Baisée en leggings

Legging sexy et basquettes roses

Faire du sport et lever un plan cul demande une certaine dose de savoir faire mais aussi un certain culot. Cela même lorsque l’on est une fille sexy qui n’a pas froid aux yeux et chaud au cul. D’abord je repère un parcours de running et une heureuse victime masculine grâce à l’application runastic. Je suis régulièrement en déplacement professionnel dans les mêmes villes et, loin du domicile conjugal, je me sens libre de corp et d’esprit. Enfin surtout de corps, car dans la tête ça turbine toujours pas mal, j’y peux rien.

Ce n’est pas toujours vrai, et bien sûr il n’y a pas de règle établie. Mais j’ai pu remarquer que lorsque je me déguise en salope sexy un peu naïve les hommes se lâchent plus facilement. Et un amant qui se lâche, surtout lorsque c’est dans mon petit cul ça me rend totalement folle a tout en oublier. Le temps de quelques heures je suis vraiment celle que je prétends être.

Ce jeudi de début d’hiver il fait frisquet à Rodez. J’ai repéré un joli parcours d’une quinzaine de kilomètres en partant de mon Airbnb près du musée Soulage. J’ai surtout repéré un jogger qui fait régulièrement ce parcours les jeudis en fin de journée. J’ai choisi ma cible pour la régularité quasi maniaque de ses entraînements. Je ne sais de lui que son sexe, son âge (54), ses perfs bien sûr mais je ne connais pas son visage. Cela m’est égal. J’ai très envie d’un plan cul et je n’ai pas l’intention de rentrer bredouille. Mais avec mon beau petit cul bien moulé dans un legging fushia et mes basquettes roses je suis assez confiante quand je l’aperçoit une dizaine de mètres devant moi. Grand, belles fesses et jolis molets. Cheveux poivre et sel, avec plus de poivre que de sel. Sur le parcours il y a une sorte de grande boucle que l’on peut couper. Je prends le raccourci pour passer devant incognito et qu’il découvre ma silhouette de dos au sortir du grand virage. Je sais d’avance son parcours et son allure. Le type cours à peu près comme moi mais je sais que si je m’accroche il devra aller plus vite que d’habitude pour me rattraper. Ce qui serait un bon indicateur de sa motivation. Je n’ai pas à attendre bien longtemps. Quand il arrive à ma hauteur je sais qu’il a eu le temps de bien mater mon petit cul de salope. Je dis salut et je souri. C’est fou comme parfois un seul regard, une expression de visage ne laisse aucun doute. Je lui plais c’est aussi certain que moi j’ai envie de lui. Mais je sais que même déguisée en salopette joggueuse sexy en leggings ça peut foirer si je précipite les choses. Il reste une heure sur le parcours à ce rythme nous courons côte à côte. Pas la peine de parler trop tôt. Je me contente de tourner la tête parfois pour le regarder et sourire. Un peu avant mi parcours je suis en nage. Il a insensiblement ralenti pour rester à mon rythme. Je le sais. J’aurais très bien pu aller plus vite mais lui ne le sait pas et pour engager la conversation il doit ralentir. Il s’appelle Stephane, moi je choisi Carole. Je suis de passage à Rodez, seule en déplacement professionnel avec un joli Airbnb où je me sens un peu seule. J’accélère pour lui montrer que je suis endurante et aussi pour que l’on soit un peu essoufflés. L’hypoxie aide à baisser les barrières et à suivre son instinct ou ses envies. Nous courons côte à côte. Si près que parfois nos coudes se frôlent. Et quand je ralentis pour m’arrêter essoufflée il ne continue pas. Je me penche en avant, les mains sur mes cuisses. Il me demande si ça va, posé une main protectrice sur mon épaule.
-« Oui, ça va. Mais il fallait que je m’arrête j’avais trop envie de ça ! »

Et me jette a son cou et l’embrasse sur la bouche. Il me rend mon baiser sans réfléchir. J’aime sa langue, ses mains sur mes hanches qui n’osent pas encore descendre à mes fesses. Mes gros seins contre sa poitrine. Nos sueurs mélangées. Ce baiser long, langoureux, mes lèvres nerveuses qui savent faire deviner que je suis de ses salopes qui aiment sucer.
-« On court jusque chez moi ? » J’hésite à ajouter : « Ou tu préfères me prendre en leggings derrière un arbre? » mais je sais que ce serait trop et que je risquerais de tout gâcher. En plus j’ai trop envie de ramener mon plan cul à mon Airbnb pour en profiter plus qu’un coup vite fait. Si possible jusqu’au matin et par tous les trous.

Heureusement la boucle de notre parcours est presque bouclée et même si le dernier quart d’heure me parait durer une éternité je cours le cœur léger car je sais qu’il ne peut plus m’échapper.

Il y a trois étage à monter pour arriver à mon Airbnb. C’est un immeuble ancien avec des appartements hauts sous plafond et même si nous sommes chaud monter ces marches accélère encore mon rythme cardiaque. Je le tiens pas la main et je joue l’entraîneuse jusqu’à ma porte. Pour aller courir j’ai laissé les clefs sous le paillasson. Et je me baisse en prenant soin de garder les jambes bien tendues pour qu’il puisse admirer mon cul moulé dans son legging. Toujours baissée, je tourne la tête : « Tu peux toucher avec les mains aussi, pas qu’avec les yeux. »

Il est un peu maladroit mais sa main qui se pose sur ma fesse bombée me fait un bien fou. J’en profite pour m’étirer. C’est important après la course ! Il tâte un peu moins maladroitement. Pas idéal pour faire baisser mon rythme cardiaque…Je me saisit de la petite clef plate et me relève pour lui faire face et l’embrasser en posant habilement la main sur le renflement de son short. Il essaie de me prendre dans ses bras mais je le repousse : « tss tss, je suis pas une adolescente qu’il faut apprivoiser. Si tu me suis chez moi, il va falloir assurer autant qu’à la course. T’as déjà donné une fessée ? »

-« Hum, j’avoue, non. Mais j’ai bien envie d’essayer. »

Je lèche son cou doucement. J’aime le goût salé de sa sueur.

-« Je te laisse prendre les rênes alors… »

J’ouvre la porte et le laisse me pousser à l’intérieur de l’appartement. C’est un petit loft, très haut sous plafond. En bas un canapé en velour gris, une table basse en plexiglas, une petite table ronde entourée de 4 chaises avec un coin cuisine. Le lit est en haut d’une mezzanine accessible par un escalier à pas décalé aussi raide que la queue de mon plan cul.

-« Tu m’as l’air d’un drôle de numéro de salope quand même. »

J’aime qu’il me parle comme cela. Un instant j’ai eu peur qu’il se dégonfle comme ça arrive parfois. Mais, même si ça se voit qu’il n’est pas très à l’aise et que c’est une première pour lui, il se prend au jeu et me pousse vers le canapé. Derrière moi il passes les mains sous mon sweat-shirt pour tâter mes seins. Je me laisse faire tout en enlevant mon sweat par le haut. Je défais l’attache de ma brassière de sport pour libérer mes gros seins. Sa petite salope est maintenant seins nus en leggings et snikers roses. Je le laisse me peloter par derrière et m’embrasser dans le cou en pressant mes seins. Je sens son sexe contre mes fesses à travers son short et mon legging.  Comme j’ai envie d’un peu mieux qu’un plan gros câlins tendres et attentionnés je me mets à genoux au pied du canapé en espérant qu’il comprenne où je veux en venir. La main qui se glisse instantanément entre mes cuisses me rassure. Un doigt presse juste là où il faut l’abricot qui commence à devenir juteux. Il masse mes fesses et les embrasse à travers le legging. La première claque me fait tressaillir. Mais je me cambre et je baisse de moi même mon legging pour lui offrir la chair de mes fesses nues et encore intactes. J’ai gardé un petit string de dentelle qu’il pourra arracher ou faire glisser sur le côté quand il voudra.

-« Je crois que j’ai mérité un bonne fessée non ? »

-« C’est clair, tu es vraiment une salope toi ! »

Il claque du plat de la main. Un peu timidement à mon goût. Il est novice en matière de fessée. Je garde les mains de chaque côté du haut de mes cuisses, tenant mon legging et je relève un peu mes fesses en cambrant bien les reins. La claque qui vient ensuite est plus assurée, avec un joli bruit, bien net. Je lâche un petit : « Han ! » suivi d’un « Hummm… » légèrement gémissant. Il se penche vers moi et prend ma queue de cheval à pleine main pour venir chuchoter à mon oreille : « Tu aimes ça, hein ? »

-« Hummm, oui, je suis ta petite salope. T’arrête pas tant que mes fesses ne sont pas bien rouges. Tu veux bien me prendre sur tes genoux ? »

Il s’installe sur le canapé sans lâcher mes cheveux et me place à plat ventre sur ses genoux. J’aurais aimé qu’il retire son short pour sentir sa queue contre mon ventre. Je m’en charge comme je peux sous moi. Il relève le bassin pour me faciliter la tâche. Il bande bien dur. J’aime la sensation de sa queue sur la peau nue de mon ventre. Il prend le temps de caresser mes fesses et s’attarder lentement un doigt le long de ma raie du cul. J’ai toujours mon string de dentelle blanche. Je me tortille un peu sur lui pour sentir sa queue rouler sous mon ventre en sueur.

-« S’il vous plaît, pardon, j’ai été vilaine, mai je promets d’être une gentille fille… »

Sa main s’abat enfin sur mes fesses. Il frappe enfin bien comme il faut. Un belle fessée claquée avec un bruit d’applaudissements.
-« Han ! Han, pardon, promis je ferai tout ce que vous voudrez. Dites moi ce que vous voulez de moi. Han ! »

-« Tu vas me sucer ? »

-« Oui, oui, je vais sucer comme une bonne salope que je suis. Tout ce que vous voulez. »

Je prends une bonne fessée à coups bien rapprochés. Quand il s’arrête c’est pour se pencher sur mes fesses et souffler dessus. Ça piquotte.
-« Et tu vas me sucer comment petite salope hein ? »

-« Hum, à fond, en branlette espagnole. J’ai trop envie de ta queue. Je vais te sucer sous la douche comme une vraie pute. »

Nouvelle fessée. Plus forte cette fois. Douloureuse. Enfin douloureuse ! Cette fois quand il s’arrête il écarte la dentelle de mon string et je sens un doigt se presser sur mon anus. Je suis un peu contractée mais il force le passage et son doigt fini par rentrer. Je lâche un petit cri. Il laisse son doigt bien au fond de mon cul et essaie d’enlever ses running qu’il a gardé. Comme j’ai les mains libres je défais ses lacets. Il presse sa main contre mon cul, un doigt toujours bien enfoncé. Il ôte ses running et je fini de le débarrasser du short qui était tombé sur ses chevilles. J’aime ses molets très musclé et poilus. Quand il sort son doigt de mon cul il l’essuie sur mes fesses.

-« Tu es une salope sâle ! Tu as besoin d’une douche, pas question que je continue avec un cochonne comme toi ! »

Cela peut vous paraître étrange mais quand un mec me parle ainsi ça me rend dingue. Je suis prête à tout lui donner.

Il me prend par les cheveux pour m’emmener à la douche. J’ai les fesses brûlantes et je crains un peu l’effet qu’aura l’eau sur ma peau rougie.

Dans la douche a l’Italienne je me mets sagement à genoux et le laisse gérer l’eau. J’embrasse ses jambes poilues, je remonte avec la langue par l’intérieur des cuisses. J’ai défait mes longs cheveux bruns. L’eau tiède est un délice. J’ai l’impression que les fesses font mille degrés mais ça va quand même, j’essaies de ne pas y penser pour me concentrer sur la fellation. Il passe la main dans mes cheveux mouillés. Je prend délicatement chaque couille entre mes lèvres. Je le regarde par en dessous et j’attrape le champoing qui traine par terre dans un coin de la douche. Une grande bouteille jaune de champoing Dop aux œufs. J’en fais couler sur mes gros seins. Je me dresse un peu pour avoir sa belle queue à hauteur de ma poitrine. J’aime bien branler à l’espagnole. Imagine toi à sa place. Mes cheveux mouillés en arrière, je te regarde droit dans les yeux et fais venir lentement, très lentement, ta queue entre mes gros seins glissants de champoing moussant.
-« Je te laisse décider quand tu veux m’enculer… »

Je me demande combien de temps tu te laisserait faire, une grande fille sexy bien salope à genoux devant toi, experte de la branlette espagnole. Mon plan cul jogging se laisse un peu faire avant te me mettre debout en me tirant pas les cheveux. Il fait cela sans violence, il m’avoue que si je veux qu’il m’encule il ne faut pas trop attendre. J’aime bien son honnêteté. Je me retourne pour lui tourner le dos et le laisse me plaquer contre le mur en carrelage. Je sais que j’ai les fesses rouges et, même si j’en ai envie, j’appréhende un peu. Il prend la poire à douche fait couler sur le bas de mes reins le jet réglé au minimum, l’eau est tiède mais j’ai l’impression que mes fesse sont brûlantes. Il prend la grosse bouteille de champoing Dop et fait couler sur mes fesses. Il masse et fait mousser. C’est bon, il caresse ma Chatte et enfonce son pouce dans mon anus en même temps. J’ai très envie qu’il m’encule mais en même temps j’ai peur qu’après il ait envie de partir et je n’ai pas envie de me retrouver seule pour la nuit. Mais j’ai quand même très très envie de me faire défoncer le cul. Alors je décide de jouer la carte de l’honnêteté : « Tu vas pas partir après hein ? »

-« T’inquiète, personne ne m’attend. »

-« Ah ! Super, parce que j’ai bien envie d’être ton jouet sexuel jusqu’au matin. »

Je me cambre en offrant mon petit cul. Son gland presse contre mon anus. Il écarte mes fesses. Ses mains sur ma chair rougie me fond un peu mal mais quand il me pénètre d’un coup c’est pas la peau de mes fesses qui me fait le plus mal. Je pousse un long couinement. Mais je le supplie aussi : « Hooooo, haaannn, ouiii, démonte moi le cul comme une salope… »

Il me tient pas la taille et commence en va et vient ample et brutal. Je crie autant de douleur que de plaisir. Le salaud est endurant. Il m’épuise, j’ai une mauvaise crampe au mollet droit  qui m’oblige à porter tout mon poids sur ma jambe gauche. Il a empoignée ma cuisse et continue à me défoncer. Quand il jouit enfin je suis haletante, il m’a tellement fait jouir que j’en ai oublié où je suis. Il me retient pendant qu’il débande dans mon cul. Je réalise que la poire à douche coule toujours mais que l’eau est froide. On doit être au bout du cumulus depuis longtemps. Je pousse le levier en inox pour arrêter l’eau. Il s’est retiré de moi et me tend une grande serviette de bain beige. Je me colle contre lui. Il m’enveloppe dans la serviette de bain.
-« Humm, c’était bon, tu m’as tellement fait jouir. Tu voudras bien que j’essaie de te faire rebander en te suçant hein ? »

Il me serre dans ses bras et caresse mes fesses. Il me dit que je suis une vraie salope, qu’il est d’accord pour bien s’occuper de moi jusqu’à demain.

Je suis heureuse. Heureuse comme cela faisait longtemps que je ne l’avais pas été. J’ai encore envie qu’il m’encule. Même si je sais qu’il va falloir attendre. J’ai envie de ses doigts et de sa langue partout. J’ai aussi envie de sentir sa queue grossir à nouveau entre mes lèvres. J’ai envie d’avaler son sperme, qu’il caresse mes cheveux comme si j’étais une petite chienne totalement soumise et dévouée. Et toutes ces envie je les assouvi cette nuit là. Nous dormons très peu et il me baise tellement bien. Il prend plaisir à me tirer les cheveux, et j’aime tellement ça. Je crois que j’ai rarement autant couiné en une nuit que cette nuit là. Un truc qui, après coup le surprend encore et qui défie toute logique, c’est la quantité de sperme que ce type a semblé produire en une seule nuit. La vraiment il y a un truc qui physiologiquement m’échappe. Si quelqu’un sait m’expliquer je suis preneuse.

 

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