Comment draguer une étudiante et la pécho

Draguer une étudiante, pourquoi cet article ? Parfois j’aime écrire un article qui n’a rien à voir avec moi. Juste  pour le plaisir de réfléchir à un sujet. Juste parce qu’un lecteur m’a posé une question touchante que je ne veux pas laisser sans réponse. Et aussi parce que j’en ai tellement marre des articles consensuels donnant des conseils de drague du genre restez vous mêmes, ayez de l’humour etc… Cet article sur comment draguer une étudiante est une compilation de mes réflexions personnelles et coquines sur le sujet ainsi que des témoignages que j’ai pu recueillir d’étudiantes coquines et d’hommes ayant réussi à draguer une étudiante (ou plusieurs) avec succès. Bonne lecture.


AngelinaSin

Draguer une étudiante, pourquoi ?

Pourquoi draguer une étudiante alors que l’on n’est plus étudiant parfois depuis de nombreuses années. Comment ne pas passer pour un sugar daddy lorsque l’on veut draguer une étudiante. Pourquoi draguer une étudiante alors qu’il y a tant de femmes plus mûres disponibles et toutes prêtes à se laisser draguer ? J’ai envie de vous dire messieurs qu’étant femme plutôt attirée par les hommes mûrs et sûrs d’eux même, j’ai un peu de mal à comprendre cet attrait que vous avez pour la chair très fraiche d’une jeunette inexpérimentée. Mais, à y réfléchir à deux fois je dois avouer qu’il y a une part de jalousie derrière cela. Il me suffit de me remémorer mon dernier plan à 3 avec une jeunette pour comprendre que pour certains hommes aucune salope, aussi lubrique soit-elle ne saurait égaler le plaisir de tenir le corps lisse et ferme d’une toute jeune étudiante entre vos mains. Aucune sodomie avec une grosse cochonne ne saurait égaler la fraiche levrette avec une jolie minette à l’aube de ses vingt ans. Alors, oui, draguer une étudiante me semble un désir plus qu’honorable pour les amateurs mâles de plan cul. S’ajoute à cela que l’étudiante est souvent de passage, que sa vie va changer et que le risque qu’elle s’attache et devienne prise de tête est plus réduit qu’avec une jeune femme déjà installée dans la vie professionnelle. L’étudiante, c’est un peu comme la femme mariée : une belle occasion de passade amoureuse sans trop de lendemains ni de prise de tête. L’insouciance et la jeunesse en prime.

Draguer une étudiante sur internet ou direct sur le campus ?

Sur internet cela peut sembler plus facile. Il suffit de se brancher sur un site de drague du genre copine de sexe et de rechercher les profils d’étudiantes qui, il faut le dire, ne sont pas rares. Draguer une étudiante semble à la porté de toutes les bourses. Si j’ose m’exprimer ainsi. Hélas, ou heureusement, c’est selon, vous trouverez pas mal d’annoncer d’étudiantes qui cherchent surtout boucler leur fins de moi en prostitution occasionnelle. Je ne juge pas, ce n’est pas mon genre. Mais comment trouver une étudiante prostituée n’est pas l’objet de cet article et je vais, ici, me limiter au cas de l’étudiante qui cherche un vrai plan cul sans arrière pensée pécunière.

 Draguer une étudiante, ne soyez pas radin !

Cela va vous paraitre très con mais pour les étudiantes encore plus que pour les autres femmes l’argent et le pouvoir sont de très bon lubrifiants ! Arrêtons la langue de bois et les faux semblants. Les filles sexy (j’ai la prétention d’en être une) sont rarement insensibles aux hommes qui flambent et se montrent insouciants économiquement. C’est plus une question d’état d’esprit que de réel moyen financier. L’objectif n’est pas de se ruiner, ni même de transformer la drague en échange commercial. Mais juste de ne pas passer pour une pince, de montrer que vous savez profiter sans compter ni arrière pensée.

Draguer une étudiante en 5 étapes

Je n’aime pas les articles conseils de drague qui ne servent à rien et se limitent à des conseils bateau à la pages psychologie et Marie Claire. Alors, pour être efficace j’ai concocté pour les plus maladroits quelques conseils simples qui  permetten, à coup presque sûr, de pécho une bonne petite étudiante salope.

Soigner son profil sur les sites de rencontre

Même si, j’en suis convaincue, en chaque jeune fille sommeille une vraie salope lubrique qui ne demande qu’à se faire sauter, force est de constater que toutes les filles n’en sont pas conscientes. Et que la majorité des hommes ne sont pas naturellement doués pour réveiller la salope qui sommeille en nous. Donc, comme cet article s’adresse aux hommes justement en difficulté, autant choisir une étudiante à priori déjà à la recherche d’un plan cul. Un site comme copine de sexe fonctionne assez bien (malgré beaucoup de faux profils et d’arnaques…évitables). Mais celui là ou un autre, ce ne sont pas les sites qui manquent. Là vous pouvez soit chercher un profil d’étudiante qui vous semble accessible (proximité géographique et annonce qui laisse une porte ouverte sans pour autant promettre un plan cul assuré car c’est la marque assez sure des faux profils grossiers). Ou alors vous pouvez rédiger votre profil de manière à ce qu’il soit le plus attirant possible pour les jeunes filles que vous visez. Le maitre mot c’est mentir sans scrupules ! Vous cherchez un plan cul, pas une relation faite pour durer. Alors je vous en prie, lâchez vous, mentez sans scrupule sur votre profil. Inventez vous une vie qui fait rêver. Adaptez aussi votre profession aux étudiantes que vous draguez. Par exemple si vous êtes proche d’une fac de droit et que vous avez du bagou soyez avocat ou juge. Si vous avez repéré une étudiante en arts dramatiques vous serez metteur en scène ou responsable de casting.  L’idée générale est que l’activité que vous indiquez laisse penser que cela pourrait être utile pou l’avenir de l’étudiante que vous voulez sauter. Cela peut paraitre très basique comme astuce mais je vous assure que c’est diablement efficace !

Préparation du premier rendez vous

Sur un site de rencontre à plan cul obtenir un rendez vous avec une étudiante sexy est en général à la portée de tous. Mais attention, c’est après que les choses se compliquent. En effet, il y a beaucoup de la coupe aux lèvres et souvent ce n’est pas parce que l’on obtient un rendez vous que ce dernier va se transformer en plan cul. Mettez toutes les chances de votre côté. Si vous avec quelques sous louez une belle voiture neuve. De préférence décapotable.

Si la rencontre se fait en ville choisissez une tenue raccord avec le profil avantageux que vous avez choisi d’incarner sur le site de rencontre.

Si vous avez décidé de vous la jouer grande classe alors vous aurez réservé une table pour deux dans un restaurant où vous aurez préalablement demandé une carte sans les prix. Je vous assure que cela impressionne toujours. Et c’est facile à faire même dans des restaurants qui ne sont pas forcément hors de prix.

Parlez le moins possible de vous, et faites la parler. C’est d’autant plus facile que vous avez menti sur votre profil. Donc mieux vaut cultiver le mystère. Autre avantage d’avoir menti sur votre profil cela va naturellement refreiner la tendance fâcheuse que vous avez surement (comme tous les hommes) de vous mettre en avant. Au contraire, intéressez vous à elle, à ces études, son enfance, sa famille, ses passions etc…Cela demande un peut d’effort mais c’est un effort qui paye.

ayez confiance en vous ! A priori vous avez choisi de draguer une étudiante que vous avez trouvée sur un site de rencontre à plan cul. Donc même si ce n’et pas forcément gagné cela ne devrait pas être trop difficile. Ayez confiance en vous et 99% du chemin sera fait.

Soyez un bon amant !

Vous allez ken, c’est sur. Mais quel intérêt si c’est pour offrir une piètre prestation. Si c’est pour un triste coït sans saveur ni originalité. Ou si c’est pour vous retrouver dans une chambre d’étudiante avec une fille un peu gênée et empruntée. Si vous n’avez jamais essayé je vous conseille d’avoir sur vous du poppers. Je peux vous assurer que, surtout la première fois, l’effet est dévastateur. Quoique parfois d’un peu trop courte durée. En tous cas l’excitation est la désinhibition sont garantis !

Sexe triste sous les tropiques

Pour paraphraser Lévi-Strauss j’appele ce post : »Triste sexe sous les tropiques »

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sexe conjugal

Premier matin de nos vacances tropicales. Comme toujours avec le décalage horaire la fin du sommeil survient vers 4 heure de matin. Forcément, à cette heure il n’y a pas grand chose à faire. Et Bien sûr mon mari veut baiser… Je fais semblant d’être encore endormie tendis qu’il caresse maladroitement mes fesses du bout des doigts. L’excitation vient bien malgré moi. Il faut dire que la fellation avec mon plan cul improvisé de l’aéroport m’a forcément laissée sur ma faim. Enfin, ne nous emballons pas, quand je parle d’excitation concernant mon cher et tendre époux c’est, pour moi, juste une vague envie de jouir qui entraine un consentement tacite de ma part. Parfois la chair est triste. Alors je me force à continuer de faire semblant de dormir et j’essaie d’imaginer que ce ne sont pas ses doigts qui caressent le mince pli de chair qui relie mon petit cul à mes longues jambes. Je ne peux réfréner un léger mouvement du bassin qui l’encourage à glisser un doigt par derrière vers ma fente. Rester endormie. Faire durer ce moment où je peux rêver que ce n’est pas lui. Après, je sais qu’une fois pénétrée cela ne durera, hélas, pas bien longtemps. Je le laisse donc me caresser le sexe en m’imaginant qu’il appuiera son pouce sur mon anus et qu’une grosse queue bien dure me prendra bientôt en levrette pour alterner savamment entre mon trou du cul de salope et ma chatte de chienne en chaleur. J’imagine de grosses mains de travailleur pressant mes seins et ma tête tirée en arrière par les cheveux. J’imagine le sexe de mon amant bien dodu dans mon cul. Forcément, même en feignant le sommeil cette évocation me fait mouiller abondamment. Il me retourne délicatement pour me pénétrer en un missionnaire aussi classique qu’insipide. Quelques va et viens suffisent à le faire jouir. Je tressaille pour lui faire croire que j’ai joui. Et je garde ma frustration pour plus tard. Je trouverai bien une bonne âme pour la mettre à profit pendant qu’il sera parti naviguer. Enfin, c’est ce qu’à ce moment là j’espère.

sexe bronzé
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Vacances coquines sous les tropiques

Embarquement pour de vacances coquines

Mes vacances coquines commencent ce 14 avril, Monsieur mon Mari m’emmène en voyage pour notre anniversaire de mariage. Il a choisi la Guadeloupe comme destination. Le cadeau est surtout pour lui qui est fan de kite surf. Il voulait emmener notre fille. Moi non. J’ai eu gain de cause. La petite passera une semaine chez Papy Mamy ravis. Cela me coute une fellation et la promesse que ce seront des vacances coquines. Ce qu’il ne sait pas c’est que j’ai une conception bien à moi de ce que sont des vacances coquines. Je sais maintenant que j’aurai du temps rien que pour moi. Du temps pour me faire MES vacances coquines pendant que l’homme sera sur l’eau. Je compte le tromper chaque jour avec un plan cul différent. De vraies vacances coquines !

rare et très cher mais j'aurais bien aimé ramener ce souvenir de vacances coquines
souvenir de vacances coquines bien trop cher pour mon budget…

Orly Sud, correspondance. Nous attendons l’embarquement avec deux cents autres voyageurs. Je porte une robe légère. J’ai de gros seins fermes qui ne peuvent passer inaperçus. J’attire immanquablement les regards. Cela plaît à mon mari qui ne se doute pas de mes projets de vacances coquines adultères. Il pense que les vacances coquines seront pour lui. Je pars avec l’objectif ambitieux de rencontrer autant de bites qu’il y aura de jours à notre voyage. La première cible de mes vacances coquines est assise presque en face de nous. Accompagnée de bobonne et de deux enfants bruyants. La quarantaine taille moyenne, un début de calvitie mais mince à la taille et large d’épaules. Bobonne est de ces femmes qui ont du être jolies. La maternité et quinze ans de routine l’ont largement défraîchie. Je sais que je l’intéresse : A chaque fois que je lève les yeux de mon roman il fait mine de regarder ailleurs. Je me replonge dans Douglas Kennedy. Je croise et décroise mes longues jambes. Je mords ma lèvre inférieure. Je respire amplement. Pas besoin de lever les yeux pour savoir qu’il matte les gros seins. Je me lève et dis à mon mari que je vais acheter des cigarettes. J’espère qu’il a entendu et qu’il va me suivre. Perdu. C’est un timide. Ou pire, un fidèle ! À mon retour je parviens à accrocher son regard. Nous nous regardons juste un peu plus longtemps qu’il n’est convenable pour des étrangers. Je baisse les yeux juste avant lui mais Le regarde par en dessous un sourire gêné aux lèvres. Je me rassis à ma place. Mon Mari joue au poker en ligne sur son iPhone. Je me replonge dans mon livre et lui lance des œillades de plus en plus appuyées dont je dose savamment la fréquence. L’hôtesse appelle les passagers de première et les familles avec enfants pour l’embarquement. Les enfants et bobonne se lèvent mais mon plan cul (je suis sure de mon coup) les retient en disant que les enfants sont trop grands. Les rangs 30 et plus sont appelés. C’est nous. Et eux ! Il s’arrange pour fermer la marche de sa petite troupe. C’est facile pour moi de manœuvrer pour etre juste derrière eux. Mon mari avance les yeux rivés sur sa partie de poker en ligne. Je prend au fond de mon sac à main Le petit papier préparé à l’avance. À la première occasion je le lui glisse dans la main. Tout premier contact de nos peaux. C’est furtif pour ne pas attirer l’attention mais il a pris le papier et le fourra dans la poche de son pantalon. Je remarque qu’il bande. Bientôt il trouvera un moyen pour lire en cachette mon billet coquin : »désolée, nymphomane, pas ma faute. Très envie de vous. »
Pour l’heure il ne sait encore rien. Sa surprise est réelle quand je trébuche et tombe sur lui. Mes seins amortissent le choc sur son dos. Je me confond en excuses. Ce qui me donne l’occasion de poser une main sur son épaule. Mon mari lève la tête de son téléphone agacé. Prévenant il me demande quand même si ça va. Oui, j’ai juste trébuché. Je m’excuse à nouveau auprès de mon FPC (Futur Plan Cul). J’en profite pour poser à nouveau ma main sur son épaule. C’est bobonne qui a les passeports. Elle me regarde mi soupçonneuse, mi désolée que son homme ne trouve rien d’autre à dire que : »y’a pas de mal. » Je regarde la légère bosse de son entrejambe. Lui seul sait que j’ai remarqué. Il est très gêné. Surtout à cause de mon sourire en coin. Je sens que je suis sur le point de mouiller. Nous sommes séparés car il y a deux hôtesses qui vérifient les billets. Il prennent à droite et nous à gauche. Comme ils sont quatre nous leur passons devant et un couple de retraités s’intercale entre nous. Nous avons 36A et 36B. Cela nous fait tourner juste après l’entrée dans l’avion. Je rêverais qu’il soit derrière moi et m’aide à mettre mon bagage cabine dans le compartiment en hauteur. Mais je rêve. Ils ne sont plus derrière. Je perds ma cible de vue.

Je laisse le hublo à mon mari et je prends la siège côté couloir. L’avion se remplis, je repère enfin ma cible ou plutôt ses lardons qui sont à genoux à l’envers sur les sièges de la rangée du milieu 5 ou 6 rangées devant. Pas de chance, c’est elle qui est de mon côté. Pour le croiser à nouveau il va falloir que je passe au fond de l’avion pour redescendre les rangées jusqu’aux toilettes. Quand l’avion décolle mon mari à déjà commencé son film. Je lis un livre (Joël Dicker, la disparition de Stéphanie Mailer). Après le premier plateau repas j’estime que ma cible a largement eu le temps de lire en douce mon petit mot. Je me lève pour aller, comme prévu, a l’arrière de l’appareil puis redescendre vers les toilettes en passant devant lui. À son niveau je me décale juste ce qu’il faut pour être certaine que ma cuisse le frôle. Je ralentis imperceptiblement pour lui laisser le temps de bien mater  mon petit cul de salope. Il se lève derrière moi et me suit. YES !

les toilettes sont occupées et une autre personne attend avant moi. Il me rejoint. Timide mais curieux. Sourires. Je me penche à son oreille : »je suis vraiment désolée de vous imposer ça. C’est plus fort que moi, j’ai terriblement envie de vous. »

lui, aussi à mon oreille : »pourquoi moi ? »

-« ça n’a rien à voir avec vous, je ne contrôle pas. Ça pourrait tomber sur n’importe qui. Mais tant que nous n’aurons pas baisé ensemble je serai obsédée par vous. C’est comme ça. »

-« et après ? »

-« après j’irai mieux pendant deux trois jours puis un nouveau mec m’obsèdera completement… »

-« ah ? Je comprends… »

-« non, je pense que vous ne pouvez pas imaginer à quel point j’ai envie de vous sucer. »

-« et bin ! »

Les échanges se font de bouches à oreilles. Je trouve cela tellement sensuel et excitant que j’en suis moite.

-« il faut que je retourne à mon siège. Si je reste trop longtemps à côté de vous je risque d’avoir la culotte toute trempée ! »

su ce je lui claque un bisou moillé sur la joue et lui donne rendez vous ici plus tard quand l’avion sera somnolant.

je retourne à ma place ne me creusant la tête pour trouver un moyen de me retrouver vite seule avec lui. Pas simple du tout.  Je fantasme sur les toilettes de l’avi  mais ils sont vraiment minuscules et je vois mal comment y entrer a deux sans se faire remarquer. Je me remets dans mon film pour penser à autre chose une grosse heure.

Second rendez vous coquin. Même scénario. Je passe devant lui et il suit. Il a eu Le temps de gamberger. Il me pose un tas de questions sur ma prétendue nymphomanie. Comment ça m’est venu ? Est ce que l’homme qui est avec moi le sait ? Pourquoi lui qui est plutôt banal alors que belle comme je suis je pourrais avoir n’importe qui ?

J’improvise. J’ai toujours été ainsi depuis les 16 ans. Je l’ai toujours caché à tout le monde. Bien sur mon mari ne se doute de rien. C’est incontrôlable. Ça peut me prendre n’importe où, n’importe quand et je peux faire une fixette sur n’importe qui. J’imagine trop sa verge dans ma 👄.

Je lui explique mon plan. À l’arrivée, au moment d’attendre les bagages il va aux toilettes handicapés. Il laisse le loquet ouvert et je rentre juste après lui.

-« comme ça ? Dans les toilettes hommes ? Il risque d’y avoir du monde. »

-« oui, c’est sûr mais. Mais je ferais comme si c’était pressé pour moi et que les toilettes femmes sont complets. À mon avis ça choquera mais personne n’osera rien dire »

un site pour trouver sa partenaire de vacances coquines
partenaires de vacances coquines

Premier plan cul de mes vacances coquines dans les toilettes de l’aéroport

Le plan était osé mais il a parfaitement fonctionné. Arrivés au tapis de récupération des bagages je le vois qui rebrousse chemin vers les toilettes et je lui emboîte le pas sans éveiller ni les soupçons de mon mari, ni  eux de sa bobonne. C’est tellement gros qu’ils ne peuvent s’en douter. Le plan marche nickel. Coup de chance les toilettes handicapés sont dispo quand il arrive. Il entre, je le suis moins de 20 secondes après en mode super pressée, très envie de faire pipi, pardon, pardon ! Si des hommes ont remarqué qu’il était entré avant moi personne ne proteste trop surpris.

Comme ce sont des toilettes handicapés l’espace est assez grand. Je me jette sur lui pour lui rouler un gros patin tout en déboutonnant son pantalon.

-« Appuis toi contre le mur et laisse moi faire. »

Je fais tomber les bretelles de ma robe légère et dégrafe fissa mon soutiens gorge. Je m’accroupis et sors sa verge de son caleçon. C’est parti pour la cravate de notaire. Sa bite n’est pas très longue mais ça le fait. Entre les gros seins elle est dure et bien au chaud. Un délice pour la bouche comme pour les yeux.

Je plante mes yeux de biche dans les siens par en dessous.

-« Tu peux pas savoir comme j’en avais envie ! »

Va et vient langoureux entre mes seins que je presse de mes mains pour entourer sa bite. À chaque va et vient ma 👄 accueille son gland. Je maintient quelque seconde en aspirant.

-« Dommage qu’on ait pas plus de temps je l’aurais bien prise dans ma chatte de salope ou mon cul de cochonne. »

Il ne répond pas. Trop surpris. Ou trop concentré à ne pas jouir trop vite. Je le prend dans ma bouche goulue. Je pourrais faire une gorge profonde mais je préfère sucer en le branlant. J’alterne mes seins, mes mains et ma bouche. Je n’oublie pas de lécher les couilles et de le regarder souvent dans les yeux. La pression de ses mains sur ma tête m’indique qu’il va jouir. Je le garde dans ma bouche pour qu’il éjacule bien au chaud contre ma langue. J’avale comme une bonne vraie salope. Je continue à le sucer jusqu’à débandaison complète. Je me rhabille à la hâte et lui claque une bise sur la joue avant de sortir la première des toilettes. Il est probable que quelques personnes nous aient remarqué mais personne n’ose rien dire et je file retrouver mon mari au tapis des bagages. Notre valise n’est pas encore déchargée. Nous attendons à quelques mètres de bobonne et des enfants. Mon plan cul arrive une minute plus tard. Il est rouge comme une pivoine. Je lui lance des œillades mais il évite mon regard. Il doit avoir trop peur de se faire gauler. Notre valise arrive. Dernier sourire, clin d’œil, nous partons. Je ne me souviens plus son prénom. Pierre ? Paul ? Bertrand ? Ce n’est pas faute de l’avoir eu sur le bout de la langue tout à l’heure aux toilettes…Mes vacances coquines ne font que commencer ! J’ai les sentiment que ces vacances coquines vont être très très coquines…

 

plan cul en déplacement professionnel, quelques conseils

Plan cul adultère, vive le déplacement professionnel !

Celles et ceux qui, comme moi, aiment le cul hors mariage mais n’ont pas envie de mettre leur couple en péril savent combien la question de l’alibi et de la disponibilité pour une relation extraconjugale peuvent poser problème. Même lorsque l’on parle d’un plan cul sans lendemain, encore faut-il avoir le temps disponible, être certaines que l’on ne sera pas reconnue ou dénoncée par quelqu’un qui nous aura vue dans un restaurant seule avec un autre homme que notre mari ou simplement que notre idiot d’amant ne se sera pas vanté de notre incartade à une connaissance commune. C’est pour toutes ces raisons (et quelques autres) que je ne me risque jamais à un plan drague, encore moins à un plan cul, à moins de 100 kilomètres du domicile conjugal. Heureusement il y a le déplacement professionnel ! J’ai la chance d’être commerciale et de bouger beaucoup, souvent en semaine et la plupart du temps deux à trois jours de suite ce qui, vous l’imaginez, laisse des nuits d’hôtel faciles à mettre à profit…Ainsi donc, le plan cul en déplacement professionnel présente l’énorme avantage de parfaitement d’intégrer dans un agenda. Le plan cul en déplacement professionnel est peu risqué car loin de chez vous. Le plan cul en déplacement professionnel est aussi super excitant car toujours dans un décors nouveau, avec des rencontres nouvelles et parfois dépaysantes. Croyez en mon expérience de bonne salope imaginative, il n’est pas besoin de voyager très loin pour être dépaysée question pratiques sexuelles…Mais il reste quand même une difficulté. Lorsque l’on est en déplacement professionnel, par définition on est aussi souvent loin de son territoire et la chasse est plus ardue. Monter un plan cul avec un collègue ou draguer la boulangère que l’on croise tous les matins est plus facile (car on a plus de temps) que de trouver au pied levé un plan cul dans une ville inconnue. Voici donc quelques conseils pour trouver un plan cul en déplacement professionnel qui, j’espère, vous seront utiles.

Préparer son plan cul en déplacement professionnel à l’avance

Que ma recherche se fasse sur un site de rencontre ou que je décide de draguer à l’ancienne, finalement, une constante en déplacement professionnel c’est que je prépare toujours les choses bien en amont. Renseignez vous sur la ville où est votre déplacement professionnel. Choisissez votre hôtel ou votre AirBnB en fonction de vos objectifs. Je vous livre quelques exemples qui marchent très bien pour moi.

DeplProf
déplacement professionnel et AirBnB

Conseil n°1 : Plan drague pour un plan cul à l’hôtel en semaine.

Parfois j’ai envie d’une drague facile mais sans internet pour un plan cul rapide en déplacement professionnel. Pour rencontrer un homme disponible et bien disposé j’ai une technique assez infaillible. Pour en avoir parlé avec quelques hommes représentants de commerce je peux vous dire que cette technique fonctionne très bien aussi pour les hommes qui recherchent une femme disponible en semaine pendant un déplacement professionnel.

Je choisi un hôtel où je suis assez certaine de trouver d’autres personnes, comme moi, en déplacement professionnel. Par exemple je regarde sur internet à l’avance s’il n’y a pas un salon professionnel ou une foire-expo dans la région que je visite au même moment que mon déplacement professionnel. Si c’est le cas je choisi un hôtel à proximité. Je suis alors certaine qu’il y aura beaucoup d’autres personnes comme moi. Seules, faciles à aborder et, disons le, vulnérables… S’il ny a pas de salon professionnel alors je choisi un hôtel d’une grande chaîne pas trop loin d’un gros site industriel. Novotel ou Hôtel Mercure fonctionnent en général très bien. J’évite les trucs trop bas de gamme genre Campanile ou Formule 1. Ca pourrait marcher mais j’aime garder un minimum de standing.

La technique de drague est assez simple. Mais terriblement efficace. J’arrive à l’hôtel assez tôt. Je m’installe au bar avec mon MacBook pour travailler et mâter les clients qui arrivent petit à petit. Je repère les hommes seuls. En général j’évite les groupes de mecs car souvent ils draguent mais ne vont pas jusqu’au bout car ils ont peur que si ça marche leurs collègues ne les grillent auprès de leurs femmes. Aussi il y a une compétition un peu malsaine. Donc, sauf si je sui d’humeur très joueuse et que je veux les voir se tirer la bourre avant d’en choisir un je préfère un homme seul. En plus, vous allez voir, c’est plus facile pour la suite. Bref, je repère les hommes seuls. Si vous êtes un hommes repérez les femmes seules. Si vous choisissez un hôtel assez grand (genre Novotel ou Mercure) il y a de fortes chances pour qu’il y ait plusieurs femmes seules tout à fait sexy. En tous cas moi j’ai toujours le choix dans la tranche 30-50 ans homme seul bien de sa personne.

Vers 19h – 19h30 je monte à ma chambre me préparer. Douche, sous vêtement sexy, tenue sage la moins provocante possible. En général un tailleur ou pull et pantalon ou robe en laine suivant mon humeur et la saison. Bien sûr plug anal mais ça personne ne le voit ! Je descends au restaurant de l’hôtel vers 20h15. J’ai pu constater que c’est le moment où la plupart des tables sont déjà prises. Je cherche si l’un des hommes précédemment repérés est seul à une table. Jusqu’à présent ça a toujours été le cas et, croyez moi, j’ai utilisé cette technique de drague en déplacement professionnel de nombreuses fois. Je m’invite à sa table avec une phrase du genre : »Je suis désolée, je sais que nous ne nous connaissons pas, mais je trouve déprimant de dîner seule. » Parfois j’ajoute même avec un petit rire : »Je vous promets, c’est pas un plan drague ! » Si le type réponds un truc du genre : »dommage… » je sais que c’est gagné. S’il n’a pas la présence d’esprit de répondre ça je sais que de toutes façons c’est gagné quand même !

Conseil n°2 : Plan cul sur site de rencontre

C’est bien différent. Là puisque votre plan cul de déplacement professionnel est trouvé sur internet il n’est plus la peine de choisir votre chambre coquine dans un hôtel sans charme en bordure de zone industrielle et commerciale. Faites vous plaisir, ou faite lui plaisir, ce qui revient au même. Choisissez un établissement joli et discret. Votre plan cul d’un soir vous sera reconnaissant(e) pour d’un choix classe mais discret. Surtout si, comme moi, le plan cul est déjà en couple et a l’intention de garder secrète sa petite incartade coquine. Perso, je suis très AirBnB depuis quelques temps.

Un autre conseil plan cul en déplacement professionnel : Ne draguez pas trop à l’avance sur un site comme cinqasept. Les sites orientés plan cul marchent bien mais la rencontre s’y consomme de préférence tout de suite. Si vous convenez d’un rendez vous pour dans trois jours il est possible que la personne change d’avis ou ait trouvé un autre plan cul entre temps. Sur copine de sexe ou cinqasept j’ai pu constater que la drague se fait plus dans la journée pour un rendez vous galant le soir même.

Si cependant vous aimez planifier, vous chauffer virtuellement avant le bouquet final de la vraie rencontre alors n’oubliez pas ‘entretenir la flamme très régulièrement jusqu’à l’heure de la rencontre.

Mini jupe, maxi plaisir pour grosse cochonne

Mini jupe
Accessible en mini jupe

Mini jupe, bas nylons et talons hauts j’avais l’air d’une pute ce soir là sur le trottoir de la rue Alfred de Musset à Valence. Mais sauf si l’idée de pute gratuite signifie quelque chose je n’étais pas une pute. Juste une femme coquine en mini jupe bien décidée à m’offrir un peu de plaisir charnel après une trop longue période d’abstinence sexuelle.

mes autres plans cul et délires sexuels

Mini jupe pour salope à consommer sur place ou à emporter

Pour mon plan cul dans la Drôme j’avais choisi Valence. La capitale de la Drôme n’est pas ce que je préfère dans le département 26 car pour moi Valence c’est encore un peu le nord, ce n’est pas encore la Drôme provençale où j’ai quelques souvenirs de plans culs disons rustiques…Mais, faute de grives on mange des merles. Et à défaut de merles j’avais très envie de manger de la bite et de m’offrir un vrai bon moment de plaisir sans tabous. Mon rendez vous commercial était à Valence, c’st donc à Valence que je trouvais un petit AirBnB sympa et que je trouvais sur infidèles mon plan cul du jour. Enfin, mon plan cul de la nuit devrais-je écrire puisqu’à cette heure il faisait déjà nuit et je commençais à regretter d’avoir choisi la mini jupe comme signe distinctif pour qu’il me reconnaisse dans cette rue déserte. J’avais écrit : « Tu me reconnaitras facilement, j’aurai une mini jupe, des bas nylon et des talons hauts de bonne salope prête à consommer. »

Heureusement mon rendez-vous coquin était arrivé avant moi et je n’eu pas à me faire importuner par d’autres hommes à cause de ma mini jupe et surtout du petit cul qu’elle ne parvenait pas à cacher. Mais j’eu cependant une belle peur car il me surpris par derrière en me prenant par la taille comme si nous étions de vieilles connaissances. Mon cœur ratait une ou deux battements et cela m’excita instantanément. J’adore les sensations fortes et les surprises.

Je me retournais pour l’embrasser sur la bouche sans même prendre le temps de vérifier si son physique correspondait aux photos de son annonce coquine. De toutes façons le physique m’importe peu. Ce que j’aime ce sont les situations, le contexte et l’histoire racontent les corps. Je savais que c’était lui juste au grand manteau de tweed bordeaux qu’il portait. Et comme j’avais très froid j’étais heureuse qu’il m’en enveloppe pendant notre baiser.

-« J’adore ta mini jupe » furent ces premiers mots. Ces mains pelotaient déjà mon petit cul et j’embrassais fougueusement pour l’encourager. Notre long baiser et les mains très baladeuses sous ma mini jupe furent interrompus par le ralentissement d’une voiture de gendarmerie à notre hauteur. Je le prenais par la taille et l’entrainais comme si nous étions de vieux amants. La marée chaussée nous laissait tranquilles et j’emmenais mon mignon jusqu’au porche d’entrée du petit immeuble où se situait mon AirBnB. Je tapais le code pour entrer dans l’immeuble, sa main était à nouveau sous ma mini jupe. Je le laissais faire : »C’est au dernier étage tu me suis ? »

La question était de pure forme. Bien sûr qu’il me suivait. En montant les marches je m’appliquais à rouler du cul et à faire claquer mes talons aiguilles sur le bois sec du vieil escalier. Arrivés en haut, au quatrième, je cherchais les clef dans mon mini sac à main. Il en profita pour me plaquer contre la porte et  relever ma mini jupe pour mettre sa main par derrière entre mes cuisses. « Tu sais que si tu ne te dépêches pas d’ouvrir je vais te prendre contre la porte ? »

« Je ne suis pas contre mais à l’intérieur on aura plus de temps…Et j’ai quelques accessoires qui pourraient te plaire… »

« Hummm, tu m’as l’air d’une bonne grosse cochonne toi dis donc. »

J’avais trouvé les clefs mais je décidais de faire semblant de chercher encore pour voir jusqu’où il irait. Je ne fus pas déçue. Il se mit à genoux devant moi, la tête sous ma jupe et déchira le devant de mon string noir en me poussant fermement contre la porte. A travers le tissus de ma mini jupe je pressais sa tête pour l’inciter à aller au bout du cunnilingus qu’il semblait prêt à m’offrir. Sa langue et ses doigts étaient juste comme j’aime. Fermes sans être brutaux. Déjà au bord de mon premier orgasme de la soirée je devinais son pouce dans ma chatte, le majeur cherchant le bord de mon anus. Des lèvres il suçait mon bouton et sa langue…sa langue me semblait incroyablement grande. Etrangement rapeuse comme celle d’un chat mais large et ferme. J’avais l’impression de l’avoir partout en même temps. Je devais me mordre les lèvres pour ne pas gémir.

-« C’est bon, tu as gagné, arrête, j’ai trouvé la clef. »

Je me forçais à regret à tirer sa tête vers le haut pour le relever et ouvrir la porte du minuscule studio qui était ma garçonnière  pour une nuit.

La suite, mesdemoiselles, mesdames et messieurs, n’appartient qu’à nous et, souffrez que, pour une fois, je vous laisse sur le pas de la porte. Vous ne saurez pas dans quelles positions (très au pluriel) je l’ai sucé ni combien de fois entre ce début de soirée et le lendemain en fin de matinée il m’a éjaculé dans la bouche. Vous ne saurez pas s’il pri le temps de m’enlever ma mini jupe pour me prendre par derrière comme une chienne en chaleur. Ceux qui me connaissent se doutent que j’ai crié quand il m’a sodomisée. Ceux qui m’ont pratiquée savent que nous n’avons reculé devant aucun stimulant chimique pour faire durer le plaisir jusqu’à l’épuisement…Et que nous avons recommencé au réveil. Un réveil dont la douceur à contrasté avec les brutalités consenties de la veille. Mais pour une fois je vous laisse deviner et n’en raconte pas plus. Juste un détail, ma mini jupe était tellement froissée que le lendemain c’est en tailleur strict et très sage que j’ai quitté le petit studio pour me rendre à mon rendez vous commercial qui, lui, n’eut rien de coquin.

Filles faciles mythe ou réalité

Fille facile
fille facile, photo offerte par mon amie riddhi d’EuroLive (je ne vole jamais les photos !)

Les filles faciles existent-elles en dehors des publicités racoleuses pour des sites internet à plans cul bourrés de faux profils ou de prostituées plus ou moins occasionnelles ? La question mérite d’être mise sur la table à défaut justement d’y mettre une fille facile. Je reçois beaucoup de commentaires ou de mails d’hommes en recherche de plan cul déçus pour ne pas dire dégoutés par les sites de rencontre à plan cul et découragés dans leurs recherches. Ils en tirent la conclusion que les filles faciles n’existent pas, qu’elle ne sont jamais réelle et sont un mythe inventé par l’industrie du porno.

Les filles faciles semblent difficiles à trouver

Personnellement j’aime que les mecs envisagent mon petit cul comme un objet de désir. Si j’aime évidement me faire bien défoncer, en vrai ce que j’aime par dessus tout c’est être désirée à en craquer la couture de vos pantalons. Cela fait pas mal de temps que j’ai sauté le pas et que je consomme sans modération des amants trouvés sur internet mais aussi levés au hasard de mes pérégrinations à travers les régions de France que mon job de commerciale me donne l’occasion de visiter. Et, à travers se blog de mes rencontres adultères je reçois souvent des témoignages d’autres femmes jeunes ou matures qui sont, tout comme votre servante, des filles faciles. Alors d’où peut donc venir ce décalage entre ce que perçoivent les hommes et la réalité, semble-t-il, des comportements de certaines filles faciles.

Déséquilibre du marché des plans culs

Etudiante j’ai suivi pas mal de cours d’économie. Vous vos en doutez, je n’étais pas très assidue plus intéressée, déjà, par les rencontres étudiantes que par mes professeurs. Pourtant je ne faisais pas encore partie des filles faciles. Mais c’est une autre histoire (de cul). Pourtant j’ai retenu une chose : Tout est toujours question d’équilibre entre l’offre et la demande. Et ce que j’ai pu constater c’est que, proportionnellement, il y a bien plus d’hommes prêts à un plan cul sans lendemain que de femmes libérées avides de nouveaux partenaire fréquents. Mon expérience personnelle m’amène à penser que presque 100% des hommes sont prêts à céder. Surtout peut être plus de la moitié cherchent plus ou moins activement des plans culs. Chez les femmes, même chez celles célibataires, la proportion reste bien plus faible. Par exemple, dans mon village, où j’ai quelques responsabilités municipales, nous sommes 74 femmes entre 19 et 50 ans. Moi y compris je n’y connais que 3 filles faciles. Certaines sont peut être plus secrètes que d’autres mais j’ai le faible de croire que je sais assez bien observer les administrés. En comparaison des hommes prêts à un plan cul sans lendemain avec moi si je laisse une ouverture je dirais, sans me vanter que c’est largement plus de la moitié !

Salope mariée luxembourgeoise

salope mariée a consommer sur place
salope mariée d’humeur coquine

Une salope mariée, l’expression est crue mais elle est tellement juste pour me décrire quand je suis en déplacement professionnel loin de ma tranquille maison de campagne et de mon trop gentil mari ! Après des semaines d’abstinence sexuelle qui m’ont parues des années je reprenais enfin la route pour un déplacement professionnel à Thionville pas très loin du Luxembourg. Il faut dire que ces dernières semaines ont été tout sauf sexy pour votre humble servante. Il y a eu la grippe carabinée de mon mari qui m’a contrainte à jouer les infirmières pas du tout sexy. Puis la mienne de grippe qui m’a clouée non seulement au lit mais surtout à la maison, loin de toute compagnie masculine extraconjugale. Ensuite, de retour au bureau mon boss a cru bonde m’épargner tous déplacements au prétexte que je devais me reposer. Alors que je n’avais qu’une chose en tête : redevenir au plus vite la bonne salope mariée qui trompe son mari avec un homme qui saurait prendre soin de mon petit cul. Rien que d’imaginer les doigts frôlant ma peau là où elle est douce et intégralement épilée je me sens chaude comme une baraque à frittes. J’avais terriblement envie de me comporter comme un pute provinciale, de retrouver mon amant en sous vêtements d’escort girl ultra sexy sous un vrai manteau de fourrure. Tout en assumant ma statu de femme mariée afin de rendre mon amant encore plus déchainé. Je sais qu’une bonne salope mariée cela excite beaucoup certains hommes et, justement, ce qu’il me fallait c’était un mec excité et si possible désinhibé.

Salope mariée cherche plan cul sans fioriture

La Salope mariée que je suis aime d’habitude prendre mon temps, j’aime la drague et ces moments d’attente et d’excitation au début de la rencontre sur internet. J’aime le temps passé au restaurant à le faire languir sans pouvoir quitter mes gros seins des yeux. J’aime aussi le regard des autres clients jaloux qui n’auront pas la chance de me baiser et j’aime tout autant la gène des autres femmes mariées et bien pensantes. Mais cette fois j’avais trop envie de baiser pour bien profiter de ces à côtés. Je voulais faire ma salope mariée pour un mec qui me prendrait dès les premières minutes de notre rencontre et me défoncerait jusqu’à l’épuisement. Si possible le mien d’épuisement. Je publiais donc une annonce explicite très crue et exigeante : « Je n’irais pas par quatre chemins mais vous pourrez me prendre par trois trous. Je suis une salope mariée qui veut une nuit de baise sans retenue ni fausses pudeurs. Y-a-t-il sur ce site un homme luxembourgeois qui saura relever le défit et ma jupe de bourgeoise en chaleur ? Manque d’endurance s’abstenir ! »

La salope mariée peut jouir en étant violée !

A condition bien sûr que ce viol ne soit qu’une mascarade et qu’elle soit consentante. C’était mon cas bien sûr ce soir de fin janvier dans la très belle chambre de l’hôtel le Place d’Arme que je demandais sans vergogne à mon rendez vous violent (plus que galant…) de nous payer pour une nuit que je lui promettais orgiaque. J’avais décidé qu’il m’attendrait dans la chambre et que je le rejoindrai en talons hauts, sous vêtements noirs et sexy sous un grand manteau de vraie fourrure. J’avais dans mon grand sac à paillettes Vanessa Bruno une bouteille de Champagne Ruinart et un plug anal en cristal.

Je toquais à la porte, tu m’ouvrais et nos regards se croisaient pour la toute première fois. Ta photo de profil ne mentais pas. Tu étais grand et fort bel homme. Je suis grande moi aussi et encore plus en talons. La traditionnelle bise de bonjour plaçait mes lèvres rouges juste à ton oreille et je chuchotais : »Cette nuit c’est no limit, si tu vois ce que je veux dire… »

Tu me répondais que ce programme te convenait parfaitement et plaçais tes mains dans mon dos, sur mes hanches, encore sagement au loin de mes fesses. Mais cela te permettait de m’attirer un peu plus contre toi. Je ne résistais pas, au contraire. Ce premier rapprochement me permettait d’apprécier la fermeté de ton corps, de deviner ta force et de humer ton odeur. Je posais mes lèvres sur ton cou pour gouter ta peau. J’avais déjà, comme une débutante, des papillons dans le ventre alors que presque rien n’avais commencé. Mais je voulais me maitriser, tenir le rôle que je m’étais fixé de salope mariée bien décidée à faire la pute lubrique. Je voulais donner le meilleur de moi même pour recevoir en retour le meilleur de toi. Et pour cela, pas question de me laisser dominer par des instincts de midinette. J’oubliais donc les papillons dans le ventre, et maitrisais mon envie de jouir trop vite. Plus qu’un seul mot d’ordre : Faire durer et sortir le grand jeu. Je gardais mon corps collé contre toi et sortais la langue pour lécher ton cou, juste sous l’oreille comme une chienne (in)fidèle.

-« Tu sais, on je suis à toi toute entière et pour toute la nuit, on a le temps, ça te dis une coupe de champagne et un peu de spectacle pour commencer ? »

Je te pousse sur le grand canapé de notre belle chambre et pose mon grand sac à côté de toi. Je fais tout lentement, en restant contre toi, ma couche jamais loin de ton oreille, mes lèvres et ma langue souvent au contact de ta peau que j’aime de plus en plus. Tes mains sont baladeuses mais encore sagement sur mon manteau de fourrure. Pour l’instant tu te contente de deviner mes formes à travers le vêtement. Ta salope mariée ondule comme une chate affectueuse et tu sembles aimer cela.

Striptease burlesque d’une salope mariée pour son amant

J’ai, dans mon iPhone, une playlist spéciale striptease burlesque. Sur mon tout nouveau X le son n’est pas génial mais ça passe. J’ai préréglé le son pour que ce soit juste comme il faut, pas trop fort. Avant de me consommer tu vas pouvoir m’admirer et nous boirons un peu de champagne…

Je te pousse doucement vers le grand canapé. Je suis contre toi ton menton dans ma bouche. Tu sens le bout de ma langue et la légère succion que j’exerce te laisse imaginer que je suis experte en fellation. Je prends tes poignets et les place derrière ton dos pour t’empêcher de me peloter pour le moment. Chaque chose en son temps. Je t’assieds et me mets à califourchon sur tes genoux et j’ouvre mon manteau. Ton visage est au niveau de mon décolleté. J’aime comme tu t’y plonge pour m’embrasse à pleine bouche. De longs baisers humides qui m’incitent passer ma main dans tes cheveux pour presser ta tête et t’encourager à continuer ces délicieux baisers. Tu passes les mains dans le bas de mon dos et remonte jusqu’à l’agrafe de mon soutif que tu dégrafes sans difficulté. Humm, je vois que je suis entre des mains expertes. J’ondule du bassin pressant ma chatte sur ta cuisse. Maintenant que tu as libéré mes seins de salope tu en lèches les tétons turgescents. A mon tour de te dévêtir un peu. J’attaque directement les boutons du pantalon, tu continues à mouiller mes seins de ta salive. J’aime tes baisers mouillés. Tu te contorsionnes pour m’aider à faire glisser au sol ton futal. Ma chate de plus en plus mouillée n’est désormais séparée de la peau de ta cuisse que par mon string. Ta bite elle par contre est contre mon ventre et je la sens bien ferme. C’est à mon tour de t’embrasser, j’ai très envie de faire ma bonne grosse cochonne goulue. Je commence par ton cou que je lèche consciencieusement pour gouter le sel de ta peau. Tes mains sont sur mes fesses et tu accompagnes les très lents mouvements de mes reins. Ta bonne petite salope mariée aime faire sa grosse cochonne. J’embrasse longuement pour mouiller de ma salive tout ton cou. Je remets ta tête contre ma poitrine pour que tu en fasses autant avec mes gros seins que je veux glissants de ta salive. Tu as réussi à écarter mon string pour dénuder ma chate déjà trempée. Je prends ta main et la guide pour me masturber et sentir nos doigts se mêler dans ma cramouille. Nous nous embrassons en même temps à pleine bouche, bataille de langues, lèvres humides yeux grands ouverts, provocants. J’ondule toujours sans me presser. Je vérifie d’une main légère que ta bite est toujours bien disposée. Je pries pour que tu ne sois pas éjaculateur précoce car j’ai bien l’intention de profiter te ton corps longtemps, très longtemps. Je suis une salope mariée frustrée par les coïts de lapin de mon époux légitime et je veux trouver en toi l’amant qui me baissera à m’arracher la peau jusqu’à l’épuisement…et recommencera au petit matin.

Comment draguer une collègue de bureau mariée

sexe au bureau
photo coquine prise à mon bureau…

La collègue de bureau, vous la trouvez super sexy ! Mais elle est aussi super mariée. Des semaines, peut être des mois que vous rêvez de devenir son amant ou au moins d’obtenir un rendez vous pour un plan cul adultère avec cette bombe atomique qui vous semble inaccessible. En plus en ces temps de retour au puritanisme avec tout ce battage autour du hashtag balance ton porc et les rappels à l’ordre de la DRH concernant le harcèlement sexuel c’est sûr que l’ambiance n’est pas vraiment au libertinage entre collègue autour de la machine à café. Alors comment faire pour draguer votre collègue de bureau par ailleurs mariée et sans doute respectable ?

Draguer sa collègue, comment éviter d’être pris pour un harceleur ?

La collègue est stagiaire célibataire ou en CDI et complètement mariée, le premier problème reste qu’aujourd’hui plus encore qu’hier toute action de drague envers un ou une collègue peut vous faire passer pour un sale pervert harceleur sexuel. On peut s’en désoler ou être révolté(e) c’est ainsi et il faut accepter les nouvelles règles du jeu de la séduction en entreprise. Comme j’ai pitié de vous et que j’espère secrètement qu’un de mes collègues lira cet article sans savoir que j’en suis l’auteure, je vais faire de mon mieux pour vous donner quelques conseils de drague qui j’espère vous aideront à pécho la jolie collègue mariée dont l’image sensuelle hante vos nuits. Et comme j’aime aussi provoquer une certaine raideur là où vous savez je tâcherai de parsemer cet article sur la drague entre collègues de scénettes sexy du genre : « Il coince sa collègue sexy contre la photocopieuse, soulève sa jupe et la fait jouir en levrette… »

Mais nous n’en sommes pas encore là et revenons donc au début de notre histoire : Florence, car nous l’appellerons Florence, est votre collègue depuis quelques temps déjà. Jeune Maman elle est aussi mariée et respectées de ces collègues des deux sexes. Mais, à vos yeux elle est surtout terriblement désirable, la parfaite MILF. Vous ne pouvez vous empêcher de deviner ses courbes sous le tailleur stricte ou le pullover irréprochable qu’elle mets dès les premiers frimas. Vous la fantasmez torride et sensuelle. Avouons le, il vous est arrivé de penser à elle dans les toilettes de la boite en vous masturbant. Franchement il n’y a pas de honte, je ne vous jetterai pas la pierre car je suis moi aussi coutumière de ces pratiques onanistes…

 Tout d’abord gardez en tête qu’un bon plan pour draguer efficacement une collègue ou un femme mariée comporte 3 étapes :

– Lui faire comprendre qu’elle vous intéresse

– Susciter un sentiment d’urgence (on verra plus loin de quoi je veux parler)

– Savoir conclure au bon moment.

Avec une collègue de bureau c’est la première étape qui comporte le plus de risque d’être considéré comme un harceleur. Il faut y trouver le bon dosage entre être suffisamment explicite et ne pas être trop lourd. Paradoxalement le fait que votre collègue de bureau soit mariée va ici s’avérer plutôt un avantage. De nos jours la drague en milieu professionnel est de plus en plus mal vue et dangereuse. Toute approche d’une collègue célibataire, surtout si elle est visiblement sexy, est considérée comme suspecte. Se rapprocher d’une femme mariée et respectable passe, croyez moi, bien plus inaperçu.

 Enfin, arrêtons un peu les généralité, je pense que vous avez compris le message et place à l’action. Il faut maintenant prendre votre courage à deux mains (ce qui implique de lâcher votre bite…) et enclencher la première étape de votre plan drague ou de ce que j’appellerais la mission : »Pécho la collègue sexy et mariée. » Vous allez donc lui faire comprendre qu’elle vous plait. Il s’agit donc, classiquement de la complimenter. Sans non plus en faire des caisses. Ayez confiance en la gent féminine, nous comprenons en général assez vite quand un homme s’intéresse à nous…

Plan en 3 étapes pour Pécho la collègue sexy

Etape 1 : faire comprendre à la collègue sexy qu’elle vous intéresse

Tout d’abord, repérez ses horaires : arrivée au bureau, pause café, heure de déjeuner. Arrangez vous pour faire coïncider vo horaires aux siens. Attention, n’en faite pas trop. Arrangez vous juste pour arriver en même temps qu’elle disons trois jours par semaine. Faites en sorte que la moitié environ des pauses café soient communes avec votre collègue sexy. La technique de cette première étape va consister à accumuler les « signes de reconnaissance positifs ». Il s’agit de chose positives que vous direz à propos de votre collègue. Creusez vous la tête, les compliments n’ont pas besoin d’être sur le physique. Cela peut être l’habillement que vous trouverez classe (plutôt que sexy !). Mais aussi des qualité de travail, d’écoute. Vous pouvez aussi l’admirer de cumuler travail et vie familiale (surtout si elle a des enfants). Une astuce : Les compliments ne doivent pas nécessairement lui être adressés directement. Vous pouvez dire à un autre collègue combien vous appréciez votre cible (professionnellement bien sûr !). En multipliant les choses positives dites ayez confiance, cela lui viendra forcément à l’oreille. Surtout un compliment rapporté est toujours plus apprécié, mais je reviendrai plus en détail là dessus dans un prochain article. Donc l’idée c’est de multiplier les signes positifs sur une période suffisamment longue. Je dirais entre deux semaines et un mois. Eh oui, la drague si on cible une personne en particulier et que l’on veut avoir de bonnes chances que ça marche il faut être patient et méthodique. No pain, no gain !

Etape 2 : susciter le sentiment d’urgence

Rien n’est plus désirable que ce que l’on a le sentiment de risquer de perdre. Une fois que votre collègue sexy a compris que quelque chose est possible avec vous, le meilleur moyen de l’amener à vous céder c’est de lui faire croire que l’occasion risque de disparaître. Une technique qui fonctionne consiste à évoquer un départ proche pour l’étranger, une autre ville ou simplement une autre boite. C’est tout bête mais, croyez moi, un collègue qui va bientôt partir devient instantanément l’objet de bien plus de désir. Surtout si la collègue sexy que vous voulez attirer dans votre lit (ou ailleurs) est mariée alors un plan cul avec vous lui semblera moins risqué si elle sait, ou croit savoir, que vous ne serez bientôt plus dans les parages.

Etape 3 : Concluez !

Forcément, à un moment il faut oser, prendre un risque. Sachez que si vous avez passé les deux premières étapes alors il est très probable que la troisième ne soit qu’une formalité. Pour célébrer votre prochain départ invitez votre collègue à un déjeuner ou un thé seul à seul à l’extérieur. Osez dire que vous regrettez de ne pas avoir plus pris le temps de bien la connaître et que vous aimeriez vraiment vous rattraper en l’invitant pour un déjeuner ou un thé seuls. N’ayez pas peur de préciser « seuls ». Et bien sûr réservez une chambre juste à côté, ou invitez chez vous si la place est libre.

Voilà, rien de bien sorcier, c’est simple mais efficace. Je suis consciente que ces conseils ne résoudront pas tout. Mais j’espère néanmoins que ce guide et ces quelques étapes donneront des idées à certains d’entre vous !

Si vous tombez sur cette page par hasard et que vous voulez lire un de mes plans culs alors pourquoi ne pas commencer par mes aventures Nantaises

retrouvez moi ici…

Sugar Baby cherche sugar Daddy

J’ai de grands yeux, une bouche pulpeuse et un regard mutin qui, sans me jeter des fleurs peuvent aisément me faire passer pour la très jeune étudiante sexy que je ne suis hélas plus (je reste sexy mais ne suis plus étudiante). Et comme j’aime les plans culs contrastés j’avoue parfois me faire passer pour plus jeune que je suis afin, paradoxalement, de séduire un homme largement plus mûr que moi. Pour mon sugar daddy je fais ma sugar baby.

sugar babies
sugar baby à clicker

mes autres articles

Sugar baby cherche Sugar Daddy

Voici donc l’annonce que je publiais hier sur copinedesexe : « vingt six ans et toutes mes dents blanches et bien alignées comme de petites perles de porcelaine qui feraient un très beau collier autour de la bite d’un homme de préférence mûr. Quinquagénaire accepté, si bon vivant et espiègle comme moi. Je cherche une relation prolongée au moins jusqu’à la fin de l’année universitaire. Un homme attentionné avec qui je saurais être tendre, aussi entreprenante que reconnaissante. Si tu veux être mon sugar daddy je serai ta sugar baby. Faisons un essais gratuit, ça n’engage à rien mais je suis certaine que tu ne voudras pas en rester là ensuite alors sois prévenu Monsieur mon sugar daddy ! »

J’agrémentais d’une photo que je ne reproduis pas ici juste pour vous frustrer parce que je suis comme ça ! bien salope !

 Forcément, à peine avais-je posté mon profil que les demandes pleuvaient. Je ne cherchais pas un étalon fringant. Pour tout dire, le sexe je l’aime parfois bien gras. L’homme un peu âgé et légèrement bedonnant est bien souvent surprenant de vigueur et d’inventivité quand il se retrouve dans une chambre d’étudiante avec sa sugar baby pour lui seul offerte.

Trouver un AirBnB qui ressemble à une chambre d’étudiante fut très facile dans cette grande ville de Province où je posais mes valises coquines pour 48 heures. Je donnais rendez-vous à Jean, mon Sugar Daddy, dans un très cossu restaurant étoilé dans le vieux centre de cette ville dont je tais le nom cette fois. Le restaurant n’avait qu’une étoile mais il me semblait suffisamment cher pour qu’avec l’apéritif, le vin et le dessert mon sugar Daddy dusse s’acquitter d’une note proche des quatre chiffres. Je savais que plus il paierait plus il serait exigeant avec mon corps gracile par la suite. Je ne voulais pas qu’il me ménage et cela me semblait une très bonne stratégie.

Sugar baby cèdera ou cèdera pas ?

C’est toujours un délicieux plaisir de tenir le rôle d’une sugar baby dans un restaurant classieux et un peu guindé. Ce plaisir est hélas souvent gâché lorsque le sugar daddy n’assume pas et semble gêné par les regards de biais des autres clients. Mais cette fois j’étais chanceuse et mon sugar daddy assumait à fond et semblait même prendre grand plaisir à m’exhiber comme un trophée. La façon dont il me tenait par la taille en entrant n’avait rien de paternelle et il était difficile de se méprendre sur la vraie nature de notre relation. J’avais choisi pour l’occasion une robe en laine brun Grizzly  très moulante sous laquelle il était facile de deviner que mes tétons était déjà tout durs. C’était déjà l’hivers et, sans dévoiler le nom de la ville choisie pour mon plan sugar baby je peux vous révéler que nous n’étions pas dans le sud. Aussi mes collants de laine étaient épais et j’avais sur le dos un manteau de vraie fourrure. Tout cela ne collait pas avec e look que l’on imagine d’une étudiante mais peu m’importait. J’avais mis dans mon annonce que j’étais étudiante et mon sugar daddy n’avait pas vraiment de raison d’en douter. C’est d’ailleurs l’angle d’attaque qu’il choisi pour meubler la conversation : « Alors, ma belle, tu étudies quoi exactement ? »

-« Je suis en Master Biologie-Santé. » Le niveau master me permettait de ne pas prétendre avoir tout juste vingt ans et ce n’était qu’un demi mensonge puisque c’est effectivement mon domaine.

-« Ah, un jolie scientifique donc ? »

Je m’empressais d’ajouter : »Mais en parallèle je suis une formation privée de techniques de massages bien être. J’aimerais un jour monter mon propre salon. »

-« Hummm, il va absolument falloir me montrer ça dis donc… »

Moi, faisant mine d’être timide : »Enfin, je débute. Mais, oui, bien sûr, je peux vous montrer…tout à l’heure. »

-« J’adore les massages. Tu sais ce que je préfère comme massage ? »

-« Heu non ? »

Il s’approche de moi par dessus la table et me glisse à l’oreille juste assez fort pour que la table d’à côté puisse entendre : »Ce que je préfère c’est le massage bucco pénien… ;o) » Je mets un smiley ici puisqu’il accompagne sa saillie d’un clin d’œil complice.

Je baisse les yeux, mets la main devant ma bouche faussement choquée et rougis. Eh oui, aussi surprenant que cela puisse paraître je rougis très facilement. C’est plus fort que moi.

Sous la table son pied s’est avancé et je le sens contre ma cheville. Je me demande si les autres clients ont remarqué cela. Peut être pas puisque la table est, comme il se doit, drapée. Tout à l’heure j’enlèverai peut être mon pied de ma ballerine et lui montrerai ce que c’est que vraiment faire du pied quand on est une sugar baby un peu cochonne. Mais pour l’instant je lui laisse prendre les initiatives et me contente de repérer les plats les plus chers de la carte.

 Que l’on soit dans un plan sugar baby rencontre sugar daddy ou sur un one shot coquin classique ce que je trouve toujours assez dommage dans les rencontres préparées sur internet c’est que, sachant qu’on est entre adultes consentants pour baiser, alors il n’y a que très peu de suspense. Les préliminaires, les vrais, ceux qui se passent habillés, souvent dans l’espace public, sont bâclés. Alors il y a peu de temps consacrer à faire monter le désir, à accumuler la frustration qui, justement est souvent proportionnelle au déchainement qui va suivre. C’est pour cela que j’aime donner rendez vous assez tôt dans la soirée et ne pas tout de suite me jeter sur le mec pour m’enfiler vingt centimètres de bite dans ma chatte trempée. Même si en vrai je ne vis presque que pour cette bite dans ma chatte ou ailleurs, j’aime qu’il y ait suspense, attente et même parfois je me dérobe au dernier moment juste pour le plaisir sadique de voir la mine déconfite de mon plan cul qui croyait que tout lui était acquis. Il ne faut jamais vendre la peau de la chienne avant de l’avoir tronchée !

J’éloignais donc ma cheville de son pied trop entreprenant tout en souriant à mon Sugar Daddy qui commençait à douter de sa bonne fortune. Sadique, pour accroitre son trouble je me lançais dans un discourt peu encourageant : »Vous savez, je suis une fille bien. Certes je suis un peu dans le besoin mais pas forcément prête à tout… »

« Ah?…Heu…que dois-je comprendre par là ? Ton annonce semblait pourtant assez claire. »

J’avoue que je prenais un grand plaisir à voir sa mine déconfite. Je soupçonnais que plus je le torturerai, soufflant le chaud et le froid, plus il risquait de me le faire délicieusement payer si, plus tard, je décidais de céder.

Je dois dire que le temps passé avec mon Sugar Daddy dans ce restaurant était aussi délicieux que le menu qui nous fut servi. J’étais parvenue à semer le doute dans son esprit. Aussi, sachant que mon beau petit cul de sugar baby pouvait contre toute attente lui échapper il faisait de vrais efforts pour ne pas laisser tomber la conversation. Il était d’ailleurs très habile à ce petit jeu. Il savait se montrer spirituel, il prenait le temps d’écouter mes inepties sur la dure vie d’étudiante désargentée, il s’intéressait à moi et à l’enfance difficile et campagnarde que je m’inventais au fur et à mesure de notre discussion.

Je pris plaisir à manger le plus lentement possible pour faire durer son supplice. Mais comme je suis bonne joueuse et que, malgré tout je n’avais pas trop envie de rentrer me coucher seule à la fin du dîner je proposais à mon sugar Daddy de prendre un dernier verre dans mon studio d’étudiante. Mais seulement s’il promettait d’être sage. Ou tout du moins d’essayer.

Sugar baby à croquer

 A peine étions nous rentrés dans le tout petit studio Air B&B que je comprenais qu’il n’allait pas être facile de continuer à me dérober. Bien sûr j’avais raison, à la toute première occasion, au moment où je lui tourne le dos pour refermer le verrou de la porte mon Sugar Daddy se colle à moi par derrière. Je feints la surprise une demi seconde mais finalement je me laisse aller et presse mes fesses contre lui. Sa bouche est sur mon cou, ses mains sur mes hanches.

-« C’est comme cela que vous tenez votre promesse d’être sage ? » dis je sans chercher à me dérober.

-« J’ai promis d’ESSAYER, pas de réussir ! » Ses mains relèvent ma robe de laine et sa bouche délicieusement baveuse embrasse mon cou. Heureusement sans tentative de suçon ! Je mets ma main dans ses cheveux et ondule du bassin en prenant soin de bien garder mon cul pressé contre sa queue que je sens durcir à travers le tissus. Sa main se fait baladeuse le long de mes cuisses et remonte vers mon con tout chaud. Mais je ne veux pas qu’il s’aperçoive que je mouille déjà comme une chienne en chaleur. J’ai envie encore qu’il croie que je feint, que je suis une étudiante sexy dans le besoin qui, bien que mettant du cœur à l’ouvrage, n’en aimerait pas moins être ailleurs. Je veux lui résister encore un peu pour qu’il doute encore et m’en punisse plus tard. Alors je saisi sa main et la remonte sur mon ventre pour lui faire comprendre que je suis d’accord pour des caresses sexy mais pas pour lui donner accès à mon intimité de jeune fille. Je me retiens aussi d’onduler et me dérobe un peu. Plus facile à dire qu’à faire vu que je suis coincée entre la porte devant moi et lui dans mon dos. Ou plutôt, devrais-je écrire contre mon dos. D’ailleurs mon sugar daddy a bien compris que je ne suis pas très décidée à me dérober et qu’il peut forcer un peu le destin car il se fait plus pressent. Il embrasse mon cou à pleine bouche et, comme je ne me dérobe pas vraiment, forcément mon sugar dady à les mains qui se font baladeuse sous la robe en laine. Il s’aperçoit vite que je n’ai pas de soutif et, surtout il sent du bout des doigts que les tétons pointent. J’ai abandonné toute velléités de résistance et je mets ma main dans ses cheveux pour l’encourager à m’embrasser encore. Il pelote mes seins et j’adore ça. C’est moi qui remonte ma robe pour dévoiler mes fesse. Je regrette d’avoir cet épais collant en laine mais je prie pour que cela ne l’empêche pas de me caresser à travers le tissus d’abord puis ensuite de glisser sa main entre la laine et mon con trempé.  Je passe une main sur son entrejambe et ce que je devine me plait carrément. Ca semble gros et dur à souhait !

-« on serait mieux sur mon canapé non ? »

il me libère et je le pousse sur le canapé qui n’est pas loin. L’avantage des tous petits appart airbnb !

je m’agenouille par terre entre ses genoux et déboutonne le pantalon de toile fine. Sous le caleçon en soie un gros sucre d’orges de Noël. 🍭

Je fais mine d’hésiter et d’avoir un petit mouvement de recul juste pour le plaisir de sentir sa grosse main de poser sur ma tête pour me pousser à lui faire la fellation qu’il pense lui revenir de droit. Je m’exécute en bonne sugar baby docile. Docile et appliquée. Très appliquée, je suce avec une lenteur calculée, en serrant bien les lèvres et en utilisant au mieux ma langue.

Plus je suce, plus j’aime sucer. Au début je pensais que c’était une question de technique et de dextérité. Mais aujourd’hui je sais que tout l’art d’une bonne fellation est dans le feeling de l’état d’excitation de mon amant. Savoir ralentir ou même arrêter avant le point de non retour pour éviter une ejaculation précosse est tout un art que je commence à bien maîtriser. Alterner entre les couille et la queue, me déshabiller au bon moment pour utiliser les seins, délasser les souliers du mec tout en suçant…ce soir là je parvenait à me dénuder entièrement et à lui ôter son pantalon tout en continuant à le sucer ou à le branler. J’aime savoir qu’il a une vue imprenable sur la chute de reins et mon petit cul quand je le suce. Quel bonheur de sentir sa grosse queue dans ma bouche. Je serre bien les lèvres, avançant et reculant la tête lentement, sans me presser, je savoure l’instant présent sans me soucier de savoir s’il va savoir se retenir ou m’éjaculer son foutre au fond de la gorge. Lui de son côté semble avoir compris que je prend plaisir à la chose et qu’il a maintenant tout son temps. Je ne vais plus me dérober. Il se déshabille entièrement en me laissant le sucer à mon rythme. Quand je lève les yeux sans lâcher la belle queue qui reste entre mes lèvres je constate avec ravissement que mon sugar daddy est nu comme un vers et finalement assez bien conservé. Les abdominaux sont là, pas trop de masse adipeuse et juste ce qu’il faut de poils sur le bas du ventre pour me donner envie d’y frotter le mien tout lisse. Alors je lâche des lèvres son beau braquenart et remonte lentement en prenant soin d’embrasser et de lécher abondamment le ventre puis le torse de mon sugar daddy.  Lorsque mes lèvres de petite salope sugar baby son sur son cou ma chatte toute épilée est contre son sexe dur. Je m’aide de la main pour l’introduire. C’est tellement bon, je suis déjà au bord de l’orgasme. Je sais que ça va durer car j’ai l’intention de le garder toute la nuit pour plusieurs rounds de baise. Je veux qu’il me baise, me rebaise et me fasse jouir jusqu’à l’épuisement. Je l’en sens capable et, au besoin je le droguerai sans vergogne. Puis, demain, je disparaitrai de sa vie et lui de la mienne !

Pornographie en alexandrins

Journal intime d’une jeune soubrette

Toute nouvelle au chateau, je n’avais pas soupé. Dans le garde manger je pensais être seule. Alors oui, j’ai fauté et voici mon histoire :

Arrivant aux cuisines, las, vous m’avez surprise

Une miche de pain, A peine un peu de beurre

Maigre était ma rapine, sur le fait j’étais prise

-« Tu chapardes mon bien ! Tu me brises le cœur ! »

-« Monsieur je vous supplie, point ne me punissez

Si vous me pardonnez, je vous rembourserai »

-« Si le forfait j’oublie, je perds tout ton respect

Ah si je m’écoutais, je te licencierais ! »

-« Oh non je vous en prie, je veux me racheter,

Ne me renvoyez pas, Je ne sais où aller

Je veux faire pénitence, Ordonnez j’obéis. »

A genoux je supplie, les larmes au bord des yeux.

-« Devant tant de détresse, je serai magnanime

Si tu voulais du pain, c’est que tu avais faim

J’ai là un bon mandrin à te faire avaler« 

A ces belles paroles le geste vous joignez

De vos braies vous sortez un morceau qui m’effraie

Je voudrais refuser, mais je n’ai pas le choix

Je dois obtempérer, je tiens à mon emploi

Mais je suis débutante, ne sais où commencer

Mon maître s’impatiente : »Commence donc par lécher ! »

Une langue timide, se pose sur la chair

A mon étonnement, cela est tiède et doux

Je lèche tout du long, suce par le côté

-« Continue ma mignonne, tu peux te racheter

Je ne suis pas ingrat, j’ai soin de ton confort

Pour ne pas étouffer, délasse ton corsage »

C’est vrai qu’il fait plus chaud, et me voilà seins nus

-« Quelle belle poitrine et tu me sembles douée

Je m’en vais t’enseigner, la branlette espagnole

Là, presse bien tes seins autour de mon mandrin

Et baisse ton minois pour me sucer le gland

Serre un peu mieux les lèvres, c’est bien applique toi

Si tu veux mon pardon, continue comme ça »

Chaque fois plus profond, vous glissez dans ma gorge

Si mes larmes on séché ma culotte est mouillée

-« Suffit, relève toi, donnes moi un baiser »

-« Et si je vous embrasse me laissez vous partir ? »

-« Voyez vous ça soubrette, peux-tu être naïve !

Ainsi à si bon compte, croyais tu t’en tirer ?

Retourne toi souillon, penche toi sur la table

Retrousse ton jupon et baisse ta culotte

Aurais tu oublié ? Je te dois punition. »

-« J’implore votre pardon, s’il vous plait soyez doux »

Mes suppliques sont vaines, et votre main se lève

S’abat sur mon séant, dix fois vingt fois cent fois.

La claque est vigoureuse, la fessée douloureuse

A chaque coup j’implore, je crie pleure et je geint

Enfin les coups s’arrêtent, vous soufflez sur mes fesses

Elles doivent être rouge, et je les sens à vif

Pour calmer la douleur, vous étalez du beurre

Vengeresse tout à l’heure,  la main se fait caresse

L’index et le majeur fouillent mon con trempé

Tendis qu’en mon anus, vous enfoncez le pouce

Je gémis malgré moi de honte et de plaisir

En moi je sens vos doigts, mais j’ai d’autres désirs

Les coups sont oubliés, je dis : « oh oui, encore ! »

Maître qu’à dieu ne plaise, je vous donne ma fleur,

C’est donc cela la baise, pénétrez moi sur l’heure

Prenez mon pucelage, j’ai fini d’être sage

Pour ma première fois, je suis prise en levrette

Et votre queue me fouille encore mieux que vos doigts

C’est si bon je défaille, j’en pleurerais de joie

-« Profitez mon enfant, car c’est à vos dépends

Que vous allez apprendre, tout plaisir a sa fin »

C’est pour changer de trou que vous défouraillez

-« Oh non pas ça monsieur, c’est bien plus gros qu’un pouce

Epargnez moi cela, ça ne rentrera pas »

-« Oh n’en sois pas si sure, tu es bien ma pointure

Si ça fait un peu mal, tu as droit de crier »

Vous rentrez dans ma fente, comme on enfonce un coin

Et ce n’est pas un cri, mais un long hurlement

Poussé à pleine gorge, mon pauvre fondement !

Vous empoignez mes hanches, pour mieux me défoncer

Et vos coups de butoir, sont sans ménagement

Quand vous vous retirez, c’est pour me retourner

Je vois votre giclée qui souille mon giron

-« Allons, je me rhabille, me détourne de toi

Tu es une bonne fille, tu gardes ton emplois. »