Petit plan cul sans chichi

Je t’ai contacté sur un site de rencontre adultère. Je ne t’ai pas caché être une bonne petite salope en manque de sexe prête à beaucoup pour une belle queue. J’ai mis, pour te rencontrer dans une bodega de Perpignan, un mini short et un justaucorps moulant parfait pour mettre en valeur mes gros seins. La bodega est pleine de monde. C’est toujours plus rassurant de donner rendez vous à un inconnu dans un endroit avec du monde. Forcément je suis comme sur ma photo de profil alors tu me reconnais tout de suite. Je viens direct à toi, sans me soucier du regard des mecs qui mâtent mon petit cul serre dans mon microshort. Je ne suis pas la seule jolie fille dans la bodega ce soir là. Je me colle à toi : « Salut, merci d’être comme sur tes photos. Parfois les mecs trichent. Je suis contente. Je te plais ? »

-« Heu…oui. Carrément ! Tu es canon ! »

-« Canon et très salope. Faudra pas te gêner, ce soir j’ai envie que tu me fasse tout ce que tu veux. Je peux t’embrasser ? »

Sans te laisser le temps de répondre je me pends à ton cou et presse mes lèvres sur les tiennes. J’embrasse comme une petite salope. Avec la langue nerveuse, en suçant pour que tu n’aies aucun doute sur le fait que tu vas avoir mes lèvres sur ta queue dans pas longtemps. J’embrasse en me collant à toi pour que tu puisses apprécier mes gros seins tièdes et fermes.

-« On s’en fou qu’il y ait du monde. Pelotes moi le cul. »

Tu mets tes mains sur mes fesses fermes et j’aime ça. Ta langue n’est pas mal non plus. Il ne faut pas croire qu’il n’y a que le sul qui m’intéresse. Je suis une fille qui aime aussi la fête. Passer la soirée à danser dans une bodega peut aussi me brancher. Mais la vérité est que ce soir du mois d’août je  suis en vacances et que l’on mari risque de se douter de quelque chose si je passe plus d’une heure loin de notre appartement.
-« On va chez toi ? J’ai qu’une heure avant que mon mari ne se doute de quelque chose et j’ai très envie de te sucer et de faire ma pute. »

-« Humm, ça me va très bien comme programme. »

Tu as le bon goût de disposer d’un garçonnière à deux pas de la bodega. Chambre de bonne au dernier étage d’un vieil immeuble du centre-ville. Dans l’escalier je te laisse me mettre la main au cul. Je me pends à ton cou pendant que tu te débats avec ton trousseau de clefs.
-« Tu vas me traiter comme une salope j’espère… »

Normalement je ne suis pas aussi directe. J’ai trop peur de faire fuir le mec. Mais cette fois la couleur était annoncée dans nos échanges sur internet. La claque que tu m’assennes sur la fesse me prouve que je n’ai pas tord. C’est une claque comme j’aime, franche, avec la main qui reste sur mon cul et tâte la marchandise.
-« T’inquiète ma jolie, je vais bien m’occuper de toi. »

Tu tournes la clef sans lâcher mon cul. Je découvre ta garçonnière. C’est propre et meublé avec goût. Machine à café chromée, grand canapé Togo, Tapis marocain en laine épaisse et table basse en verre ovale très années 70.
-« Jôli, c’est chez toi ? »

-« Oui, je le mets en Airbnb en général. Mais on n’est pas là pour parler immobilier… »

Tu tires sur mon justaucorps pour passer tes mains sur ma poitrine. J’aime ça, je m’intéresse à ton pantalon alors que tu me pousses vers le canapé. Je suis vite en soutif et toi debarrassé du bas confortablement affalé sur le canapé Togo près du sol. Ma langue passe sur tes couilles. Tu bandes long et dur. À genoux entre tes jambes je suis dans la position parfaite pour une branlette espagnole. Le secret pour une bonne branlette espagnole c’est de bien choisir le soutien gorge et de le garder pour que la queue reste bien logée entre le mamelles sans avoir besoin de serrer avec les mains. Les mains c’est fait pour pelotter les fesses par exemple. Ton sexe passe juste sous mon soutif et tient parfaitement dans le creux entre mes beaux seins. Doux va et vient en plantant mes yeux dans les tiens. Te branler me donne chaud, je sens que je commence à mouiller. Tu te laisses faire et profite du spectacle un moment. Heureusement tu as l’esprit d’initiative et tu empoignes ma queue de cheval. Tu te laisses branler encore un peu entre mes seins avant te me tirer vers toi pour me parler à l’oreille : « Tu m’as l’air d’être une vraie salope toi dis donc. »

-« Ouai, tu veux que j’te suce ? »

-« T’inquiètes, tu vas l’avoir dans la bouche…Mais pas tout de suite, elle est trop propre pour toi. »

Tu me pousses sur le canapé, les genoux au sol. Je reçois une bonne claque sur les fesses.
-« Baisse moi ce petit short de pute ! »

J’obéis, trop contente d’exposer mon petit cul rebondi.  Je fais glisser mon mini short sur mes cuisses pour dévoiler un string de dentelle blanche. Tu découvres un joli petit cul, mes fesses offertes, le string dans la raie, un bel abricot juteux sous un voile de dentelle. Tu passes un doigt juste sur la dentelle, pour tâter le petit fruit. Ton doigt qui presse délicatement sur mon con gonflé me fait me cambrer pour demander plus de caresses. Mais la tentation offerte par mes fesses est trop forte et tu laches une première claque qui me surprend. Mais je garde mes mains sur les côtés de mon mini short, baissé sur mes cuisses, le cul tendu, fesses offertes. Je suis prête pour la fessée. Et toi, frappe juste comme il faut. Sans hargne ni méchanceté. Mais fermement, efficacement, du plat de la main en prenant soin de bien faire claquer à chaque tape. Mes fesses doivent rougir. Je résiste une bonne vingtaine de coup avant de demander grâce.

-« Aïe ! Pitié. Je ferai ce que tu veux mais arrête la fessée. »

Tu te penches sur moi.

-« Oh ! Pardon, j’y suis peut être allé un peu fort. Tu mérites un peu de réconfort. »

Tu t’intéresses à nouveau au petit abricot juteux caché sous la dentelle. Tu caresses délicatement, tu passes la langue sur mes fesses rougies. Ça pique mais je mouille et trempe la dentelle du string. Tu continues de lécher mes fesses tout en massant mon sexe à travers la dentelle du string. La douleur qui se mêle au plaisir me rend folle. J’en gémi en serrant les fesses. Lorsque tu écartes mon string sur le côté je suis trempée. Ton doigt glisse tout seul dans ma chatte. Je ne peux m’empêcher d’attraper ton poignet pour te retenir en moi. Tu me débarrasses complètement de mon minishort et tu saisies mes chevilles pour me prendre en position de la brouette. Ta queue rentre toute seule dans ma chatte trempée. Chaque coup de rein ravive un peu la douleur sur mes fesses rougies par la fessée. Ça pique mais c’est très supportable.

-« Hummm, oui, encore, je jouis, encule moi aussi quand tu veux. »

Tu me fais bien jouir comme ça. Tenue par les chevilles, jambes pliées je commence à avoir des crampes et quand tu me lâche d’un coup je m’affale sur le canapé. C’est ce moment que tu choisis pour écarter mes fesses et presser ta queue contre mon anus. Tu craches pour lubrifier un peu et tu forces le passage. Je crie quand mon anus cède. Tu me prends par les cheveux et me defonce sans retenue. Autant la fessée était gentille, autant là chaque coup de rein m’arrache un cri. Tu te retires d’un coup pour et me tire par les cheveux pour que je me retourne.

-« Tiens tu voulais sucer ? C’est le moment ! »

Je me prends une magistrale ejaculation faciale. Ta main sur ma nuque est d’un coup moins brusque, tu ne me forces plus, la pression est douce et indique juste ce dont tu as envie maintenant. Je ne résiste pas. Moi aussi j’en ai envie et je lèche ta queue qui débande. Le goût salé du sperme m’apaise. J’ai presque envie de rester dormir. Mais je sais qu’il faut que je rentourne à ma voiture pour me changer, remettre le vieux jogging informe avec lequel je suis partie pour soit disant faire une petite heure de footing. Pas trop le temps de traîner. Je suis en vacances et qui dit vacances dit mari. Mais putain coque c’était bon ce petit plan cul sans chichi. Merci ! Mille fois merci !

 

 

 

 

 

La première fois que j’ai fauté

Si vous aimez me lire dites le moi en commentaire. Sur cinqasept je suis @LucieBovary parfois, ou @PrincesseDeC, ou encore @DispoCeSoirPerdueDemain.

Cette histoire je ne l’ai jamais racontée. A vrai dire je l’avais presqu’oubliée. Ou plutôt je m’en suis toujours souvenue. Mais comme elle ne donnait pas une bonne image de moi j’avais choisi de ne pas m’en rappeler. A cette époque j’ai 21 ans, je suis en couple depuis un peu plus d’un an. Je suis très différente d’aujourd’hui. Un peu prude. Issue d’un milieu plutôt bourgeois je pense que la fidélité est importante et défini même le couple. Pour moi être fidèle est une règle naturelle. Une question de principe. J’aime mon petit ami, sans parler de mariage, encore moins d’enfants nous avons des projets ensemble. Une virée entre copains va pourtant un peu changer la donne. Nous visitons le désert de Bardenas, en Espagne. Encore étudiants, aidés par les parents mais quand même pas trop nous dormons à sept dans un petit appartement sans climatisation. Le salon est occupé par deux couples tandis que mon copain et moi partageons une petite chambre avec le meilleur ami de mon mec. Nous dormons dans le lit deux places et le troisième, seul célibataire de la bande, occupe, à côté, un matelas a même le sol. Le premier soir, après avoir marché toute la journée sous le soleil hiberique et bu quelques sangria dans l’appart, nous somme vannés et nous couchons vers minuit. Assez tôt donc compte tenu de notre jeune âge ! Vers deux heures du matin un léger bruit répétitif me réveille. Je me souviens de l’heure car il y avait un gros réveil à affichage digital rouge sur la table de nuit. Je ne mets pas longtemps à comprendre d’où vient le bruit. L’ami de mon mec se branle. Comme il doit faire facile trente degrés il n’a même pas le drap sur lui, il est en caleçon et a juste sortie sa queue qu’il astique lentement. La nuit est claire et nous avons laissé les volets ouverts pour avoir un peu d’air. Fascinée je n’ose pas bouger mais je ne veux pas non plus refermer les yeux. Je suis complètement excitée. Il n’a pas remarqué que je le mate. Le plus lentement possible, à demi consciente de ce que je fais, ma main glisse sous le drap vers ma culotte. Au moment où j’atteins le bord du slip en dentelle le mouvement attire son attention et il me voit. Et là, au lieu d’être gêné, il plante ses yeux dans les miens et continue à se masturber encore plus lentement. Je suis hyper troublée et je m’aperçois que je mouille vraiment beaucoup. C’est au moment où mon mec bouge que je me rend compte du bruit de succion que je produisais en me caressant. Je m’arrête instantanément, le majeur profondément enfoncé dans mon petit con tout mouillé. Et là mon mec se met à ronfler. Je dois être pivoine. Le copain sur le matelas par terre ne m’a pas quittée des yeux. Il hausse les sourcils et reprend sa branlette très lentement. Impossible de m’empêcher de me masturber en même temps que lui. Comme mon mec ronfle bruyamment j’ai moins peur de le réveille et j’y vais sans retenue. Je jouis en ouvrant la bouche, un cri muet. Il éjacule sur son ventre. Il m’attrape le poignet et tire vers lui. Je touche son sperme c’est tiède et visqueux mais très excitant. J’ai une envie irrésistible de goûter. Je ne sais pas à cette époque quel goût a le sperme. J’avoue que je ne me souviens plus très bien de la sensation gustative. Mais je sais que j’ai aimé et que j’ai tendu la main pour en reprendre. Il s’est essuyé ensuite avec son caleçon qu’il avait fini par enlever et il a remonté le drap sur lui. On s’est regardé longtemps sans rien dire. Puis on a fini par dormir. Le lendemain toute la journée on n’arrête pas de se jeter des regards. Je suis très troublée. Mon petit copain me semble plus tactile que d’habitude. Ou c’est peut être juste que je suis tellement obnubilée par ce qui s’est passé dans la nuit que je le remarque plus. Mais comme le copain me regarde je me force à répondre aux avances de mon petit ami pour voir la réaction de son pote. J’ai les tétons qui pointent sous mon débardeur toute la journée et ma bande de pote n’arrête pas de me charrier sur le sujet. Je rougi comme une tomate. Mon visage est assorti aux coups de soleil que j’ai sur les épaules. On passe une partie de l’après midi au bord d’une rivière. J’ai très we vie de m’échapper et de m’isoler pour que le copain de mon petit ami me rejoigne. Mais pas moyen de faire ça sans risquer de se faire remarquer. J’attrape un gros coup de soleil sur les fesses et mon petit copain décide qu’il doit me passer de la crème protection 60 pour m’appairer. Je dois le laisser me masser les fesses. C’est gênant. Mais pendant qu’il le fait je croise le regard de son copain et je lui fais : « Désolée » en silence. Je mime juste les mots et il me répond  « pas grave » de la même manière. J’ai les boules parce que je sais que mon copain va vouloir baiser ce soir vu comme il est tactile toute la journée. Heureusement notre groupe décide de sortir dans une bodega le soir. Mon copain boit beaucoup et dès que son verre de sangria est vide son pote ne manque pas de le lui te remplir. Sangria, tapas, puis Rhum arrangé. Je remarque que le copain de mon mec ne bois ressue pas. Je décide de faire comme lui. Je passe vite à l’eau gazeuse sans que ça ne se remarque trop. Les autres ont passé le stade où l’on arrête de compter les verres. Quand nous rentrons à l’appart nous ne sommes plus que deux à marcher droit. Mon petit copain me pelote sans se soucier des autres et une fois dans la chambre il semble avoir complètement oublié qu’on n’est pas que tous les deux. Il se met à poil et cherche à me m’embrasser les seins. Je le repousse gentiment  : « Dodo, t’es trop bourré ! »

-« Ouai, t’as raison mais couche toi avec moi. »

Il me prends avec lui pour que je me couche contre son dos il tient mes mains contre sa poitrine et se couche sur le côté. Je reste contre lui en me disant qu’il va vite s’endormir. A ce moment je n’ai pas du tout l’intention de le tromper. J’imagine juste qu’on va gentiment se masturber à distance comme la nuit d’avant. Mais je sens le copain de mon petit ami qui se glisse dans mon dos contre moi. Je suis prise en sandwich. Mon mec n’est même pas encore complètement endormi. Il tient mes mains comme si j’étais son doudou. L’autre derrière moi à un opinel et il entreprends de couper les bretelles de mon débardeur. Il m’embrasse dans le cou. Je ne sais pas à quel point mon petit ami est bourré et j’ai peur que la plaisanterie ne tourne mal. En même temps je suis très excitée. Le copain me débarrasse de mon string et se met en cuillère derrière moi. Sa queue rentre comme pas magie dans ma chatte bien lubrifiée et je ne peux m’empêcher d’onduler lentement en rythme avec lui. J’ai l’impression que ça fait un bruit  de succion qui pourrait s’entendre dans la pièce à côté. Mon mec se met à bouger : « Humm, tu fais quoi ? »

-« Rien, heu…j’essaie de dormir… »

Pas d’autre choix que de le serrer dans mes bras et de me coller contre son dos. Il grogne un truc, genre bonne nuit, mon poussin. Heureusement l’autre a arrêté de bouger. Sa grande queue est bien au chaud dans ma chatte. Je n’ose plus bouger. La respiration de mon petit copain se fait plus ample et régulière. Moi je retiens mon souffle. Le copain passe sa main sur mon ventre, j’essaie de m’écarter un peu de mon mec mais il tient toujours mes bras dans son sommeil. Je me mord les lèvres et serre les cuisses. J’ai à nouveau envie de sentir le va et vient de la belle queue et je bouge prudemment le bassin. Je pense que mon mec s’est endormi mais je n’en suis pas certaine à cent pour-cent. Ça m’excite encore plus. Le copain de mon mec me fait un suçon dans le cou. J’essaie de me dégager car je ne me vois pas trop expliquer ça demain à mon petit ami. Mais il me chuchote à l’oreille : « T’auras qu’à lui dire que c’est lui qui te l’a fait. Il est rond de toutes façons. Bouge pas, faudrait pas qu’il se réveille… »

Il soulève ma cuisse et place un gros coussin entre mes jambes. J’ouvre la bouche pour dire : « Non » mais il plaque sa  main sur ma bouche : « Chuttt, tu vas me réveiller ! » Il tasse les coussins en haut de mes cuisses et je sens comme un gel froid couler sur mes fesses. A l’époque je suis débutante et je n’ai jamais utilisé de lubrificateur anal. Mais je devine instantanément que c’est ça. Je fais non de tête. J’ai peur et je suis malgré tout excitée. Il masse en petits ronds concentriques autour de mon anus tout en murmurant : »chhhhuuut ». Comme si j’allais faire du bruit pour réveiller mon mec ! D’autant que je suis de moins en moins sûre de ne pas en avoir envie. Il a ajouté un second coussin. Allongée sur le côté j’ai la jambe bien relevée et je sens sa queue raide contre mon anus tandis qu’il empoigne ma cuisse. Les mains toujours tenues par mon mec qui dort je fais de mon mieux pour relever la jambe le plus possible et écarter les fesses. Quand il pousse je me cambre pour transmettre le moins de mouvement possible à mon mec qui a comencé à ronfler. Ça rentre d’un coup et il met sa main sur ma bouche juste à temps pour m’empêcher de crier. Mon mec doit envie une sacrée cuite pour continuer à ronfler alors que l’autre m’encule en faisant de moins en moins attention. C’est douloureux mais j’enchaîne en même temps les orgasmes. J’ai envie de bouger pour qu’il accélère la cadence je veux le sentir ejaculer dans mon cul. Mais je n’ose pas faire plus que des mouvements retenus et je suis obnubilée par les ronflements de m’on mec que je surveille comme le lait sur le feu de peur qu’ils ne s’arrêtent. Quand il jouit en moi il agrippe mon gros sein et presse à le faire rougir. Je mords sa main toujours dur ma bouche. On s’arrête de bouger. C’est à se moment que mon mec arrête de ronfler et émerge. Heureusement il ne se retourne pas. Il sert mes bras contre lui : « Hummm, arrête de te masturber. Tu vas réveiller Paul. Promis demain je bois pas. À Barcelone on aura une chambre rien qu’à nous. »

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