Baisée au téléphone

-« Téléphone à ton mari ! »

-« heu…là comme ça maintenant? »

-« oui, tu t’allonges sur le ventre là, sur le lit, et tu appelles ton mari. Tu le gardes au téléphone pendant que je m’occupe de ton petit cul de femme adultère ! J’adore ton petit cul. »

-« Ah ? Ok, pourquoi pas… »

Je m’installe sur le lit, compose le 06 de mon mari. Je plie les jambes pour montrer mes mollets. Collant noirs et talons hauts 👠 . Troisième sonnerie. Mon mari décroche : « Oui Chérie ? »

Il m’appelle Chérie par habitude. Dans sa voix un pointe de lassitude, d’ennuis que je l’appelle. Trouver un truc à dire, improviser.

-« Allo, je suis enfin à l’hôtel ! Ça va à la maison ? »

Bon je sais, pas terrible comme improvisation. Mais il faut dire que les caresses sur mes cuisses ça n’aide pas vraiment à se concentrer.

-« Oui, ça va, j’ai couché Anaïs et promené le chien. Tu leur manques…À moi aussi tu me manques. »

C’est rare que mon mari dise que je lui manque. Depuis que je le trompe cela a rééquilibré notre relation. Il n’est pas vraiment fidèle. Mais je ne penses pas qu’il  se doute que je suis infidèle. Et je prends bien soin de le laisser me baiser presque tous les week-ends en faisant semblant de jouir pour le rassurer. Là, au téléphone son : « tu me manques » me fait me sentir vaguement coupable. La main de mon amant remonte entre mes cuisses. Je les serre et me tortille un peu pour me dégager. Je me demande si je ne vais pas trop loin. Mais il presse la paume de sa main sur mon dos et m’embrasse délicatement dans le cou. Le cou c’est mon point faible. Ça l’a toujours été même adolescente avant mes premières relations sexuelles. Si un mec veut me faire fondre il lui suffit d’embrasser mon cou !

-« oui…toi aussi tu me manques. Ça a été son contrôle à l’école à Anaïs ? »

C’est bête mais parler de notre fille me déculpabilise de tromper mon mari. Cela peut paraître paradoxal mais c’est comme ça.
J’ai imperceptiblement écarté les jambes et sa main remonte à nouveau le long de l’intérieur de mes cuisses. Mon collant très fin exacerbe les sensations. Le nylon fait comme de l’électricité statique. Je me cambre un peu. Son doigt juste sur ma chatte.

-« Oui, super, que des pastilles vertes ! Et toi, ta journée ? »

-« Ennuyeuse à mourir. Mais maintenant je suis dans ma chambre, je….je me…détends »

Pendant que je tente d’avoir une conversation naturelle mon amant caresse ma chatte à travers le nylon. Je ne mets jamais de culotte sous les collants quand j’ai un plan cul. Je commence à avoir très chaud et des papillons dans le ventre. Je tente faiblement de repousser sa main mais il coince son genoux entre mes cuisses pour m’empêcher de me refermer.

-« hummm…nnnn….stopppp » je chuchote la main sur le micro de l’iPhone.

-« Allo ? Tu dis quoi ? Je t’entend pas… »

-« ah oui, pardon, j’ai la fermeture de la valise qui est coincé. »

-« ah, tu veux qu’on se rappelle plus tard ma chérie ? »

Mon amant me fait signe que non. Il pince ma fesse assez fort pour m’indiquer que si je ne fais pas comme il veut ça peut barder pour moi. Je décide d’obéir, je ne me sens plus du tout coupable, la situation m’excite.

-« Non non, t’inquiètes, c’est bon… d’entendre ta voix… »

Il a mis son genou juste contre ma chatte qui commence a bien mouiller. Je me frotte à lui. Je dois être trempée. Le nylon fait un bruit caractéristique quand il le déchire au niveau de mes fesses.

De l’autre côté du téléphone : « ??  Allô ? Ça va ? T’as déchiré quelque chose… »

« Oui…heu j’ai accroché mes collants sur le coin de la chaise… »

-« hummm, tu dois être jolie à voir ! Face Time ? »

-« heu…non, j’ai pas de 4G, je suis en hedge… »

-« Ah. Au fait demain je vais à casto, on dit toujours bleu pour le mur du couloir ? »

Nouveau bruit de nylon déchiré. J’ai les fesses bien à l’air. Il passes trois doigts entre mes cuisses sur ma chatte trempée et il commence à caresser juste comme j’aime. Dans la longueur, un doigt qui rentre et sort. Je mords mes lèvres.

-« hein? Heu ? Oui…bleu…si tu…veux.. »

-« Allo, tu es sûre que ça va ? »

-« Oui ! Oui ! Très bien…je vais très très bien… »

-« Non parce que j’ai encore entendu un bruit de tissus déchiré. »

-« oui, foutu pour foutu je l’ai arraché…tu disais quoi…déjà ? »

Deux mains passent sous mon ventre pour me soulever. Je suis à genoux. En position levrette. Un gémissement m’échappe quand il me pénètre.

-« Cherie ? »

-« hummm, nooon, je …me …suis …heu…cognée l’orteil…huummm, ça …fait…hyper mal….sa mère…. »

Il m’embrasse le cou à pleine bouche en me ramonant en levrette. J’en peux plus, ça devient impossible de rester naturelle au téléphone.

-« han…mon chéri…on se rappelle demain ok…la j’ai trop…mal »

FIN

me rencontrer…ici

 

 

 

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