Poème porno

J’aime cet homme sur ce canapé

J’aime qu’il ai gardé ses souliers

Nue devant lui et à genoux

Je lève la tête offre mon cou

Qu’il emprisonne dans un collier

En cuir, large et capitonné

Puis à l’anneau, passe une chaîne

Reliée au pied du canapé

Puisqu’il a gardé ses souliers

Je m’incline pour les lécher

J’aime le cliquetis des chaînes

Le goût de sel sur ses souliers

La chaleur de la cheminée

Je meurs d’envie de le sucer

Mais j’attends qu’il m’y autorise

Cet homme sur ce canapé

Doit se plaire à me regarder

Dans la cheminée la flambée

Éclaire ma croupe par le côté

Il tire un peu plus sur la chaîne

Maintient ma tête à ses pieds

Il dit : « continue de lécher »

« Applique toi j’ai tout mon temps »

Mais il défait son ceinturon

baisse sa braguette, sort son jonc

Je voudrais faire une fellation

La chaîne courte m’en empêche

Alors je l’implore des yeux

Je veux sa queue entre mes lèvres

Lécher ses couilles et lui montrer

Comme sa chienne sait sucer

Mais il tire un peu plus la chaîne

Plaquant ma joue sur le sol froid

Quand il se lève et me contourne

Je réalise pleinement

qu’être nue c’est bien être offerte

A son regard, à ses caprices

Je creuse mes reins serre mes genoux

Pour lui offrir un beau spectacle

Il passe un doigt sur l’abricot

Déjà gonflé, doux et juteux

Habilement récolte ma mouille

en humecte mon trou du cul

je me tortille de plaisir

toute impatiente qu’il m’encule
Un autre article au hasard

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Plan cul adultère à Rodez

Tu m’as draguée sur cinqasept sans trop y croire. Jusqu’au bout tu as cru à un faux profil. Il y en a tant ! Mais mes réponses avaient l’air vraies, simples et sincères. Mais tu gardais pas mal de doutes. Photos visage flouté bien trop sexy, promesse d’une fille sans tabou trop belle pour être honnête. Mais tu n’avais rien à perdre à venir au rendez vous devant cette brasserie du centre-ville. Je t’avais juste demandé de garder ton alliance car je n’avais pas l’intention d’ôter la mienne. Un plan cul sans limites mais aussi sans lendemain avais-je précisé. Je voulais que les choses soient claire, ça n’était pas pour te déplaire. Même habillée en tailleur beige tu pouvais voir que j’étais telle que sur mes clichés plus dénudés. Mon visage que tu découvrais aussi te convenait. Moi, j’aimais ce que je voyais. Surtout après de longues semaines d’abstinence j’avais très envie d’un amant. J’étais prête à zapper le restaurant et à t’emmener direct à mon Airbnb. Mais je me doutais qu’il fallait te rassurer. Te faire comprendre que je n’étais pas une arnaque, juste une femme mariée très en manque de sexe un peu plus entreprenante que la moyenne. Alors on s’est fait la bise devant la porte puis nous sommes entrés demander un table pour deux. Je t’ai dit que je n’avais pas vraiment faim de nourriture et demandé si ça ne t’embêtais pas si nous ne prenions que deux douzaines d’huîtres et du champagne. Comme ça on fait un peu connaissance et si tout se passe bien on continue ailleurs. C’était un peu direct mais bien sûr tu étais ok. Je t’ai servi mon histoire bien rôdée et vrai de femme mariée à un homme qui ne me voit plus que comme la maman de notre enfant et lui préfère sa secrétaire pour ce qui est des jambes en l’air. Tu m’as complimentée et dit que tu ne comprenais pas comment un homme normalement constitué pouvait délaisser une femme comme moi. Alors j’explique, je dis que pour ce rencard j’ai fait ce qu’il faut, tenue sexy et maquillage, coiffure, bas et talons aiguilles. Même si je fais du sport je lui assure qu’habillée comme un sac le visage triste et sans maquillage je pouvais aussi être aussi bandante qu’une chaise. Bon, c’est exagéré mais en tous cas c’est sûr que mon époux semble aussi Las de moi que je le suis de lui. Mais on n’est pas là pour parler de nos couples à la dérive. Ce soir j’ai envie de m’amuser, d’être une pute, pas une sainte. Ça te convient ou on se quite après les huîtres ? Nos pieds se touchent sous la tables. Bien sûr que ça te va ! Moins d’une demi heure plus tard notre premier baiser avec la langue à lieu contre la porte de mon Airbnb. Je serre tes fesses entre mes mains. J’aime le cul de certains hommes. Le tien est beau et ferme. C’est un baiser long et langoureux, je te laisse passer les mains sous mon tailleur et vérifier que ce sont bien des bas que j’ai. Tu devines en haut de ma cuisse l’attache d’un porte jarretelles. Je te laisse hésiter à aller plus loin. J’embrasse ta joue et chuchote à ton oreille : « Soit patient, tu vas bientôt pouvoir entrer partout… » Je suce ton oreille et tâte la bosse entre tes jambes pour l’apprécier.

J’ai décidé d’être perverse. Cette fois j’arrête ici mon récit. Mais si vous insistez vraiment et si tu lis ces lignes après avoir cliqué sur le lien envoyé par sms et m’autorise à raconter. Alors je dirai comment nous avons occupées les quelques heures qui ont suivi.