Baisée sur le balcon

Un bel appartement rue Crébillon dans le centre ville de Nantes. La rue est assez passante, le balcon est au deuxième étage. Fin de journée, c’est l’heure dorée et, pour une fois à Nantes, il ne pleut pas. Je suis sortie sur le balcon pour appeler mon cher époux. Quand je m’apprête à mettre en mode avion pour ne pas être dérangée pendant mon plan cul j’appelle toujours mon époux avant. Un pour qu’il ne m’appelle pas et se doute de quelque chose, deux parce que ça m’excite de parler à mon mari avant de le tromper. C’est évidemment encore meilleur si tu oses me rejoindre pour commencer à me tripoter pendant qu’il est encore à l’autre bout du fil !

-« Allo, mon chéri. Tu ne t’inquiètes pas si tu peux pas me joindre. J’ai plus que 5% de batterie et mon chargeur est dans la voiture au parking souterrain. »

Je regarde les gens quelques mètres en dessous.

-« Oui, à Nantes. Je te l’ai dis, tu ne m’écoutes pas ! »

-« …. »

-« Non, j’en ai marre des hôtels. J’ai pris un Airbnb. »

-« … »

-« Avec un mec sympa rencontré sur internet ! Il va me baiser toute la nuit ! »

-« … »

-« Bin non, t’es con ! Évidemment seule ! Tu crois quoi ? »

C’est ce moment de la conversation que tu choisis pour te décider à me rejoindre sur le balcon. Il faut dire que je tortillais bien du cul en téléphonant appuyée les coudes sur le balcon.

-« Non, pas de restaurant ce soir, j’ai envie de rester à l’appart. Le Airbnb est joli et il y a Netflix. »

Tu passes les mains sous ma jupe et caresses mes fesses. Heureusement qu’il y a des plantes sur le balcon qui masquent la vue au dessous de la taille car, même s’il ne lèvent pas la tête, les passants nous voient parfaitement en remontant la rue.

-« Kleo, ça se passe en ex RDA. J’aime bien l’ambiance. Et toi ? »

-« … »

-« Pas vu encore. C’est bien ? »

Tu embrasses mon cou. Vrai baiser mouillé. Je penche la tête pour montrer que j’aime ça et t’inviter à continuer dans cette veine. Les caresses sur mes fesses sont très agréables aussi. Légèrement appuyées. Pas encore un massage mais presque. Je commence à avoir chaud.

-« Ah…oui…ça a l’air bien…Maria m’en a parlé au bureau. Elle a trouvé un peu trop violent. Mais bon, moi ça ne me gêne pas… »

Tu saisis le message et pince ma fesse. Je tressaille. Tu te presses contre moi et passes les mains sous mon pull autour de ma taille. J’aime sentir la pression et la tiédeur de ton corps dans mon dos.

Je calle le téléphone entre mon oreille et mon épaule pour avoir les mains libres et baisser mon string. Je sais que tu l’aurais fait dans pas longtemps. Mais parfois j’aime montrer que je suis une bonne salope en baissant moi même la culotte. Tu découvres le petit plug cristal Swarovski.

-« Bon, mon chéri, je te laisse à ta série Netflix alors. Profite bien. »

-« … »

-« Oui, j’ai hâte de rentrer. Ces déplacements je commence à en avoir plein le cul ! »

J’aime comme tu caresses ma chatte moite. Tes doigts qui ouvrent le bourgeon. Je me suis intégralement épilée et ton doigt qui entre pour me caresser de l’intérieur m’excite tellement que ça me donne envie de rappeler mon mari. J’adore être obligée de me retenir de gémir et m’effforcer de faire semblant de rien au téléphone alors que sous la ceinture je me fais copieusement ramoner. Mais hélas juste au moment où je rappelle c’est la panne de batterie.

-« Tu veux que je remette mon téléphone à charger et que j’appelle mon mari tout à l’heure ? »

-« Tu lui as pas dit que t’avais plus de batterie et que t’avais oublié ton chargeur ? »

-« Hummm, mais tu écoutes aux portes ? »

-« Oui, et je constate que tu es une petite menteuse. »

Tout en disant cela à mon oreille tu restes collé dans mon dos sans cesser de caresser ma chatte.

-« Tu lui dirais quoi à ton mari si tu l’avais au téléphone là maintenant ? »

-« Hummm, je crois que je lui dirais que je préfère raccrocher car c’est pas poli de parler la bouche pleine et je m’apprête à manger une belle saucisse… »

Bals de village en été

Il y a l’été une tradition française que j’aime particulièrement : Les bals en plein air. Bal des pompiers, feux de la saint Jean, ou simplement bal de camping ou de village pendant les vacances d’été. J’arrive toujours à trouver un prétexte pour être soit disant au travail ou alors c’est mon mari qui est chez mes beaux parents avec notre enfant et moi chez nous pour une raison ou une autre. Alors je saute dans ma Fiat 500 et je file le soir vers un camping ou une boîte de nuit en plein air côté espagnol de la frontière. Je laisse l’iPhone à la maison, je remplace l’AppleWatch pour une  vieille Seiko à aiguilles et je ne prends que de l’argent liquide. Pas besoin de réserver un Airbnb, je sais que je trouverai une âme charitable et bien montée pour m’héberger après le bal jusqu’à l’heure des croissants. Et tempis si je disparais des radars pendant 24 heures. Je trouve toujours une explication plausible, quitte à noyer mon iPhone dans le lavabo de la cuisine.  Demain peut être je vous raconterai un très beau souvenir de bal de village de l’été 2022. En attendant, il est, pour moi 23 heures et je vous dis bonne nuit. J’aimerais tellement mieux être soit la couette à vous sucer longuement plutôt que chez moi écrivant ces lignes sur mon téléphone avec monsieur mon mari qui dort juste à côté. Et si vous me croisez par hasard cet été au bal, sachez que j’ai souvent un petit plug anal sous ma robe à fleurs.
Tendres léchoules sur vos couilles.

Lucie.

 

PS : Écrivez moi en commentaire. J’adore vous lire et je réponds toujours.

Bonne petite salope soumise

Mon costume de bonne petite salope soumise

La petite robe noire toute simple devient très sexy si je mets pour toi un porte jarretelle dessous et des bas noirs de petite salope soumise. Talons aiguilles obligatoires et collier ras de cou en cuir avec l’anneau qui va bien pour accrocher une laisse de chienne.

Maquillage et coiffure de salope soumise

Pour ton plaisir je sais que tu me veux parfaite. Alors j’ai mis un rouge à lèvres 💄 très rouge mais fin et léger. De grand faux cils de poupée et des ongles vernis assortis à mes lèvres. Deux couettes d’écolière coquine donne à ma fine silhouette un faux air d’innocence juvénile.

Une salope soumise dans ton salon

Installe toi confortablement dans ton canapé. Et ordonne ou laisse toi juste faire. Ta petite salope soumise va te servir un verre. En bonne salope soumise elle doit se déplacer à quatre pattes. Le faire avec sensualité n’est pas donné à la première venue. Je ne suis pas la première venue. Je me suis entraînée. Me déplacer au sol, que ce soit sur les genoux, à quatre pattes ou en rampant, je sais le faire souplement et de manière très excitante. J’ai choisi pour toi une poire glacée dans un grand verre ballon qui sort du congélateur. Sur la table basse un grand bac à glaces et un éclairage à la bougie. Cire brûlante et glaçons devraient t’inspirer quelques doux sévices à faire subir à ta petite salope soumise. Tu savoures ton verre et la vue sur ma croupe. A quatre pattes contre le canapé je lèche tes pieds nus comme un petit animal domestique. Tu as tout ton temps.

Accessoires de petite salope soumise

De mon côté l’envie de sexe monte mais je dois rester à ma place, être patiente. C’est mon rôle de salope soumise. Alors je pose docilement la tête sur le bord du canapé contre ta cuisse et je fais mes yeux de Bambi. Tu caresses la tête de ton petit animal domestique :

-« c’est bon, tu es une bonne petite chienne. Tu vas pouvoir monter sur le canapé. Mais va chercher ta laisse et le petit panier 🧺 avant… »

Je repars à quatre pattes vers la cuisine chercher la laisse et le petit panier osier. Les anses sont juste parfaite pour que je le porte entre les dents. Quand à la laisse c’est le modèle en cuir, court pour gros chien d’attaque. Je suis une petite salope soumise et je n’ai pas du tout envie de m’échapper. Mais je sais que tu aimes me tenir en laisse quand je te suce. Juste pour que ce soit bien toi qui donne le rythme. Alors j’accroche la laisse à son collier et je prend entre mes dents le petit panier d’osier avec les lotions, le plug anal en verre et quelques mètres de corde en coton. Je suis tellement reconnaissante que tu m’aies épargnée le chanvre rêche et lui aies préféré le doux coton.

Retour au pied du canapé ou m’attend mon maître. Tu prends  le petit panier d’osier, me complimente sur ma docilité de bonne petit chienne et tapote sur le canapé à côté de toi. J’ai gagné le droit d’y monter…et surtout de m’y faire monter…

Ce qui a changé par rapport à tout à l’heure c’est que tu as ôté ton pantalon et le reste. Il ne te restes plus que la chemisette boutons ouverts. Je regarde d’un œil gourmand… Ta petite chienne aimerais une saucisse. Mais tu en as décidé pour l’instant autrement et tires sur ma laisse pour que je me retrouve à plat ventre sur tes cuisses. Je sens ton sexe dur contre mon nombril à travers le tissus de ma petite robe noire. C’est pour l’heure mon cul de petite salope soumise qui semble t’intéresser. Tu tâtes comme on évaluerait la croupe d’une jument à travers le tissus. Tu sors du petit panier d’osier la paire de menottes et me la montre en tirant un peu sur ma laisse pour te faire comprendre. Je suis une salope soumise et docile qui sait sa leçon. Cela veut dire mains dans le dos. Alors je m’exécute afin que tu puisses joindre mes poignets. Puis tu sorts la petite cravache de cuir et tapote sans violence mes mains puis mon petit cul. C’est donc à moi de remonter ma robe pour d’offrir mes fesses. Reste, gâchant ta vue, la culotte blanche petit bateau. Du bout de la cravache tu passes entre les tissus et ma peau. Je commences à la baisser mais un coup ferme de cravache arrête mon geste.

 « Non, garde la. Écarte la juste sur le côté. »

J’obéis. Tu as récupéré le bac à glaçons. Et j’apprecie le froid sur mes fesses brûlantes. Tu me caresses la chatte juste comme il faut. Je commence à me sentir bien, allongée sur tes genoux.

Le glaçon descend du bas de mes reins au commencement de la raie des fesses. Un peu d’eau coule. Il arrive à l’entrée de mon petit trou du cul. Un glaçon de frigo américain, forme arrondie, légèrement conique. Tu baisses ma culotte juste au dessus de mes genoux. Elle m’empêche de trop écarter les cuisses mais je peux un peu quand même. Tu presses le glaçon pour le faire rentrer comme un gros suppositoire. Tu fais cela tout en continuant à fouiller ma chatte trempée. Je me cambre un peu en gémissant de plaisir.

-« tu es une bonne petite salope dis donc ! Tu as l’air d’aimer ça par le cul hein ? »

-« huummm, ouiii, j’aime. Je suis ta petite salope soumise. Tu peux me prendre quand tu veux, où tu veux.

Alors que j’étais déjà sur le point de jouir avec tes doigts dans ma chatte tu les retires et les mets contre mes lèvres 👄 pour que je les lèche et les suce un peu. Je ne me fais pas prier. Je lèche et je suce comme si c’était une bonne queue. J’ai trop envie que tu tires la laisse pour m’amener à te sucer et que ses doigts là retournent dans ma chatte.

Mais ce que salope soumise veux est rarement dans les plans de son maître. Tu sembles avoir décidé de prendre ton temps. Tout ton temps. Tu caresses juste l’intérieur de mes cuisses avec un glaçon. Tu prends bien soin de t’arrêter juste au bord de la chatte. Je me tortilles pour que tu ailles plus loin, folle de désir. J’écarte de mes mains menottées la culotte tant que je peux. Mais tu fais comme si j’existais à peine. Pourtant je te sens bander contre mon ventre.

-« Hum, c’est qu’on dirait qu’elle veut de la saucisse ma petite chienne soumise hein… »

-« ouiiii, je t’en supplie, j’ai trop envie de te sucer. »

et c’est vrai que j’en crève d’envie. J’en peu plus de n’avoir que des doigts à sucer alors que je sens une grosse queue bien dure contre mon ventre. Mais tu aimes jouer avec mon désir et ma frustration de salope soumise. Tu appuies sur les reins pour que je presse mon ventre nu contre ta queue. Tu mets en même temps quatre doigts dans ma bouche. Je me cambre et tire comme je peux ma culotte pour faire entrer les tissus dans ma chatte trempée.

Le glaçon a déjà fondu dans mon cul. Tu y enfonces le plug anal en verre. Tu tires enfin la laisse pour amener mon visage à ton bas ventre. Je suce avec avidité cette queue que j’ai tant désirée. Je la voudrais aussi dans mon cul mais tu t’en fous. Tu te laisses sucer jusqu’à éjaculer en pressant ma tête pour que j’avale sans en perdre une goute. Tu sais que je suis à toi au moins jusqu’au matin et la soirée ne fait que commencer. Tu as tout le temps de m’enculer un peu plus tard.

Post scriptum : Je suis à Strasbourg la semaine prochaine. En quête de mon prochain plan cul j’attends vos propositions avec impatience…

Femme adultère délicieusement punie

Tu trouveras peut être cela étrange. Mais quand j’ai un peu trop été infidèle à mon mari je ressent l’irrésistible besoin d’être punie. C’est une chose que je ne sais expliquer mais qui survient immanquablement une à deux fois par an. Pourtant, ne vas pas croire que j’en souffre. Au contraire quand vient un tel moment je sais que je vais m’en délecter. M’en délecter et faire un veinard. Un veinard à qui j’ai dit que je voulais être punie de la manière qui lui conviendrait. Un veinard qui m’ouvre la porte de l’appartement à laquelle je viens de frapper timidement.

C’est un petit loft mansardé, les poutres en bois sont peintes en blanc. Une chaîne pend à l’une d’elle. Au sol de grosses bougies qui me font craindre le pire. Craindre et espérer en même temps.

-« Donne tes mains ! »

J’obéis. Et me voici menottée bras en l’air, jambes flageolantes sur des talons hauts inconfortables. Je ne suis vêtue que d’une simple robe imprimée de petites fleurs bleues. Pour toute lingerie une culotte en dentelle blanche et un soutien-gorge aubade assortis. Tu tiens une cravache d’équitation en cuir beige du bout de laquelle tu remontes le tissus léger de ma robe pour mater mes jambes. Elles ont l’air de te plaire mes jambes, longues et blanches. Le début du printemps n’a pas été généreux en soleil et je ne suis pas encore bronzée. Tu prends ton temps pour me tourner autour. La peur et l’humiliation de la situation créent exactement le sentiment de confusion que je recherche et qui m’excite d’une manière que j’ai renoncé depuis longtemps à comprendre. Quelques coups de cravache secs sur le haut de mes cuisses à travers le tissus de ma robe. Tu fouettes aussi mon ventre, pas trop fort. Heureusement.

-« Tiens ça ! »

Tu places la cravache entre mes dents. Et tu te plantes en face de moi. Tu défais les boutons de ta chemise, enlèves tes chaussures et ton pantalon sans gène ni fausse pudeur. Tu te mets entièrement nu juste devant moi. Bien sûr tu bandes. Mon cœur bat plus fort. Je suis encore vêtue alors que toi, tu es nu. Mais comme je suis attachée c’est bien toi qui domine. Cela ne fait aucun doute. D’ailleurs tu passes derrière moi et tu relèves ma robe le long de mes cuisses. Tu fais cela lentement. Je sens ta queue qui effleure mes fesses et je ne peux m’empêcher de me cambrer, ne laissant aucun doute sur mon désir.

-« Mais c’est qu’elle est déjà en chaleur la petit chienne ! »

Je tends pathétiquement mon cul vers toi. C’est ridicule. Je sais très bien que tu ne vas pas me baiser tout de suite évidement !
Tu dénoues facilement la ceinture de tissus qui cintre la robe au niveau de ma taille. Et tu remontes les pans de ma robe jusqu’à ma bouche. Tu récupères la cravache et foure à sa place le bas de ma robe froissée dans ma bouche.
-« Garde moi ça bien dans la bouche. Petite salope. Comme ça ta robe est bien relevée. Tu peux gémir mais interdiction de crier. Ok ? »

-« Humm Humm » je fais signe de la tête que j’ai compris.

Les coups de cravache sur mes fesses sont secs mais pas trop violents. Après une dizaine de coups je sens quand même la brûlure au niveau de mes fesses les gémissements à chaque nouveau claquement de la cravache viennent naturellement. Tu remarques que le devant de ma petite culotte blanche devient humide. Tu passes la cravache entre mes cuisses pour frotter un peu mon petit abricot.
-« Mais c’est qu’en plus elle a l’air d’aimer être punie la petite salope ! »

Je me reprends une dizaine de coups sur les fesses. Plus forts cette fois. Tu baisses d’un coup ma culotte et frappes à nouveau là où le coton protégeait un peu ma peau. Maintenant c’est douloureux et même si je mouille comme une salope je commence à sentir les larmes me monter aux yeux. C’est le moment que tu choisis pour écarter mes fesses rouges. Tu lubrifies le manche de la cravache sur mon abricot trempé avant de le presser contre mon anus. Le cuir est lisse et le manche peu épais. Ça rentre tout seul. Tu laisses la cravache enfoncée dans mon cul. Elle tient toute seule. Tu passes devant moi pour me montrer ta queue. Tu as l’air de bander bien dur et ta queue me semble autrement plus grosse que le manche que j’ai dans le cul.
-« Tu as l’air d’aimer en prendre plein le cul on dirait hein ? »

Je ne réponds pas. J’ai toujours ma robe dans la bouche et je sais qu’il vaut mieux pour moi que je ne te provoque pas. Tu tiens mes joues dans ta main et tu presses pour me faire recracher le pan de ma robe. Gros baiser baveux avec la langue. Je ne résiste pas mais je me garde de te rendre ton baiser sachant que me voir soumise à ta merci t’excite plus que si je donnais trop l’impression d’y prendre moi aussi plaisir. En m’embrassant tu mets la main entre mes cuisses et glisse deux doigts dans ma chatte lisse et trempée. Par réflexe j’avance mon bassin avide de plus de caresses.
-« T’es une vraie bonne salope dis donc toi. »

-« Oui, j’avoue, tu m’as démasquée. »

-« J’ai fort l’impression que tu veux te faire enculer. Non ? »

-« Oui, s’il te plaît, je t’en supplie, encule moi. Mon cul n’attend que ça. Mais détache moi, j’ai un peu mal aux bras. »

-« Tsss, Tsss. D’abord je t’encule. Après on verra, si j’ai aimé ton petit cul peut être je te détacherai. Mais faut me promettre d’être bien sage. »

-« Tout ce que tu veux. Je suis à toi pour tout ce que tu veux. »

Tu enlève la cravache de mon cul et me la remet entre les dents. Le cuir est un peu sâle, je ne vous fais pas un dessin. Mais je prends dans ma bouche docilement. La queue qui se presse entre mes fesses me semble alors bien grosse et surtout très dure. Tu me tiens fermement par la taille et tu t’enfonces d’un coup de reins. je crie et laisse tomber la cravache. J’ai peur que tu m’en veuilles pour ça mais tu ne fais pas de remarque et tu entreprends de me pilonner méthodiquement en agrippant ma taille. Chaque coup de rein qui claque contre les fesses m’arrache un cri. J’espère qu’il n’y a pas de voisins. Tu attrapes le haut de ma cuisse et m’oblige à lever une jambe. Je suis très inconfortable sur une jambe, les bras en l’air toujours menottée. Je crie et je jouis comme une possédée. Quand tu décharge enfin dans mon cul tu cries en même temps que moi, les ongles enfoncés dans la chair de ma cuisse. Tu restes un peu en moi. Et, enfin, tu me détaches. Je m’écroule au sol.  Mais tu me relèves et me conduit chancelante vers la chambre où un grand lit propre ne semble attendre que moi.

-« Tu es une bonne salope. Tu mériterais que je te punisse à nouveau. Mais j’avoue que ton cul m’a bien plu. Alors tu peux reprendre un peu ton souffle. Je pense que tout a l’heure j’aurais bien envie de voir si tu suces aussi bien que tu te fais enculer. »

Je m’affale sur le lit. La soirée ne fait que commencer. Mais elle commence bien…
laissez vos commentaires. Retrouvez moi ici (Là fille brune avec une culotte blanche et un pseudo qui commence par un L)

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Coquine en minijupe Vichy

J’ai mis, pour notre rendez vous,  une robe Vichy à petits carreaux rouges et blancs. Jambes nues, socquettes blanches, souliers vernis à talons plats. String en dentelle et push-up qui fait pigeonner mes gros seins au décolleté de la robe. Rouge à lèvres brillant soigneusement appliqué. Teinte Chanel Coco flash hors de prix plus rouge qu’une Ferrari. En plus de sa couleur, ce que j’aime avec ce rouge à lèvres c’est qu’il déteint juste comme il faut à chaque baiser. J’aime savoir qu’en regardant ta queue et ton bas ventre tu apprécieras les traces de rouge à lèvre que j’y aurai laissé. Si c’est ta femme qui voit ça je doute que tu trouves une bonne explication à temps !

Rendez vous au Lumière Terreaux, cinéma d’art et d’essais de Lyon. Un lieu public, donc rassurant pour commencer, mais parfait pour nos préliminaires. La salle est clairsemée, nous sommes seuls au dernier rang. J’ai volontairement joué la timide réservée jusqu’au début du film.  Bises sur les joues pour dire bonjour, jambes serrées droite sur mon fauteuil et mains sur les cuisses. C’est à peine si j’ai accepté que nos épaules se touchent légèrement.

Dans nos échanges aussi sur internet je suis volontairement restée évasive, ne cachant pas que j’étais mariée et en plein questionnement mais laissant croire que je n’étais pas non plus totalement sûre de vouloir basculer dans l’adultère. Mes photos de profil, bien que sobres laissaient deviner un corps très désirable. C’est cela qui t’a convaincu que malgré le discours prise de tête et hésitant ça valait le coup d’insister. Tu m’as servi le discours habituel, tu n’attendais rien de moi, tu me comprenais et étais juste content de me rencontrer sans que rien ne soit obligé ou convenu d’avance. En me voyant devant le cinéma, joli bonbon bien emballé, tu as commencé à deviner ta chance.

Dès que la lumière s’est éteinte j’ai pressée un peu plus mon épaule contre la tienne et je n’ai pas repoussée ta main sur ma cuisse. J’ai même tourné la tête pour un premier baiser sur la bouche. J’adore les premiers baisers. Les lèvres tièdes, découvrir le goût d’un nouvel amant. Faire comprendre rien qu’en l’embrassant que je suis une excellente suceuse.

Ton baiser est comme je les aime. Sans timidité, accompagné d’une main baladeuse qui remonte sous ma jupe en Vichy. J’écarte imperceptiblement les jambes pour que ta main puisse juste passer entre mes cuisses. Mon string est vite écarté. Tu n’imagines pas l’effet que me fait le doigt qui perce mon petit abricot juteux. C’est juste indescriptible. J’ai peur de gémir et de faire se retourner le rang de devant. Alors je repousse, à contre cœur, ta main.  Une furieuse envie de sucer me fait glisser de mon fauteuil sur la moquette épaisse. Je suis un peu à l’étroit mais, heureusement, il n’y a personne assis sur le fauteuil devant le tien. Tu me laisses défaire les boutons de ton jean. Je commence par embrasser la bosse qui tend ton caleçon. J’aime comme tu caresses mes cheveux. Je tire sur ton jean pour dégager tes cuisses. Tu es bien foutu, musclé, pas trop velus. Je lèche un peu pour le plaisir du goût de ta peau. Ce n’est pas très pratique mais je parviens à baisser ton caleçon et à libérer la colonne de chair objet de ma convoitise. Je lèche en te regardant droit dans les yeux par en dessous. J’embrasse partout. L’intérieur de tes cuisses, tes couilles, ton gland sur lequel je laisse un peu de rouge à lèvres. Puis je fini par sucer. Lentement, bien à fond. Presqu’à m’en étouffer. Je suce jusqu’à ce que tu n’en puisses plus et que tu éjacules dans ma bouche. J’avale. J’adore avaler, j’aime le goût de ton sperme. Celles qui me lisent et qui en ont fait l’expérience peuvent me comprendre. Sachez messieurs que votre sperme n’a pas le même goût que celui de votre voisin. Le foutre est comme le vin. Quand on sait l’apprécier on sait que chaque amant produit un nectar différent, unique. J’avale et je garde ton sexe turgescent qui débande lentement entre mes lèvres. J’essuie ta queue et tes cuisses avec le bas de ma robe avant de remonter ton caleçon et ton pantalon. Puis je me rassois, sage à nouveau, à côté de toi. Je me penche et te demande à l’oreille : « Tu sais où on peut trouver un hôtel pas loin ? »

==> retrouve moi ==> RobeVichy

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