Comment bander plus dur et retarder l’éjaculation ?

Éjaculation précoce et érection molle

Deux fléaux auxquels aucune salope sexy qui aime les plans culs ne peut prétendre échapper à coup sûr. Deux problèmes sexuels qui peuvent gâcher un rendez vous coquin ou un plan cul adultère. Bien sûr, la plupart de mes lecteurs vont dire que ça ne les concerne pas. Bien sûr…

Mais sachez messieurs que l’on peut toujours faire mieux, toujours faire plus dur et plus longtemps. Me faire défoncer le cul j’adore, me faire démonter les guiboles encore plus. Et si ça peut durer jusqu’à l’épuisement, si je peux m’en souvenir quand je m’assoie les jours suivants alors forcément c’est génial ! Et donc oui, même si vous vous considérez comme une bête de sexe cet article vaut la peine d’être lu. D’autant que je vais faire mon possible pour le rendre aussi sexy, pornographique à souhait en même temps qu’utile pour celles et ceux qui rêvent de priapisme et t’enfoncer une queue bien longue et dure pour pour d’interminables va être vient dans un petit cul de cochonne en chaleur.

 

Ejaculation précoce, s’entraîner ne sert à rien

Ce serait tellement facile de vous dire : voilà la méthode infaillible pour en finir avec les problèmes éjaculation précoce. Mais en réalité, comme tout se passe dans l’inconscient rien de ce que vous pourrez tenter consciemment ne risque de vraiment fonctionner.

Les gels retardants

Voilà mon constat en tant que femme qui aime faire l’amour. Hé oui, parfois j’aime bien dire faire l’amour au lieu d’écrire baiser comme une grosse salope. Les gels retardants fonctionnent. Ils fonctionnent même plutôt bien pour regarder l’éjaculation. Ce n’est pas un miracle, un ejaculateur précoce ne va pas se transformer en un étalon endurant grâce à une molécule magique. Mais j’ai pu constater sur plusieurs amants à qui j’ai laissé une seconde, voire une troisième chance, que ça marche. C’est environ deux fois plus long. Ou plutôt deux fois moins court.

Le spray retardant

Meme principe actif mais un peu moins bien je trouve. Ou alors j’ai eu moins de chance. Je dirais 30% de temps de baise en plus. Pas négligeable quand même ! Mais je trouve le fait que l’amant se vaporise un produit sur la bite un peu tue l’amour. Alors qu’avec le gel c’est moi qui peux tartiner. Le gel a aussi un côté lubrifiant et un mec qui n’avait pas de problème d’erection mais qui voulait durer plus longtemps et avoir une erection bien ferme m’a d’abord massé l’anus avec le gel avant de m’enculer. J’en ai encore des frissons de plaisir rien que  d’y penser !

le meilleur choix de gels et sprays est, à mon humble avis, ici : boutique plaisir

 

Elle téléphone à son mari pendant que son amant la baise

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C’est une vraie boutique, ni meilleure ni pire qu’une autre. Les envois sont discrets et c’est plus réglo de vous proposer cela que ces liens vers des sites de gangbang pour libertine plus ou moins sérieux…Je touche évidement un mini pourcentage.

En cadeau ici un de mes derniers plans cul sans  publicité ni photos perturbant la lecture. J’attends vos commentaires.

 

Brrrr, brrrr, brrrr. Mon iphone sur la table de nuit est en mode vibreur. Nous commencions tout juste à nous embrasser debout. Je jette un œil sur l’écran illuminé.

-« Ciel mon mari ! Oh …Quel dommage ! j’ai du oublier mon téléphone au fond de mon sac…»

Je me remets à t’embrasser sur la bouche en faisant un petit va et vient avec ma petite langue douce et nerveuse. Mais tu me repousses et t’empares du téléphone.

-« Non, c’est pas gentil, tu réponds et tu le gardes en ligne le plus longtemps possible… »

Tu acceptes l’appel en faisant glisser ton pouce vers la droite et tu me colles le téléphone sur l’oreille. Plus trop le choix. J’improvise.

-« Allô, chéri ? »

-« Allô, ta fille voudrait te parler avant de se coucher. Je peux te la passer ou tu es encore au restaurant ? »

-« Non non, je suis dans ma chambre d’hôtel. Ok, mais pas longtemps alors, je suis crevée. »

-« Allô, maman ? »

Tu déboutonnes mon chemisier en me regardant droit dans les yeux pendant que je parle à ma fille.

-« Oui ma puce, tu n’es pas encore couchée ? »

-« Non, maman, t’es où ? »

Dans une chambre d’hôtel avec un homme qui n’est pas ton père et qui est en train de me déshabiller.

-« Maman est à l’hôtel. Je rentre demain ma puce. Il faut dormir maintenant. »

Tu m’as déjà débarrassée de mon chemisier et tu fais habillement glisser la fermeture éclair du côté de ma jupe fourreau.

-« Toi aussi tu va bientôt dormir Maman ? »

Oui, mais d’abord je vais sucer une belle queue et faire un peu d’équitation sur un bel étalon dont la pine va rentrer toute seule dans ma petite chatte toute mouillée.

-« Oui, ma puce, maman va dormir, bonne nuit ma chérie. »

-« Bonne nuit Maman, je te repasse Papa. »

Je suis en sous vêtements, en guépière. Bas de soie gris perle, porte jarretelles et soutien-gorge assortis. Tu t’allonges sur le dos au milieu du grand lit et tu me tires par le poignet. Tu déboutonnes ton pantalon et m’attires vers ton entrejambe pour que ce soit moi qui continue a te déshabiller. Je me déplace à quatre pattes avec sensualité. J’aurais pu faire une actrice porno Italienne des années 90 très sexy et convaincante.

-« Allô, ma chérie ? T’es toujours là ? »

-« Heu…oui…oui…Ta journée s’est bien passée ? »

Je n’ai pas oublié ta consigne de garder mon mari au téléphone le plus longtemps possible. C’est un jeu qui m’amuse aussi je dois dire. Mais c’est pas facile de se concentrer pour lui parler en même temps que je défais tes lacets, que j’ôte tes chaussures, puis tes chaussettes et te débarrasse de ton pantalon. Tu caresses mes cheveux comme si j’étais ton animal domestique. Je sais bien ce que cela veut dire. Il va falloir sucer. Ça tombe bien j’adore ça !

-« …au jardin… Allô ? Tu m’écoutes ? »

Bin non, pas trop, et je vais pas pouvoir te parler la bouche pleine.

-« Heu, oui, enfin non, pardon, je cherchais un truc. »

Le truc en question c’est ta queue que je sors de ton caleçon. Une belle queue déjà bien raide. Appétissante à souhait.

-« Ah ? Tu veux que je te rappelle plus tard ? »

En fait non, ça m’excite de te parler au téléphone pendant que je m’occupe de la queue de mon amant.

-« Non non, excuse-moi. Tu disais quoi à propos de la tondeuse à gazon ? »

J’imagine assez ce que tu peux ressentir à me voir, jolie brune en lingerie sexy à genoux sur le lit, dans une main mon iphone à l’oreille, dans l’autre ta queue. Ma langue lèche lentement des couilles jusqu’au gland. Pendant que mon mari tout fier me raconte comment il est parvenu à réparer la tondeuse à gazon. Tout est parfait, mes talons aiguille beiges vernis, le galbe de mes mollets gainés de bas de soie gris, le petit noeud en haut des bas, le porte jarretelle assorti et la délicate petite culotte en soie que tu carresses du bout des ongles.

-« Toi, ma chérie, tu ne m’écoute pas, je te connais. »

T’es vraiment sûr que tu me connais gros nigaud ?

-« Si si, hum, slurp, hum, pardon, si si je t’écoute. »

-« Tu manges quelque chose. »

Ouai ! Une belle bite bien raide avec deux étires couilles toutes mignonnes !

-« hum, oui, hum, désolée, une banane…mais continue, parle moi. J’ai pas eu une…slurp… super journée. Tu me manques, parle moi…j’aimerais que tu sois là avec moi … dans la chambre… »

-« Toi aussi tu me manques. Hâte que tu rentres. »

Je vais surtout me faire bien rentrer dedans avant de rentrer…

-«T’es où là ? »

-« Salon, canapé, Netflix… »

Moi aussi salon, canapé. Mais pas Netflix…

-« Pareil, j’ai réussi à connecter la télé de l’hôtel à mon hum …compte…slurp ! »

-« tu manges toujours ? »

-« Oui, je savoure hum ma banane… j’imagine que c’est…hum sssluuurrrp … la tienne. »

Je dis la dernière phrase en chuchotant. Et en m’occupant de tes couilles avec ma langue.

-« hou, j’vais p’t’être pas raccrocher tout de suite alors ! »

-« Non, s’il te plaît. Ce serait dommage…Tu veux pas imaginer que tu me caresses les fesses pendant que je te suce plutôt ? »

Toi, ton majeur presse juste au niveau de mon abricot. Entre les deux, la fine étoffe d’une petite culotte en soie. Je m’allonge confortablement sur le ventre, ta queue en bouche, en travers du lit mon petit cul juste porté de main baladeuse. J’attrape un coussin pour me le mettre sous le ventre et t’offrir ma plus belle cambrure de reins. Je plies les jambes et les balance légèrement en continuant à parler à mon idiot de mari comme si tu n’étais pas là à me caresser les fesses et l’abricot. J’ai gardé mes souliers à talon et tout mon sang froid. Je suis décidée à faire durer ce moment parfait le plus possible. Alors au lieu de sucer goulûment j’y vais en délicatesse, avec la langue, sans te branler.

-« Bin dis donc, qu’est-ce qu’il te prend ce soir ? Tu as bu ? C’est une farce ? t’es avec une copine ? »

Une copine bien habile de ses doigts et équipée d’un bonne bite…

–« Oui et non… Je ne suis pas avec une copine…mais j’ai un peu bu…ça t’embête ? Tu veux que je raccroche ou je continue à te dire ce qu’on aurait pu faire si tu avais été là ? »

-« Ok, je suis tout ouïes… »

-« Tu bandes ? »

-« Heu, oui, forcément… »

-« Bon, alors interdiction de te masturber. J’ai pas envie que tu raccroches dans 30 secondes… »

-« Heu ok. »

-« Donc imagine. Je t’ai déshabillé sur le lit. Je suis en sous vêtements sexy, soutien gorge et bas de soie, porte jarretelle, et petite culotte en soie. »

-« Heu t’as ça dans ta garde robe ? »

-« Non gros nigaud, mais t’a qu’à imaginer. Et peut être que ça te donnera envie de me faire un cadeau, j’dis ça j’dis rien… »

Pour mon mari je ne m’habille jamais en jolie salope bourgeoise sexy comme je me suis vêtue pour toi. Je ne fais pas non plus tout ce que nous allons faire ensemble…Et qu’il va m’entendre décrire par le menu sans même se douter que c’est bien plus réel qu’il ne se l’imagine…

-« Allo mon petit mari d’amour ? Tu es toujours là ? »

-« Plus que jamais ! »

-« Alors imagines : Depuis cinq bonnes minutes je lèche ta queue de bas en haut, je suce tes couilles. Tu profites du spectacle en caressant du bout des doigts mon petit cul à travers ma petite culotte en soie. Je suis allongée sur le ventre, toi sur le dos. Et tu presses tendrement mon petit abricot gonflé de désir. hummmm, ouiiii, c’est bon, j’adore comme tu me caresses. »

Et c’est d’ailleurs exactement ce que tu fais ! Tu as maintenant glissé ta main dans ma petite culotte et dégagé ma chatte bien moite. Je gémis d’aise quand un doigt s’introduit dans mon vagin étroit mais déjà bien lubrifié. Je prends ton sexe dans ma bouche pour m’éviter de trop gémir. Tempi pour le téléphone pendant quelques secondes. Monsieur mon mari n’entendra que des petits bruits d’ASMR qu’il n’aura qu’à interpréter pour ce qu’ils sont en réalité.

-« Hummm, tu vas me rendre folle. »

Ton pouce contre mon anus presse et rentre sans difficulté. C’est bon signe car si tu t’intéresses à mon petit trou du cul c’est que je vais bien me faire enculer et, quand c’est bien fait, c’est ce que je préfère. Mais mon mari n’y a pas droit et je lui fais croire que je suis radicalement contre le sexe anal. Il est sans doute temps de ne me consacrer plus qu’à toi.

-« Allo, mon chéri, j’ai bientôt plus de batterie et le câble est dans ma voiture. Je t’aime, à demain. »

Et je raccroche et prenant soin d’appuyer longtemps sur le bouton de l’iPhone pour l’éteindre entièrement.

Je me tourne vers toi : « Ça te dis un plan levrette, sodomie, levrette, sodomie, levrette sodomie ? Tu veux bien me défoncer jusqu’à ce que petite mort s’en suive ? Après on dort et on recommence ok ? »

 

 

 

 

Plan cul en mode petite salope en vacances

Ma tenue du jour : Petite Salope en robe rouge à pois blancs, souliers à talons assortis, chouchou dans les cheveux. Longues jambes épilées toutes douces, nues du haut des socquettes jusqu’au string de dentelle blanche. Petit abricot juteux lui aussi intégralement épilé.

Mon plan pour ce soir : M’enfoncer dans l’anus avec délectation un petit plug anal en cristal Swarovski et sortir en douce vers 23h30 après m’être assurée que monsieur mon mari dort profondément (il prend des somnifères). Passer en mode petite salope délurée en vacances. Je t’ai dragué sur copine de sexe sans montrer de photo de moi autre que celle énigmatique de mon profil. Mon pseudo : AmourALaPlage. Tu as joué le jeu et accepté de prendre le risque de tomber sur un laideron. Je t’aime déjà rien que pour cela…et pour ton appartement disponible à deux pas de notre location de vacances.

Je me délecte de ton heureuse surprise quand tu me vois pour la première fois. Tu ne t’attendais pas à la jolie pin-up pulpeuse en robe à poids et rouge à lèvres brillant qui tire la chaise pour s’installer en terrasse juste à ta table.

C’est bien parti pour un plan cul sans chichi, un minuit quatre heure du mat rafraîchissant comme un double mojito royal. Un peu de monde à la terrasse de la Bodega. Apprécier l’effet que je produit dans ce genre de place publique surtout fréquenté par des touristes entre trente et soixante. Quelques couples sur leur 31 restent, hélas, beaucoup trop de short, TShirt, claquettes bedaine. Qu’importe, les regards des hommes, fussent-ils un peu beauf sur mon petit cul d’allumeuse et mon décolleté pigeonnant m’amusent toujours autant. Les réactions de leurs femmes sont aussi souvent intéressantes…Toi, pantalon chino, chemisetge manches courtes et vraie Rolex au poignet. Un tantinet frimeur avec tes cheveux gauminés mais ça me va. Autant j’ai adoré cette année faire ma chienne sous des hommes ventripotents et pervers à souhait, autant pour cette sortie estivale j’ai envie d’un mec plutôt du genre acteur porno pour un bon petit démontage de cul classique de salope adultère. Cette nuit je veux juste sucer, m’abandonner à des doigts fureteurs et gémir quand tu remplaceras mon petit plug anal par ta belle queue bien dure.

J’y vais franco, pas besoin de faire durer le suspense.
-« Salut, tu me paies un Mojito et après tu emmènes mon petit cul chez toi ? Faut que je rentre à notre location avant que mon mari se réveille. Ça fait 4 heure du mat. J’ai bien l’intention de jouir par tous les trous d’ici là. Enfin si ça te fait pas peur ! »

-« Mais c’est quoi ce plan ? C’est une caméra cachée ? »

-« J’espère bien qu’il n’y a pas de caméra ! Je suis incognito 🥸. Mais bon, si t’es du genre poltron je suis sure que je peux te trouver un remplaçant vite fait… » petit clin d’œil.

Il faut souvent savoir saisir la chance quand elle se présente. Heureusement tu es du genre aventureux. Tu n’as rien à perdre et tout à gagner dans cette histoire de cul. Tu fais signe à la serveuse (assez jolie d’ailleurs) et commande nos Mojitos. Pour le moment tu ne risques rien et mes gros seins dans ma robe à pois te font envie. On peut te comprendre. Tu es beau garçon. La serveuse l’a remarqué aussi.

Si tu es en juillet sur la côte Basque et que tu veux vivre la suite contacte moi sur copine de sexe… (L’inscription étant gratuite c’est sans gros risque…)

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Lycéenne Ukrainienne punie en anal

retrouvez moi cet été sur cinq à sept (pseudo LucieBayeul)
18ans, je suis une lycéenne ukrainienne en terminale et je dois passer le grand oral du bac alors que je ne parle presque pas Français. C’est un rêve car en réalité je suis tout ce qu’il y a de plus Française, trentenaire et mariée. Mais comme ce rêve était très réaliste autant te le raconter. Je suis donc une lycéenne nouvellement arrivée en France pour fuir la guerre en Ukraine. Toi, tu es un professeur qui m’a surprise en train de copier sur mon voisin pendant un examen et tu m’as demandé de rester après les cours pour une petite explication éducative. La cloche a sonné et mes camarades de classe ont toute quitté la salle de cours pour la coure de récréation. Ne reste plus que toi, le professeur Mathematiques et moi l’étudiante ukrainienne, ou plutôt la lycéenne ukrainienne puisque je suis en classe de terminale. Tu as pris la grande règle jaune en bois et m’ordonne de monter te rejoindre sur l’estrade. J’ai souliers vernis avec de petits talons qui claquent et résonnent sur le bois poussiéreux de l’estrade. En Ukraine, dans le Dombas d’où je viens j’ai échappé au viol des soldats Russes. Et c’est pour le retrouver ici, jeune fille Ukrainienne sexy à la merci d’un enseignant lubrique. Je me tiens bien droite en face de toi.

-« Face au tableau, les mains sur la tête ! Et baisse les yeux ! »

Je regarde par terre, mes mains aux ongles vernis sur mon chignon tressé. Tu me tourne lentement autour et relève ma jupe avec la règle en bois. Je sens la règle à plat remonter entre mes jambes. La règle est large et quand elle arrive à mi cuisses je suis obligée d’écarter un peu les jambes si je ne veux pas que les collants de nylon soient filés. Tu remontes à plat la règle jusqu’en haut de mes cuisses. Sous mes collants je n’ai rien. La règle en bois est contre mon abricot mais tu continue à la remonter en pressant, ce qui m’oblige a me mettre sur la pointe des pieds. Avec les mains sur la tête je perds l’équilibre et je tombe en avant. Par réflexe je mets les mains en avant pour me retenir sur la tablette en bois sous le tableau noir. Des craies blanches et de couleur volent un peu partout et se brisent en tombant sur l’estrade.

-« Maladroite en plus d’être tricheuse ! »

Tu mets ta mains sur ma nuque pour que je me penche en avant. Tu places un côté de la grosse règle jaune en bois au sol alors que l’autre extrémité appuie entre mes fesses. Je dois me mettre sur la pointe des pieds pour éviter que la règle ne me fasse trop mal. Ma jupe est relevée est tu n’as aucun mal à déchirer mes collants que les coins de la règle avaient dû entamer. Le bruit est caractéristique et surtout suivi de celui non moins caractéristique de la fermeture éclair de ton pantalon. Ce que je sens pressé contre mon anus ne me semble pas du tout être un doigt. Tu enfonces d’un coup sec, pour m’enculer à sec justement. Je crie mais je n’ose pas bouger, la règle est toujours coincée entre le sol et mon abricot. Sur la pointe des pieds j’ai l’impression que mon cul est mille fois plus gros qu’en réalité. Dilaté et plein de ta grosse queue j’ai l’impression que je ne suis plus qu’un anus. Je ne sais même pas si je mouille, ni même si je suis excitée ou juste si j’ai mal. Tu t’enfonces en moi lentement mais à fond à chaque mouvement. Je gémis à chaque fois que tu te ré-enfonces en moi. Après un nombre d’aller-retours que je ne saurais compter la règle fini par tomber au sol et je sens ta mains sous mon ventre qui vient me fouiller la Chatte. C’est là que je réalise que j’étais bien en train de mouiller car t’es doigts  qui glissent dans ma chatte me font un peu oublier combien j’ai mal au cul. Je suis sur le point de jouir et au lieu de gémir je me surprends à suplier : « oh oui, encore, oui, t’arrêtes pas, continue à enculer moi »

C’est là que tu me fais tourner la tête sur le côté…Et que je découvre l’antique grosse caméra VHF posée sur un bureau . Je suis juste dans le champ.

-« Souri à la caméra, on te reconnaît bien, mais t’inquiète c’est de l’analogique…enfin tant que je n’en décide pas autrement… »

-« Non, s’il vous plait, donnez moi cette cassette, je ferai ce que vous voudrez. »

-« Idiote, tu fais déjà ce que je veux. Me dis pas que tu sens pas ma bite dans ton petit cul de salope Ukrainienne ? »

-« Si, je la sens, promis, j’en parlerai à personne… »

-« Non seulement tu vas pas en parler mais si tu veux que cet enregistrement reste analogique et ne se retrouve pas sur les réseaux…alors tu vas devoir revenir dans ce bureau à chaque fois que je te l’ordonnerai… »