeune salope à la terrasse d’un café

Le lendemain, après un trajet en voiture qui nous permis de nous exciter mutuellement en racontant par le menu tout ce que nous projetions de faire avec notre Lycéenne d’amour, nous arrivions sur la place de Laragne  sur les coups de 3 heures de l’après midi. En chemin j’avais réservé une Chambre dans un hôtel en précisant que nous arriverions dans l’après midi. Bien sûr j’avais choisi l’hôtel pas trop près pour préserver un peu de discrétion vis à vis de Capucine. Il y aurait encore une grosse heure de voiture mais je ne voyais pas trop comment faire mieux pour préserver la réputation de notre jeune salope. Jeune salope qui nous attendait à la terrasse d’un café de Laragne. Elle était telle que sur les photos envoyée mais avec un je ne sais quoi de plus qu’une simple image sexy ne peut transmettre. Simple et nature, pas de maquillage ou très peu. Jean moulant, Converses et Vrai Polo Lacoste rose bonbon. Ca c’est pour l’emballage, dessous on devine un corps juvénile avec de belles formes. Ecrire qu’elle a le corps d’un jeune mannequin serait mentir. Capucine n’est ni grande ni petite, 1m70 environ, peut être moins, châtain clair . La décrire comme une jeune salope du net ultra sexy serait aussi exagéré. Non, c’est juste une fille normale. Normale mais avec ce petit plus que seules les très jeunes femmes ont souvent : l’attrait magique de la chair fraiche, très fraiche. La peau de ses bras semble incroyablement douce, les seins sont menus mais bien formés et ils pointent très légèrement sous le polo rose. Je devine un peu de ventre mais à peine. Les cuisses ne sont pas longilignes comme les miennes mais elle n’est pas grosse non plus. Jean Patrick presse ma main me faisant ainsi savoir secrètement qu’il la trouve très à son goût. Après tout c’est important puisque je considère Capucine comme un cadeau autant pour moi que pour mon amant.

Capucine est avec quelques amis. Elle nous présente comme ses oncle et tante de passage dans la région. C’est crédible et ça lui permet de fausser rapidement compagnie à ses camarades de lycée ainsi que de nous embrasser chaleureusement sur les joues.  Elle sent bon, sa bise est appuyée et tout aussi généreuse que ses lèvres pulpeuses. Nous partons d’un pas tranquille vers l’Audi blanche de Jean Patrick. Il me tend les clefs : »Tu conduits mon amour, je vais monter derrière pour laisser la place de devant à Capucine. Les femmes et les enfants d’abord ! »

Sur la route avec une jeune salope

Certains seront peut être choqués que j’appelle la jeune, jolie et presque innocente Capucine jeune salope à longueur d’article. Je le fais pour deux raisons : la première raison est que jeune salope est l’expression que j’ai choisi comme mot clef pour cet article. Les googlebots sont un peu cons et il faut leur marteler les mots clefs pour qu’il consentent à me mettre ne premier dans les moteurs de recherche ! La seconde raison est que j’aime m’exciter toute seule à appeler cette jeune salope que j’initie ainsi. Et, croyez le ou non, c’est, sous ma plume et dans ma bouche plutôt un sobriquet affectueux !

Nous voici donc dans la très belle Audi A7 de Jean Patrick. Je suis au volant avec une jolie vue sur les seins et les cuisses de la miss qui est assise à la place du mort. Quand à Jean Patrick il n’est pas mort, je suis sûre qu’il bande encore, seul sur la banquette arrière.

Moi : »Ca va, tu n’as pas peur de partir seule en voiture avec tantine et tonton pervers ? »

Capucine jeune salope : »Ca va, je suis un peu intimidée mais curieuse en même temps. Ca va vraiment se passer comme dans les articles de ton blog ? »

Moi : »ça dépends, tu pense à quel article ? »

Ma jeune salope : »Heu, celui du plan à 3 par exemple… »

Moi : »Bin ça va dépendre surtout de toi. Et tu sais, il ne faut pas trop te poser de question, chaque fois c’est différent, l’important est qu’on s’amuse tous. Et j’ai le sentiment qu’on va bien s’amuser ! »

Je joins le geste à la parole en posant une main légère sur sa cuisse.

Elle se mord la lèvre inférieure. Je sais que c’est bon signe, je caresse très légèrement, du bout des doigts. Même si j’ai déjà envie de remonter vers son con je reste sage et me contente de l’extérieur de la cuisse. Son jean rend forcément cette caresse plus chaste que ce que j’aimerais. Mais nous avons tout notre temps. Mon ami actionne le bouton électrique sur le côté du siège de notre passagère pour incliner le dossier au maximum. Capucine est presque allongée. Nous n’allons pas vite et la boite automatique de l’A7 me laisse pas mal de liberté. Mais je dois quand même faire attention à la route. J’envie la position de mon ami qui, derrière Capucine peut lui masser les épaules et lui chuchoter des choses à l’oreille. Il parle si doucement que je n’entends pas. Mais Capucine elle continue à se mordiller la lèvre. Elle a mis sa main sur la mienne et la dirige très légèrement un peu plus vers l’intérieur de sa cuisse. Le geste n’a pas échappé à mon ami. Ses main migrent des épaules vers les seins de notre jeune salope. Cette fois j’entends clairement qu’il lui demande de déboutonner son Jean. Elle s’exécute. Mais déjà nous arrivons au rond point juste avant l’hôtel. Pour ceux qui connaissent un peu les environs de Laragne c’est le rond point avec des moutons juste avant l’autoroute et à côté d’un hotel ibis où une chambre nous attend. Il est un peu plus de 15h, le parking est désert et la chaleur à l’extérieur sans doute étouffante. Je gare l’A7 mais laisse le contact et la clim en marche. Rien ne presse pour la chambre, j’ai envie d’un peu mieux connaître l’anatomie de notre jeune salope avant de passer à des choses plus sérieuses. Je me penche vers elle pour l’embrasser sur la bouche. Elle semble un peu surprise, ne répond pas à mon baiser mais elle ne me repousse pas non plus. Ses lèvres sont juste timidement ouverte. J’y pose les miennes sans aventurer ma langue pour le moment. Ma main est remontée vers la culote en dentelle. Elle n’a défait que les deux premiers boutons de son Jean, je m’attaque habilement au troisième. Mon ami passe ses mains sous le polo rose pour caresser le ventre légèrement rebondi et tout blanc de la jouvencelle. Il la complimente à l’oreille : »Tu as la peau douce, j’imagine que tu es bien douce de partout. »

J’aventure un peu ma langue dans sa bouche. Elle vient au contact de la sienne mais je sens qu’elle a mis sa langue autant pour le baiser que pour faire barrage à l’avancée de la mienne. Mais elle ferme les yeux, ça va juste un peu vite pour elle mais le mouvement de bassin qu’elle fait pour aller au devant de ma main baladeuse ne trompe pas, la situation lui plait.

Mon ami à son oreille : »Baisse un peu ce jean ma belle… »

Elle lève les fesses pour obéir et comme je presse un peu plus ma main je sens nettement le petit abricot de son con à travers la dentelle de sa culotte. Je l’imagine déjà moite. D’ailleurs moi aussi je sens que je commence à mouiller. Lui en a profiter pour glisser la main sous les fesses de la donzelle. On pourrait continuer ainsi longtemps mais j’ai soudain envie de plus de liberté que ce que permet l’habitacle de la voiture.

Moi : « Bon, on va la voir cette chambre ? Il fait chaud et j’ai bien envie d’une douche. »

Mon ami : »Tu as raison, allez mignonette, rhabille toi et allons voir si la rose est éclose. »

Notre jeune salope renfile son Jean et relève le dossier du siège à l’aide du bouton idoine. Pour moi la situation est étrange. Je me sens un peu coupable d’entrainer cette très jeune fille dans un plan cul à trois. Elle semble avoir l’innocence de la jeunesse, quelque chose d’un peu maladroit et timide tant dans le regard que dans sa façon de bouger. Et en même temps elle est sacrément gonflée et coquine d’être là avec nous. Objectivement elle se comporte comme une vraie jeune salope lubrique. Mais pas mal d’indices dans sa gestuelle disent son inexpérience et sa naïveté. Elle est majeure et ce n’est pas une oie blanche. Pourtant j’ai envie de la protéger, de lui épargner la brutalité qui accompagne parfois ma sexualité débridée avec certains hommes. Je m’aperçois aussi que je suis presque un peu jalouse de mon ami. Finalement j’aurais peut être aimé l’avoir un peu pour moi toute seule cette jeune salope presqu’innocente.

Allez, comme je suis aussi coquine que taquine et que j’ai envie de savoir si ce blog est toujours lu je n’écrirai la suite de ce récit que lorsqu’il y aura dix commentaires à cet article. A vos claviers si vous voulez la suite, qui est, ma foi, assez gouleyante !