Aller au bout de ses fantasmes

Je sais qu’il est un peu honteux, ou intime, d’aimer lire de la pornographie. Alors celles et ceux qui aiment mon blog n’osent certainement pas en parler et le faire connaître. Pourtant, si vous avez envie, gratuitement, sans rien attendre en retour, juste par gratitude ou sympathie, de me faire un joli cadeau, partagez le plus possible, citez mon blog quand vous commentez sur un site. Envoyez le lien à des amis, de vrais amis, ceux a qui l’on peut presque tout avouer. Par avance un grand merci baveux.

Lorsque j’étais adolescente je passais les vacances d’été chez mes grands parents. Il y avait dans le salon une grande télé à tube cathodique et un magnétoscope VHS. Internet existait ainsi que les téléphones portables. Mais je n’avais droit ni à l’un ni à l’autre. A seize ans j’avais déjà de gros seins mais j’étais un peu mal dans ma peau, sans faire vraiment de boulimie j’étais quand même plus portée sur les sucreries que sur le sport et les kilos en trop que j’ai perdu depuis ne favorisaient pas la confiance en moi. J’étais studieuse, très douée en mathématiques et, sans être asociale j’avais peu d’amies filles, encore moins de copains.

J’avais trouvé, cachée derrière une pile de disques vinyles la collection de films pornos de mon grand père. Il avait du enregistrer sur des VHS à peu près tous les films X depuis le lancement de canal+ .  Mais il devait aussi avoir d’autres sources car pas mal de films étaient en anglais ou en Italien.

C’est là que j’ai fait toute mon éducation sexuelle entre 15 et 17 ans. Je pense que c’est de là que me viennent tous les fantasmes que je réalise aujourd’hui. J’aimais particulièrement les ambiances moyen âgeuses, les scènes où l’heroïne devait se plier aux désir d’un ou plusieurs hommes qui exerçaient une emprise physique ou psychologique. Je me souviens ces visionnages, une main dans ma culotte et l’autre sur la télécommande, prette a tout éteindre si la lumière du couloir s’allumait. Aussi étrange que cela puisse paraître je ne me suis jamais faite surprendre. Je me fabricais des godemichets improvisés avec les pièces d’un jeu d’échecs en bois et je m’effrayais de la taille des sexes que les actrices se prenaient dans le cul.
Je dormais peu car même une fois dans ma chambre je m’essayais à toutes sortes de caresses. Je m’attachais maladroitement a mon lit, et je me faisais jouir souvent jusqu’au lever du jour. Ensuite je traînais telle une zombie adolescente la majeure partie de la journée. Je me sentais honteuse et coupable. Ensuite, quand il y a eu les premiers petits copains (décevants) puis les études et le mariage j’ai presque oublié cette période de ma vie. Maintenant chaque scène de chaque film me revient avec détail et je suis tellement heureuse de pouvoir, quand tout se goupille bien sur cinqasept, être enfin l’héroïne de ma jeunesse.

Et vous, quels étaient vos fantasmes à 16 ans. Vous avez forcément plus puisque vous avez cliqué sur j’ai 18ans ou plus !

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Angoisses de la femme adultère

Trouvez moi ici.
==> CINQASEPT <== (essais gratuit mais j’aime pas les radins !)

Petite astuce si vous voulez que je vous reconnaisse : incluez un code postal dans votre pseudo qui doit nécessairement contenir un jeu de mots ou un calembour.

Pour moi qui suis une femme adultère accro aux plans culs la clandestinité est une obligation. Je vis dans la peur d’être un jour découverte. Je suis heureuse en mariage. Non pas que mon mari me comble, bien au contraire. Mais je suis aussi maman et je bénéficie d’un statut social de jolie bourgeoise de province qui me convient parfaitement.

Les années passent, ma fille grandi, devient adolescente. Bien sûr j’ai souvent eu envie de coucher avec un collègue de travail, un voisin ou mon beau frère. Mais je sais très bien que si je cède à ce type d’envie un jour ou l’autre je serai démasquée. Je sais que si un jour un amant sait qui je suis, mon vrai nom, mon vrai prénom (qui n’est pas Lucie), alors un jour ou l’autre je serai trahie par un amant éconduit ou jaloux, par une compagne de plan à 4 mesquine ou une amie déçue. Donc je compartimente, j’entretiens une étanchéité parfaite entre la bonne mère, bonne épouse, femme sociable, jolie bourgeoise de province et la nymphomane adultère amatrice de fessée, passionnée de sexe sans tabous ni limites. Toujours a l’affût d’une expérience nouvelle et accro à ce blog qui me permet de faire durer l’es plaisirs trop fugaces et rares de mes incartades adultères.

J’ai principalement deux types de plans culs. J’aime les rencontres de hasard, loin de la maison je me construit un personnage et je me laisse aborder par un inconnu plus entreprenant que la moyenne. Cela donne parfois un plan cul très satisfaisant mais quand même assez classique en général. C’est frais, authentique, simple et en vrai j’adore ça. Mais ça ne marche pas toujours, des fois c’est raté, ou le mec prend peur et je me retrouve comme un idiote seule dans ma chambre d’hôtel ou mon Airbnb.

Et il y a les rencontres plus ou moins planifiées sur un site de rencontre à plan cul. Moins palpitant, sans l’excitation de la drague et de la rencontre, avec moins de suspense. Mais là on peut planifier, là je peux sans honte dire que j’ai envie d’être une soubrette punie ou une chienne ligotée. C’est un autre délire mais que j’aime aussi tellement.
Et puis il y a les relations plus long terme que j’ai construites ces sept dernières années. Celles et ceux qui ne savent rien de mon identité vraie mais l’ont accepté ainsi. Un professeur d’université et son étudiante soumise, mon amie Marie et nos parties fines.

Ce soir, alors qu’il reste encore deux semaines d’enfer conjugal de ces interminables vacances estivales en famille, j’ai peur. Peur d’être un jour démasquée, peur que tout cela s’arrête. Mais cette peur fait aussi finalement peut être partie du jeu. C’est peut être aussi cela qui rend encore plus excitantes mes petites incartades…

En tous cas j’ai vraiment hâte que septembre arrive.

Bisous mouillés à tous. Demain peut être je vous raconterai un de mes derniers plans cul.

En attendant dites moi dans quelle ville vous êtes et où vous aimeriez me croiser par hasard.

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Elle suce au bord de la piscine

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Pseudo de l’été 2022 : LesMalheursDeJustine

Nogent-le-Rotrou. Maison de village, piscine et Jacuzzi. Cuisine américaine, sol en marbre. Chambres à l’étage moins jolies. Sans importance, tu me baiseras en bas. Bikini rose deux pièces, talons compensés en plexiglass, casquette et queue de cheval. Chaleur étouffante. Midi heure solaire. Soleil de plomb. Tu bronzes sur un transat en short de bain. Petite glacière en plastique bleu, quelques bières à portée de main enfoncées dans la glace pilée. Je m’approche du bord de la piscine. Mes talons compensés en plexiglass me donnent un démarche un peu maladroite, chaloupée. Ou c’est peut-être les trois mojitos bien chargés que tu m’as déjà servi qui ont entamé mon aisance habituelle en talons. En tous cas j’ai chaud et je plonge dans la piscine sans prendre la peine de les ôter. Aller retour en trois brasses, la piscine n’est pas grande. Couverte d’huile à bronzer l’eau glisse sur moi quand je sort de la piscine et me dirige vers toi. Fichus talons ! Je manque de me tordre une cheville en ratant la marche du bord de la terrasse en bois. Je tombe pas très élégamment est je décide de faire les derniers mètres jusqu’à toi à quatre pattes. J’arrive avec un peu plus d’assurance à ton transat fière de mes gros seins miraculeusement retenus par mon haut de maillot rose et riquiqui. Très envie de te sucer. Alors je tire sur ton short de bain qui vient tout seul et je me mets à l’ouvrage. Je défais le lacet dans mon dos pour faire tomber le soutien-gorge inutile et libérer mes gros seins. La branlette espagnole est une de mes grandes spécialités. Même pompette je maîtrise. Je plante mes yeux dans les tiens, provoquante. Ta queue trouve naturellement sa place entre mes deux gros seins. Je n’ai même pas besoin de la guider. Mouvements lents pour la faire coulisser entre mes belles mamelles. Langue sur ton ventre.
-« Laisse toi aller et prend une bière. »

Tu tends la main vers la glacière et attrape une canette de despé. Pchhhittt, un peu de mousse déborde de la cannette en aluminium. Quelques goutes passent de ton torse à ton abdomen, je lape.
-« Encore ! » je tire la langue comme une chienne assoiffée. Tu penche la canette et fait couler quelques gorgées que je m’empresse de laper pour éviter que ça coule partout. Ta queue bien dure est toujours entre mes seins.

-« Encore, plus, promis j’avale tout…Vraiment tout…»

Tu prends une grande gorgée de bière et vides le reste juste assez vite pour je n’arrive pas à tout laper sans en perdre. Pas mal de bière rejoint ta bite entre mes seins. Je descends lentement pour prendre ta queue entre mes doigts manucurés d’un rose assorti à mon bikini et je lèche tes couilles au goût despé. Après avoir bien sucé chaque couille je passe la langue le long de ton sexe tendu et l’englouti entre mes lèvre. Je suce doucement, sans changer de rythme même si je sens ton corp se tendre. Sucer lentement, toujours au même rythme, en serrant bien les lèvres, la langue qui presse ta queue contre mon palait, en faisant bien attention à ce que les dents ne touche rien. J’ai lu sur internet qu’il fallait faire varier le rythme. Mais moi je trouve qu’au contraire, c’est nul. Moi je préfère choisir un rythme et m’y tenir jusqu’à ejaculation. Tu te retiens, je sais que tu n’as pas envie de jouir tout de suite ce qui te priverait de mon petit cul dans l’immédiat. Mais on a le temps, jusqu’à demain 10h. La fin du Airbnb. Et il n’est que le début d’après midi. Alors je ne m’arrête pas de te sucer. Quand tu décharges je lève un peu ma tête pour que ta queue soit à moitié sortie. Ainsi ton sperme fini dans ma bouche et pas en fond de gorge. Je peux mieux en profiter. Je presse ma langue très fort de la base des couilles jusqu’en haut du gland pour bien tout extraire. Et j’avale satisfaite.
-« Tu sais que t’as très bon goût toi. Et t’inquiète, mon p’tit cul tu pourras en faire ce que tu veux d’ici demain matin.

 

Elle se fait baisser au bord de la piscine

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Pseudo coquin de l’été 2022 : LesMalheursDeJustine
Mini short jaune citron en éponge sur mon petit cul rebondi. Bord de piscine d’un pavillon AirBnB en banlieue d’Avignon. La haie nous met à l’abris des regards de nos voisins, eux aussi nantis d’une piscine. C’est le début de l’heure dorée, celle de l’apéritif et des photos Instagram. Si nous sommes à l’abris des regards indiscrets le son, lui, porte remarquablement. Les glaçons tintent dans les verres des voisins, leurs enfants se chamaillent à grandes éclaboussures tendis que la conversation des parents, deux couples, semble porter sur la différence d’âge de Brigitte et Manu.

-« Tu crois qu’ils baisent encore ? »

-« Je sais pas mais moi j’pourrais pas. »

Sur un transat je suis allongée à plat ventre. Pin-up de carte postale sexy. Je défais dans mon dos le noeud de mon haut de maillot assorti à mon mini short pour profiter sans trace de bronzage du soleil moins agressif de fin de journée. Je pense à Brigitte Macron, à sa peau fripée et aux ravages qu’ont fait les UV sur la plus célèbre des cougar du peuple de France. Je me dis que non, ils ne doivent plus baiser, leur truc c’est sûrement autre chose. Et je me demande si quand je serai vieille j’aimerai toujours autant me faire enculer. Est-ce qu’un amant me prendra toujours en anal comme un chienne, même si je suis une cougar grany ridée ? Je sais que je m’aime dans le regard des hommes qui me baisent. Je sais que ce qui m’excite c’est de faire ma petite pute ou ma grosse cochonne mais toujours ultra sexy en mode caricature de jeune actrice porno d’avant Jackie et Michel et autres pornhub qui ont tout gâché. Alors quand je serai vieille et fripée aimerai-je toujours autant   me faire prendre le cul ? Trouverai je aussi facilement qu’aujourd’hui la bite pour me defoncer ? J’ai du mal à imaginer que je puisse me lasser de cette sensation d’une queue bien raide qui appuie sur mon anus. La douleur exquise du moment où je me détend juste ce qu’il faut pour laisser entrer et le gémissement qui m’échappe immanquablement. Mais il parait que tout passe, tout lasse. Sauf les glaces ?

Toi bien sûr tu ne sais rien de mes pensées incongrues. Encore tout surpris de te retrouver là, au bord de la piscine à me reluquer le cul tu as l’air un peu nigaud avec les deux grands verres de Spritz que tu viens de nous servir. Je me tourne vers toi, je mords le coin droit de ma lèvre inférieure et t’indique du regard la table basse entre les deux transats. Tu y poses les cocktails. Entre nos deux verres un grand flacon ambré d’huile à bronzer.

-« Tchin-tchin ! Tu voudras bien me mettre… de l’huile solaire ? J’ai la peau sensible…Surtout en bas du dos et en haut des cuisses… »

Je parle sans fards, et, j’espère, assez fort pour être entendue des voisins de l’autre côté de la haie. Je sais que les voisins m’ont remarquée car je n’ai pas manqué dans l’après midi d’aller toquer à leur porte pour mendier des dosettes de café. C’est lui qui m’a ouvert mais sa bourgeoise m’a bien vue et n’a pas dû apprécier l’empressement de son mari à me rendre service.
-« Santé ! Oui, tu as raison, faut se méfier, même à cette heure le soleil tape fort. »

-« Oh ! Il peut taper, je n’ai rien contre, mais pas trop fort quand même…et pas avant que je sois tartinée. »

De l’autre côté de la haie la discussion sur le couple Macron s’est enlisée et c’est avec un entrain forcé que la voisine propose à son mari de démarrer le barbecue.Toi, tu presses la fiole en plastique d’huile pour en faire couler quelques goutes entre mes épaules. Hummm, je tends la main pour prendre mon verre d’Aperol Spritz. Petite gorgée rafraîchissante, traces de rouge à lèvres sur le bord du verre à pied. Tes mains en haut de mon dos, j’écarte déjà imperceptiblement les jambes et je me détends. J’adore les étés qui commencent comme ça.

-« Dis, tu m’aimerais si j’avais 69 ans comme Brigitte Macron ? »

Je lance le sujet exprès pour que les voisins sachent qu’on les entend.

-« Je ne sais pas mais c’est un beau chiffre… »

-« Idiot, c’est pas un chiffre, c’est un nombre. Occupe-toi plutôt de me passer la crème, on discutera positions si tu es sage…gros pervers. »

J’apprécie comme tu prends ton temps. D’abord ma nuque. Je dégage mes cheveux sur le côté et je tourne la tête. Je ferme les yeux et je souri. Je cherche à tâtons ton mollet. Tu fais plus que passer l’huile, tu masses délicatement. C’est bon et apaisant. Je caresses ton mollet poilu du bout des doigts.
-« Hummm, j’adore comme tu me passes l’huile. J’ai l’impression d’être un gigot d’agneau qui va passer à la casserole. »

Je sais, des fois j’ai des idées con qui tuent un peu l’ambiance. Mais j’y peux rien, c’est dans ma nature.

De toutes façons, au point où nous en sommes, il faudrait vraiment que je sois très maladroite pour casser l’ambiance. Après m’avoir longuement massé la nuque tu t’occupes de mes épaules. Tu ajoute régulièrement quelques goutes d’huile.

-« Hummm, c’est bon, j’ai chaud. J’ai envie de sucer…un glaçon… »

Je tends la main vers le seau en étain ou la bouteille entamée reste bien fraîche entourée de  glaçon cubiques. Le glaçon que je mets dans ma bouche est assez gros encore bien cubique. Je ne peux m’empêcher de me demander si tu auras l’idée de m’en glisser un ou deux dans la Chatte avant qu’ils n’aient fondu.

Pour dire la vérité la zone est pavillonnaire et la piscine loin d’être immense. Les transats sont en plastique blanc et il flotte maintenant dans l’air comme un désagréable parfum de merguez. Mais à part ça mon mini short jaune citron sur mon petit cul fait le job. Je presse ton mollet et enfonce un peu les ongles.

-« Tu veux bien me mettre de l’huile un peu plus bas s’il te plaît ? »

Un généreux filet coule en bas de mon dos. Je me tortille pour baisser mon short que je n’ai pas envie de tacher d’huile de bronzage. Ouf, juste à temps une moins grasse passe entre mes fesses.
-« Hummm, met en plus, sois généreux, t’inquiète j’ai deux autres flacons dans mon sac de plage… Et vires moi ce short de bain, il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que les voisins qui aient de la saucisse…»

Je tire sur le lacet de ton short de bain. Il tombe sur tes chevilles. Je dois me contorsionner un peu sur le transat en plastique qui crisse mais j’arrive à être en position pour sucer tout en te laissant mon cul à portée de main. Je prends le flacon d’huile pour m’en mettre sures gros seins. Pour le moment j’ai trop envie d’avoir tes doigts dans mon cul en te suçant. Mais tout à l’heure tu auras droit à une belle cravate de notaire.

-« Tiens moi comme un pack de six… Je suis ton petit pack de bière brune. »

C’est tellement bon, Je glisse de partout. J’hésite à te laisser m’enculer au bord de la piscine mais j’ai d’un coup peur de faire trop de bruit et que les voisins finissent pas perdre patience. Pas trop envie de me faire signaler sur AirBnB en vrai. Alors je continue à te sucer un peu. Et puis être tenue comme un pack de bière, ton majeur bien enfoncé dans mon anus et ton pouce juste sur mon clito c’est presque meilleur de de me faire enculer.

-« On rentre ? Je crois que j’ai pris un vilain coup de soleil. Faudrait me passer un peu de lait apaisant sur le corps. »

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