Première sodomie depuis longtemps

Première sodomie, la rencontre

Laissez moi vous compter ma première sodomie depuis bien longtemps. A vrai dire, cela fait tellement de temps que je n’ai pas été prise par derrière que j’ai l’impression d’être à nouveau vierge de l’anus ! J’avais donc été on ne peut plus explicite dans la rédaction de mon profil sur copine de sexe : « Coucou les mecs, je suis une jeune femme mariée mais encore vierge du cul. Je fantasme depuis toujours sur la sodomie mais n’ose pas en parler à mon mari qui est un peu vieux jeu. Problème : je l’aime et ne veux pas le quitter, ni même vraiment le tromper. Je voudrais juste, une fois, assumer mon fantasme d’une première sodomie pour pouvoir enfin penser à autre chose. Est-ce que cela intéresse quelqu’un sur ce site une vraie pucelle de l’anus qui recherche désespérément celui qui lui fera connaitre sa première sodomie près de Clermont Ferrand ? »

Bon, ok, vraie pucelle de l’anus et première sodomie sans préciser « depuis trois mois » était un mensonge. Mais un pieux mensonge, presque une demie vérité tant j’étais prête à me mettre dans la peau d’une vraie débutante.

Inutile de vous dire que mon annonce « première sodomie » eut un succès immédiat auprès de la gent masculine. Et pas uniquement d’ailleurs, une fille ayant répondu pour me proposer un plan à 3 avec son compagnon. Mon choix se portait vite sur René-Pierre, bel homme, la cinquantaine à peine, de la prestance et ce petit plus d’assurance que confère le viagra aux hommes de sa génération.

Pour l’occasion je m’étais confectionné un look de jeune bourgeoise traditionnelle à la Bree Van de Kamp dans Desperate Housewifes. Nous nous donnions rendez vous au restaurant de mon hôtel à Issoire, Puy-de-Dôme (63) en région d’Auvergne. Lors de nos échanges j’avais soufflé le chaud et le froid, feignant de n’être pas encore vraiment sure de moi. Je lui disais que je ne voulais pas lui faire perdre son temps, que j’acceptais un dîner mais que je n’étais vraiment pas certaine d’être capable d’aller au bout de mon fantasme. Je m’excusais par avance si au dernier moment je me refusais et je promettais, en échange, de payer le restaurant. Il m’avait bien sûr répondu qu’il était surpris, que j’avais pourtant l’air décidée dans mon annonce. Et là, je lui disais que, oui, j’en avais très envie. Et que la photo de son sexe en érection qu’il m’avait envoyée m’excitait (alors que franchement, c’est pas vraiment mon truc les selfies de vos teubs…). Mais que, comme c’était la première fois pour moi je ne pouvais garantir « honnêtement » que j’irai jusqu’au bout. Dans le même temps je lui envoyais une mini vidéo de mon index écartant mon string de dentelle blanche pour s’introduire dans mon anus.

Nous nous retrouvions donc au restaurant du Pariou, un hôtel que j’affectionne à Issoire et dont la cuisine est très correcte à mon goût. Assez peu attentif au menu c’est plutôt mes seins gonflant mon pull en cachemire que René-Pierre dévorait des yeux. La serveuse était un garçon et lui aussi semblait troublé par la contradiction entre ma tenue plutôt sage, mon serre tête en velours bordeaux et les regards mutins que je lui lançais à chaque fois qu’il regardait dans ma direction, c’est à dire très souvent… Mon rendez vous cherchait courageusement à meubler la conversation.

-« Donc, Laëtitia (c’était le prénom que je m’étais choisi pour l’occasion), vous, enfin tu habites la région ? »

-« Oui, enfin pas vraiment, à trois quart d’heure environ. Mais j’aime autant ne pas dire où. Si ça ne vous dérange pas. »

-« Ah non, pas du tout, je comprends, avec moi tu peux être tranquille question discrétion. Mais tu peux me tutoyer, vu qu’on va, je l’espère, être bientôt…disons…intimes. »

Je décidais de prolonger le suspense.

-« D’accord pour vous, enfin te, tutoyer alors. Quand à notre intimité prochaine cela reste à voir. Commandons d’abord notre dîner et une bonne bouteille, je sens que j’ai besoin de boire un peu pour me décider. »

Je m’emparais de la carte des vins et commandais la bouteille la plus chère. Un vin rouge à 33 euros dont je suis bien incapable de me souvenir le nom, encore moins le millésime nulle en œnologie que je suis. Pour bien lui signifier qu’il allait devoir patienter avant de me faire passer à la casserole je choisissais le menu à le plus complets avec cocktail, amuse bouche, entrée, plat, trilogie de fromages et dessert ! Comme j’avais annoncé que c’était moi qui invitait il ne pouvait que faire de même et prendre son mal en patience. Le dîner était pour moi délicieusement long. J’aime faire durer quand je sais la partie gagnée…De manière très prévisible mon invité me faisait du pied sous la table. Je ne retirais pas mon pied mais n’allais pas à son devant non plus. Malgré tout la conversation n’avait rien de laborieux. René-Pierre savait se montrer spirituel et faisait de son mieux pour faire semblant de s’intéresser à la vie de jeune bourgeoise catholique traditionnelle que je m’improvisais. Je me présentais comme timide, inexpérimentée mais en même temps pleine de fantasmes depuis que j’avais découvert sur internet des vidéos de sodomie qui me fascinaient bien malgré moi.

Première sodomie, le râteau…ou pas…

-« Enfin, quand même, j’ai un peu de mal à te comprendre. Tu es attachée au symbole du mariage, tu ne veux pas tromper ton mari mais en même temps tu mattes des vidéos porno de dépucelage anal et du t’inscrit sur un site de rencontre à plan cul pour découvrir les joies de la sodomie. Ta première sodomie tu dis ? Soit tu me prends pour un débile, soit tu es complètement dérangée. »

-« Bin oui, je sais que c’est assez difficile à croire. D’ailleurs, pour tout t’avouer je ne sais plus trop où j’en suis. Mais je ne te prends vraiment pas pour un débile. Je suis juste un peu perdue. Excuse moi si finalement je me dégonfle. J’espère que tu ne m’en veux pas. En tous cas j’aurais passé une merveilleuse soirée ».

Quelle joie perverse de voir sa mine toute déconfite au moment où je demandais l’addition. Pourtant en vrai gentleman il ne me fit pas de scène. Il me proposais même de payer sa part. Ce que je refusais catégoriquement, notant mon numéro de chambre et signant la note. Je le raccompagnais à sa voiture sur le parking juste derrière la salle de restaurant.

-« Bon, au revoir alors Laëtitia. Je ne te comprends pas mais je respecte ton… »

Je le plaquais contre la portière de son Audi Q3 et l’embrassais à pleine bouche. « Et puis zut ! j’en ai trop envie. Allez, on le fait, attends quelques minutes et rejoins moi chambre 206. »

Je me sauvais en courant vers le bâtiment de l’autre côté du parking où était ma chambre.

Pas facile quand on est une dingue de cul comme moi de faire la jeune bourgeoise inexpérimentée un peu timide. Une fois dans ma chambre je cherchais un moyen de lui laisser prendre la direction des opérations. Je décidais de m’étendre toute habillée sur le ventre, les deux coussins du lit sous mon ventre. J’attendais de l’entendre ouvrir la porte pour relever maladroitement ma jupe découvrant mes belles fesses que couvrait toujours mes collants noirs.

Je gardais les yeux fermés, entendais la porte se refermer et ses pas se diriger vers le lit où je restais immobile, les jambes serrées mais les fesses relevées par les coussins sous mon ventre. Après des semaines d’abstinence complète la sensation de sa main remontant le long de mon mollet était incroyable. Il n’en était pas encore à la cuisse, juste derrière le genou que je frissonnais déjà. Frisson qu’il dut mal interpréter car au lieux de continuer à remonter sa main il redescendait sa main effleurant à peine le nylon sur mon mollet.

Je décidai de l’encourager quand même un peu : -« S’il te plait, ne dis rien…Mais continue. »

Deux mains cette fois sur chacune de mes chevilles. Il enlève mes souliers vernis qu’il laisse tomber au sol. Des baisers légèrement déposés sur mes talons et ses main qui remontent par l’intérieur des mollets. Il prend son temps, embrasse à pleine bouche à travers le nylon, d’abord mes chevilles puis un peu plus haut. Ses mains sont à nouveaux à la pliure des genoux. Il les écarte mais je résiste gardant mes cuisses serrées. Je veux le plus possible retarder le moment où il s’apercevra que je mouille comme en réalité comme une grosse cochonne en chaleur. Heureusement, il est encore un peu timide et ne se presse pas. Je sens ses doigts qui progressent le long de mes cuisses. Il les fait marcher comme deux petits soldats montant bravement à l’assaut de mon cul. Je tremble un peu à force de serrer les cuisses luttant contre mon désir naturel d’au contraire les écarter pour le laisser accéder à mon clitoris. Ca y est, il est juste là où la cuisse rejoint la fesse. Il s’y attarde caressant du bout des ongles mes fesses fermes et rebondies. Je me laisse un peu aller écartant imperceptiblement les cuisses lorsque je sens ses lèvres se poser mon cul à travers le fin nylon de mes collants. Je ne peux m’empêcher diriger mes mains vers l’endroit où je devine que se trouve sa tête. J’aimerais lui plaquer la tête contre mon cul afin qu’il me bouffe enfin mais je résiste et m’accroche à mon personnage de bourgeoise salope mais encore timide, me contentant de lui caresser maladroitement les cheveux. Comme j’ai légèrement écarté les cuisses je sens sa main qui remonte jusqu’à mon clito. Il caresse et presse à travers mon collant. Je me cambre imperceptiblement et lâche un petit gémissement. Deux doigts pressent un peu plus, écartant ma fente à travers le tissus. Je sens que je mouille et je suis certaines qu’il ne peut plus l’ignorer même avec le collant. Il me le confirme d’ailleurs : »Dis donc petite bourgeoise, ça m’a l’air tout bien humide là dedans… »

-« Humm, oui, t’arrête pas… »

Il continue à me caresser à travers le tissus. Je n’en peux plus et aussi il faut avouer que le contact du nylon m’irrite un peu. Je lâche sa tête pour venir déchirer des deux mains mon collant au niveau de ma chatte. Aussitôt je sens deux doigts pénétrer mon sexe brulant. Je me cambre pour aller à sa rencontre. Il élargi assez franchement maintenant le trou dans mon collant. Le bruit du nylon qui se déchire m’excite au plus haut point. Tout en continuant à me masturber je sens qu’il essaie de joindre sa langue à ses doigts. Je devine que de l’autre main il défait son pantalon. Enfin je l’espère tout du moins !

A ce stade je pourrais me retourner et me laisser aller à l’embrasser pour le sucer comme j’aime tant le faire d’habitude. Mais je n’en fais rien. Je décide d’être jusqu’au bout la petite bourgeoise salope mais un tantinet passive que j’ai décider d’être pour ma fausse première sodomie. Je me contente de timides gémissements de plaisirs comme si j’avais honte de ce qui m’arrive. J’ondule consciencieusement à chaque va et vient des ses doigts. Pourtant il retire sa main et s’écarte un peu de moi. Qu’ai-je fait de mal ? Je ne sens plus son contact et n’ose pas me retourner.

-« T’inquiète ma jolie. Surtout tu ne bouge pas, il faut que j’enfile vite un truc si tu vois ce que je veux dire… »

Ouf, ça c’est une fort bonne nouvelle ! D’habitude c’est moi qui aborde le sujet mais là, dans mon personnage de bourgeoise timide candidate à sa première sodomie je ne savais pas trop comment placer la demande de préservatif sans rompre le charme.

Mais là, le charme n’est pas du tout rompu. Il revient presque aussitôt pour plonger son sexe dans ma chatte. Quand la queue est longue la levrette est bien ma position favorite. Et, pour une fois, je suis gâtée. Non seulement il l’a longue mais il sait merveilleusement s’en servir en de longs allers retours juste lents comme j’aime. La vache c’est tellement bon que j’en oublierais presque ce pour quoi je lui ai donné rendez vous. Heureusement tout est dans le presque. Entre deux gémissements je parviens à lui dire : »S’il te plait, t’oublie pas l’autre trou hein ? ».

-« Sois pas pressée, jolie poupée, tout vient à point à qui sait attendre ».

Immanquablement « jolie poupée » me fait penser à ce chanteur ringard de mon enfance. Allez, on se -concentre ! Je chasse Bernard Menez de ma tête et je serre les muscles secrets de ma chatte comme je m’entraine à le faire en secret depuis presque un an maintenant. L’effet de surprise est immédiat chez mon partenaire : »Han, mais t’es pas si inexpérimentée que ça ma cochonne ! »

Moi : »Heu, en fait je m’entraine en secret. Mais c’est ma première fois avec un vrai heu…sexe. »

Il continue sa levrette de professionnel mais maintenant en restant plus enfoncé en moi. Ce que je lui fais avec mon vagin semble lui plaise au plus haut point. Je sens une gelée froide sur la raie de mon cul et je devine qu’il a fort à propos pensé au lubrifiant. D’ailleurs, si sa pine est toujours à la même place je sens un doigt dans mon cul qui prépare délicieusement le terrain.

Il prend son temps mais moi je jouis déjà à répétition comme une folle : » Han haaaan, c’est bon, s’il te plait oublie pas mon cul, oublie pas mon cul, je t’en supplie ! »

Mais il fait durer, claque mes fesses, change de doigt. J’ai l’impression qu’il se fout de moi en me mettant au supplice ainsi sans me donner ce que je suis venu chercher.

Quand sa bite pénètre enfin mon anus distendu la douleur inévitable est comme une délivrance pour moi. Je hurle. C’est assez indescriptible. J’ai l’impression que mon corps se réduit à mon anus rempli par son sexe et à mon cul pilonné par ses abdominaux. Il est sur moi, me tire par les cheveux en même temps qu’il me prend violement. J’ai un main dans ma chatte pour me caresser en même temps et l’autre qui s’accroche au bord du martelât. Je hurle dans les aigus à réveiller tout l’hôtel mais je n’en ai rien à foutre, pourvu qu’il continue, lui, à me foutre sauvagement.

Quand il jouit et se retire je ne sens plus mon anus. Par contre j’ai un peu mal aux cheveux qu’il a tiré comme un fou furieux. Je fais semblant de sangloter en espérant être suffisamment bonne actrice lorsque je lui demande de partir et de ne plus jamais me recontacter.

Je ne sais pas s’il a cru à mon histoire mais il s’est vite rhabillé et a docilement quitté la chambre.

Si vous avez aimé lire ce récit de ma fausse première sodomie jusqu’au bout alors vous apprécierez peut être de voir une jolie salope jouir pas le cul rien que pour vous dans ce qui n’est sans doute pas sa première sodomie. Je connais un peu « Olalafox », pour l’avoir interviewvé pour un article à venir. Recherchez la sur PureLive, je ne pense pas que vous soyez déçus. L’inscription est gratuite et, comme je l’écris souvent, au moins en liveshow il n’y a pas l’arnaque des sites de rencontres truffés de faux profils et plein de promesses non tenues. Fêtes vous plaisir, c’est encore un peu noël, achetez quelques jetons même pourquoi pas. Soyez un peu fous !

olalafox n'en est peut être pas à sa première sodomie mais elle est fraiche !
première sodomie cette bourgeoise ?