Dépucelage anal au château

Dépucelage anal, choisir le thème de mon premier billet n’a pas été si difficile tant cette expérience a été marquante pour moi. Je décide donc de vous raconter mon dépucelage anal.

Avant de me retrouver cocue et de décider, en janvier 2014, de m’adonner aux rencontres coquines sans lendemain pendant mes déplacements professionnels, je dois avouer que j’étais plutôt novice niveau baise. J’avais eu quelques expériences de jeunesse et une sexualité que je pensais plutôt épanouie avec mon mari mais j’avais toujours refusé la sodomie. Il faut dire qu’on ne me l’avait pas non plus proposée de manière insistante.

Arrivée au château de mon dépucelage anal

C’était le mardi 4 mars 2014, en Charente, je devais visiter une grosse pharmacie de Cognac le mercredi matin ce qui me donnait un prétexte idéal pour prendre une nuit d’hôtel la veille. Comme j’adore les beaux hôtels et que mon patron me laisse pas mal de liberté j’avais jeté mon dévolu sur le Château de Brillac près de Jarnac là où est enterré François Mitterrand. J’arrivais vers 21h00 avec ma jolie Fiat500 de fonction et je prenais plaisir à entendre le gravier de l’allée qui menait au château crisser sous les pneus alors que je roulais au pas. Marco07 que j’avais branché la veille sur Infidèle Messenger me suivait dans une Renault Mégane assez banale. Cela commençait mal, il m’avait pourtant paru plutôt distingué dans nos brefs échanges par webcam. J’en étais seulement à mon cinquième plan cul en deux mois et à part une exception qui m’avait incité à persévérer j’avais été plutôt déçue jusqu’alors. Pas dégoutée, non, mais juste un peu déçue. Je le laissais se garer à côté de ma voiture et sortir en premier. Il ne faisait pas trop sombre, l’extérieur du château étant assez bien éclairé. Je constatais avec satisfaction que Marco07 avait un costume plutôt bien taillé et des souliers vernis impeccables. Eh oui, il faudra vous y faire je suis comme cela, pour moi l’emballage compte autant que le contenu. De mon côté je portais un tailleur gris perle, des bas noirs et une paire de bottines sans talons. Plutôt grande je ne voulais pas intimider le monsieur. J’ouvrais grand la porte de la Fiat et prenais soin de pivoter sur mes fesses en relevant mes longues jambes pour lui laisser l’occasion de mâter un peu. Marc, car c’était son vrai prénom je suppose, s’avança vers moi et me fit la surprise d’un baise main en guise de salut. J’avoue avoir été un peu désarçonnée par ce geste d’un autre âge, surtout pour un homme dans la quarantaine supposément en quête d’un plan cul sans lendemain. Il vit mon sac de voyage en cuir sur la banquette arrière et s’en chargea sans un mot, lui n’avait aucun bagage. La propriétaire du Château de Brillac nous attendait et comme c’est moi qui m’avançait en premier elle me donna la clef de la chambre n°7, à l’étage. En véritable Gentleman il me laissa passer devant, sauf pour l’escalier où, habillement, l’air de rien, il me dépassa pour ne pas être derrière moi dans la montée. C’était la première fois que l’on me faisait cela. D’habitude les hommes aiment reluquer mon petit cul, surtout quand je monte des escaliers ! Mais cette fois c’était moi qui me retrouvais à admirer ses fesses qui tendaient légèrement la toile de son pantalon. Un plaisir dont je lui étais reconnaissante et qui ne devait sans doute rien au hasard.

Dans la chambre n°7

Arrivés dans la chambre nous ne nous étions pas adressé la parole et, notre seul contact physique avait été ses lèvres effleurant le dos de ma main. C’est trop beau pour être vrai pensais-je, ça va foirer, c’est bien ma veine je suis tombée sur un timide. Comme s’il avait deviné mes pensées il me dit : »Voulez vous, Madame, que nous prenions une douche ? »

Ce vouvoiement suranné, accolé au Madame, me fit sourire et je décidais de rentrer dans son jeu. Je m’entendis lui répondre de manière un peu guindée : »Très volontiers, Monsieur, rejoignez moi dans la salle de bains. » Et je filais vers la douche Italienne en tirant la porte derrière moi pour me dévêtir à l’abris de son regard. J’étais déjà sous le jet d’eau quand il me rejoignit entièrement nu à l’exception de son alliance qu’il avait gardée. Je ne savais pas si c’était parce qu’il ne pouvait l’enlever ou si c’était à dessein. Mais je penchais pour la seconde hypothèse. Il m’embrassais en me caressant la chatte d’une manière très convaincante. Surtout je sentais l’or de son alliance contre mon clito et c’était juste divin. Pour moi qui ne digérais toujours pas d’être cocue, me faire caresser par l’homme d’une autre me donnait l’impression de rétablir un certain équilibre. J’aurais bien voulu le sucer pour lui manifester ma reconnaissance mais il ne m’en laissa pas le temps, me repoussant délicatement vers la chambre. Il me fit m’allonger sur le ventre au milieu du grand lit. Je remarquais au passage ses vêtements pliés soigneusement sur une chaise et un préservatif encore dans son emballage carré posé sur un oreiller. Ouf, je ne sais jamais trop comment amener le sujet et là il avait déjà tout prévu avant de me rejoindre. Pour un plan cul internet j’étais conquise, c’était du top niveau !

Il se mit à califourchon sur mon dos et entrepris de me masser délicatement la nuque et les épaules. Il prenait son temps, ne semblait pas pressé alors que moi je mouillais déjà comme une chatte en chaleur. Ce dépucelage anal j’en avais tellement envie ! Mais le massage était vraiment bon, ferme mais pas brutal. Au fur et à mesure qu’il descendais le long de mon dos je le sentais se décaler sur moi et son pénis était maintenant en plein sur la raie de mon cul. Comme il ne disait rien je n’osais gémir ou l’encourager. Je me souviens que j’aurais voulu garder sa bitte sur mes fesses mais qu’il a continué à descendre pour me masser les cuisses. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais ça me semblait une éternité et un délicieux supplice qu’il prenne autant son temps. Puis il a pris le préservatif sur l’oreiller mais aussi l’oreiller qu’il m’a glissé sous le ventre. J’ai senti un liquide froid le long de ma raie. Je pense qu’il avait dû récupérer l’échantillon de lotion pour le corps dans la salle de bain. Je pensais qu’il allait continuer à me masser mais il a directement mis sa verge contre mon anus et a forcé d’un coup pour ce qui devait être ma première sodomie. Là je peux dire que j’ai crié ! c’était fort douloureux et en même temps super excitant. Le contraste entre son comportement doux et respectueux du début et la violence avec laquelle il me ravageait littéralement l’anus maintenant était saisissant. Je ne savais plus où j’étais ni qui j’étais, je me souviens que je criais mais qu’en même temps je ne voulais surtout pas qu’il s’arrête. D’une main il me tirait par les cheveux et de l’autre il me fouillait la chatte. Dans tout ce mélange de sensations extrêmes il est étrange que je me souvienne encore d’un détail comme le métal de son alliance que je sentais contre mon clito. Je suis pourtant bien sportive mais quand il a fini par jouir dans mon cul pour s’effondrer ensuite à côté de moi j’étais complètement rincée et je n’avais qu’une envie : ne plus bouger et dormir jusqu’au lendemain. Ce que je fis égoïstement d’ailleurs. Le lendemain quand le réveil de mon iphone5 sonnait il n’y avait plus aucune trace de l’auteur de mon dépucelage anal dans la chambre, à part l’enveloppe en aluminium du préservatif dans la corbeille à papier à côté du petit bureau.

 

Si vous avez aimé ma petite histoire et que vous l’avez lue jusqu’au bout vous aimerez peut être cette bande dessinée. Si vous la prenez sur le site en lien je gagne 1€ au passage (autant être transparente !).

 

degenerate_housewives
Une de mes BD préférées !

Post rectum : J’ai pris en souvenir une photo de la chambre de mon dépucelage anal.

La chambre de mon dépucelage anal
Chambre de ma toute première sodomie.
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