Carnet de punition

C’était un petit carnet Moleskine. Pendant les quatre mois de notre relation secrète je devais y consigner mes mauvaises pensées et mes manquements aux bonnes mœurs ou à l’hygiène de vie qu’il m’avait imposé. Lorsqu’il me convoquait, en général l’après midi en semaine, je devais rappliquer chez lui avec mon petit carnet.

Ce jeudi là c’était la troisième fois qu’il me convoquait ainsi. J’avais une robe longue à fleurs sur des sous vêtements en coton blanc. C’était en juin, il faisait chaud, très chaud.

Je devais me tenir debout, relever ma robe afin que ma culotte soit découverte et tenir en même temps que les pans de ma robe mon petit carnet de punition.
Je réalisais la liste de mes fautes depuis notre dernière entrevue et il décidait du châtiment. Nombre de claques sur mes fesses, avec ou sans martinet, fellation, sodomie à sec ou lubrifiée, choix du gode ou réglage de l’écarteur de jambes.

Dans un prochain article je vous raconterai plus en détail, ne vous inquiétez pas. Mais comme je sais que vous êtes 40% de filles à lire ce blog j’ai imaginé un petit jeu pour vous. Si vous voulez vous pouvez écrire en commentaire ce que vous auriez mis cette semaine dans votre carnet de punition. Et les hommes qui veulent decident de la punition adéquate. Ça vous tente ? Au passage pensez à vous décrire un peu…

Auto-stoppeuse sexy sans BlaBlaCar

Lucie adultere
Mon pseudo : LucieBDispo

vingt deux heures, début décembre une nuit froide et sans lune. Il a plu toute la journée et ça continue entre Rennes et Nantes. La RN137 est luisante éclairée par les phares jaune de ta vieille Mercedes Break 280 beige. La voiture a le même âge que toi, plus de quarante ans, moins de cinquante.

Tu aperçois ma silhouette qui tend le pouce au bord de la route un peu tard. Tu n’avais pas l’intention de t’arrêter. Un auto-stoppeur, surtout par temps de pluie, et avec les sièges en velour beige de ta voiture de collection c’est pas trop dans tes projets ce soir. Mais en passant à ma hauteur tu as une intuition. Peut être est-ce la ceinture nouée de mon imperméable qui dessine ma taille, peut être les bottines à talon, ou l’elegante valise cabine en aluminium. Mais en une fraction de seconde tu es certain que l’auto-stoppeur est une auto-stoppeuse. Et ça, ça change tout !

Freinage et marche arrière sur une vingtaine de mètres pour te ranger sur le parking bateau.

Je me penche à la fenêtre passager qui glisse lentement pour s’ouvrir. Je me dis que tu dois avoir un problème de batterie car la vitre électrique est très lente avec des à coups. Mon grand père était garagiste et c’est le genre de pensée parasites dont je ne peux m’empêcher. Les mains pour relever un peu la capuche de mon imperméable je demande :

-« Bonsoir, vous allez vers Nantes ? »

Il fait très sombre mais tu as allumé le plafonnier pour mieux voir. Les mèches frisées mouillées de pluies et mes grands yeux de biche aux abois ne peuvent te laisser indifférent

-« Oui, oui. Pas de souci. On va mettre votre valise dans la malle arrière »

La malle arrière, j’adore les hommes qui ont ce type d’expressions désuètes. Tu sors de la voiture pour m’ouvrir le coffre et tu y installes ma valise.

-« Vite, montez, il pleut des cordes. »

Galant tu me tiens la porte avant de rejoindre ta place de conducteur.

-« Pardon, je suis trempée, j’ai honte, en tous cas merci, vous me sauvez. »

-« Par ce temps je ne pouvais quand même pas vous laisser dehors. Mettez votre imper sur la banquette arrière si vous voulez. »

– « En tous cas merci ! Je vous dois une chandelle. Je ne sais pas comment vous remercier. Heu pardon, je veux dire une fière chandelle…»

En disant cela je baisse légèrement la voix et les yeux. J’enlève mon impermeable Burberry. Impossible que tu ne remarques pas mes beaux gros seins sous le pull en cachemire. Comme je me tourne vers l’arrière pour poser mon imperméable à l’arrière tu peux admirer à la dérobée ma chute de reins et mon cul qui tend la toile du pantalon tailleur clair que je porte ce soir là.

-« Je l’ai posé à plat, côté sec dessous. Je ne voudrais pas mouiller cette banquette arrière. Au passage, elle est superbe votre voiture, je suis très chanceuse ! »

Tu pousses le levier de la boîte automatique sur Drive et démarre en me répondant :

-« Oui, c’est sur qu’il n’y a pas beaucoup de passage par ici. »

-« Ça vous embête si je monte le chauffage ? J’ai l’impression d’être trempée jusqu’aux os. »

 

Je peux me permettre de vous demander comment vous vous êtes retrouvée au milieu de nulle part comme ça ? Si ce n’est pas indiscret »

-« Oh…Non, ce n’est pas indiscret. En fait j’étais en BlaBlaCar et après Rennes je me suis retrouvée seule avec mon chauffeur. Disons que l’ambiance commençait a être…enfin vous voyez ce que je veux dire. On a eu un different disons…relationnel…Alors j’ai préféré lui demander de me laisser sortir de sa voiture. »

-« Non !? C’est fou quand même. Il y a des types qui ne doutent de rien. »

Je pose la main sur ton avant bras.

-« Heu, en fait je pense que vous n’avez pas bien compris…C’est plutôt lui qui ne voulait pas de…rapprochement… Ça vous dit si on s’arrête une petite heure au prochain village ? Je suis sure qu’on peut trouver un hôtel… »

-« C’est quoi ce plan ? Vous êtes une prostituée ? C’est ça ? »

-« J’ai pas parlé d’argent. Nymphomanie, ça vous parle ? »

-« Heu oui, mais avouez que c’est pas commun comme situation. »

-« Et vous me trouvez…commune ? »

-« Heu, j’ai pas dit ça…non. Mais votre histoire, ça pue l’arnaque, si je peux m’exprimer ainsi. »

-« En tous cas, si moi je ne suis pas commune je peux vous dire que vous vous réagissez comme 90% des hommes que j’aborde! C’est pas grave, déposez moi au prochain village, j’irai au café du coin…ou alors vous vous laissez faire et je vous donne un petit avant goût de ce que vous risquez de rater… »

Ma main à glissé vers ton entrejambe et, comme tu ne protestes pas je m’attaque au bouton du haut de ton pantalon.

-« Ça te dit de te faire sucer en conduisant ? »

Tu ne réponds pas mais la raideur de ta queue de passe de commentaire.

Je la branle doucement tout en enlevant mon pull en cachemire de mon bras libre. Tu es muet comme une carpe mais du bandes comme un âne. Je me penche à ton oreille : « quand tu me prendra en levrette t’oublieras pas de bien presser mes gros seins… »

Il est temps de faire à suceuse. Merci le yoga ! Je suis souple et j’arrive à me pencher juste comme il faut pour te prendre en bouche. Quand je suce à genoux je commence en général at lécher les couilles. Mais là c’est plus logique de sucer directement. La sensation de ta belle saucisse dans ma bouche est géniale. Vous les mecs hétérosexuels vous n’imaginez pas comme c’est excitant de sucer une belle queue. Tu as posé un pain sur ma nuque et je suce lentement.

-« T’inquiète, j’avale. Laisse toi aller. Ensuite si tu as aimé saches juste que je peux être ta chienne soumise jusqu’au matin si tu paies la chambre d’hôtel… »

Je me remet à l’ouvrage lentement. Secrètement j’essaie de mesurer ta résistance. On arrive à un petit hameau sans commerces ni hôtel. Je le sais car tu passes à 50km/h puisqu’il y a un radar. Dans une dizaine de kilomètres il y a un vrai village avec un gare sncf et un petit hôtel. Il faut que j’arrive à te faire jouir avant pour avoir le temps de te convaincre de nous y  arrêter. J’accélère un peu la cadence et quand tu décharges au fond de ma gorge je me sens vraiment bien, femme, belle salope que l’on n’a as trop envie de quitter tout de suite. Je garde ta queue dans ma bouche tout le temps que tu débandes. Tu ne dis toujours rien.

-« Alors ? J’ai gagné ? On va dormir ensemble et tu vas t’occuper de mon petit cul de chienne soumise? »

-« Ça se pourrait ! »

Ta main sur ma nuque m’attire pour que je garde la tête sur tes cuisses. J’aime ça.


 

 

Sexcape game

Sexcape room

Une pièce sans fenêtre au plafond voûté. Un grand canapé club en cuir brun. Lustre en cristal. Les vieux bouquins d’une bibliothèque couvrent tout un mur à l’exception d’une petite niche dans laquelle est installé un vieux Minitel allumé. Le texte ultra pixelisé indique : Sexcape Room. Au milieu du mur opposé une grande porte en bois cloutée.  La lumière s’éteint d’un coup. Le noir est complet. On ouvre la porte puis qu’on la referme presqu’aussitôt. Quand la lumière revient, progressivement cette fois. Je découvre que je ne suis plus seule. L’autre est un jeune homme, je dirais un peu moins de trente ans. Smoking neuf, brun, très bien coiffé, lunettes de vue à montures fines. Un mec en smoking, c’est comme une fille en talons aiguilles. Tu sais au premier coup d’œil si il a l’habitude de le porter ou pas. Lui c’est clair, c’est pas James Bond ! Il semble aussi à l’aise qu’une Amish à laquelle tu aurais mis une mini jupe, des bas résilles et des Louboutins.

Moi, par contre, je suis parfaitement à mon aise. Sexy, jolie robe noire à décolleté plongeant, très plongeant sur ma poitrine généreuse. Collants nylon noirs et talons hauts. Surtout, je suis à l’aise car je sais ce que je fais ici et quel est mon rôle. C’est un ancien plan cul qui m’a contacté pour participer à un enterrement de vie de garçon. Normalement il aurait dû être incapable de retrouver ma trace. Je change de pseudo régulièrement sur les sites de rencontre et ne donne jamais mon muméro de portable. Je fais tout pour rester le coup d’un soir ou d’une semaine intracable. Mais comment cet ancien m’a retrouvée est une autre histoire.

Si tu veux te mettre à la place du jeune homme dont j’enterre la vie de garçon tu peux m’imaginer assise sur le canapé, jambes croisées, mes gros seins mis en valeur par le décolleté de ma robe noire, mes longs cheveux légèrement bouclés en une permanante parfaite. Maquillage discret mais efficace. Je n’ai pas besoin de beaucoup de rouge à lèvres pour que l’on constate que mes lèvres sont pulpeuses et que j’ai une bouche à pipe. Je tapote l’assise du canapé à côté de moi pour t’inviter à t’asseoir. Mais tu restes debout, circonspect, l’air emprunté. Tu te maries dans deux semaines, ta future femme est sans doute très jolie et tu es bien sûr amoureux et fidèle. Aucune raison de tout gâcher. Et puis tu sais que c’est justement ça le principe d’un enterrement de vie de garçon : Une sorte de mise à l’épreuve organisée par tes potes pour tester ta détermination.

D’ailleur un texte se met à défiler sur le Minitel : Pour sortir, il faut jouir…

-« Salut, c’est donc toi Donovan ? »

-« Ah ? Vous connaissez mon prénom ? »

-« Tu peux me dire tu, vu qu’on va devoir être très intimes si on veut sortir d’ici. »

-« Bin, Ok pour le tu. Mais, franchement, je doute qu’on couche ensemble un jour. C’est juste un jeu. »

-« Oui, un jeu…un jeu qui m’excite terriblement…pas toi ? »

Je décroise et recroise les jambes. Le nylon de mes collants crisse. Je ne sais pas si tu l’entends, c’est assez discret.

-« Vous, enfin, tu  es très belle. Mais le prends pas mal, le style star porno chic des années 90 c’est pas trop mon genre. »

-« Ah ? T’es sûr de ça ? »

Je te regarde par en dessous avec une moue boudeuse.

-« De toutes façons toutes les chances que la porte soit même pas fermée. »

Pas bête, je n’y avais pas pensé. C’est vrai que c’est un classique des escapes room. Laisser croire aux participants que la porte est fermée alors qu’il n’en est rien. Tu te retournes et tournes la poignée en porcelaine. Bien tenté mais c’est bien fermé.
-« Te fatigues pas, la clef elle est là. »

je montre du menton la boîte à clef sur le mur au dessus de la porte a bien 2m20 de haut.
-« J’ai le code, et je ne comptes pas te le donner si tu ne joues pas le jeu… »

-« Bah voyons. Et il va jusqu’où le jeu ? »

-« ça, a toi de voir. Mais j’ai comme l’impression qu’il va falloir me passer sur le corps.  La perspective est si désagréable que ça ? »

Je gonfle mes poumons pour faire s’il était besoin gonfler un peu plus ma poitrine avantageuse. Il faut dire que je sais par indiscrétion que ta future épouse est assez plate.
Blonde et jolie mais désespérément plate.

Devant le canapé Il y a une table basse en bois brut. Tu la déplaces sous la porte pour monter dessus et accéder à la boîte à clef. Tu essaies quelques codes. 0000, 1234, 4321, j’imagine ta date de naissance et la date du mariage aussi. Je te regarde faire amusée. Sur la pointe des pieds les bras en l’air tu te fatigues assez vite…D’autant que tu dois tendre le cou pour voir le code que tu composes. Dans ces conditions tu constates assez vite qu’il est illusoire de tenter les 9999 codes possibles les uns après les autres.

-« Aller, descends. Tu peux tenter de négocier un indice… »

Maintenant que tu sembles avoir compris la règle du jeu j’ai décidé de faire un peu moins dans la dentelle. Je me suis allangie sur le côté sur le canapé et j’ai retroussé ma robe pour dévoiler mes belles fesses en collants. J’ai dessous un mini string très fin et je sais que mon abricot épilé se devine très bien.
D’ailleurs tu ne dis rien. Je tourne la tête pour voir celle que tu fais et l’expression que je lis sur ton visage ne me semble pas être du dégoût. Je joue à pincer ma cuisse à travers le nylon pour que tu aies envie de faire pareil.

-« Dis donc, Donovan, j’ai l’impression que si je ne suis pas à ton goût, il va falloir l’expliquer à Popaul… ».

-« Ecoutes, oui, j’avoue, évidement que tu es bandante. Mais j’imagine que c’est juste un boulo pour toi. Alors que moi je risque mon mariage. Et de toutes façons, qu’est ce que je dis ! J’ai pas l’intention de tromper ma femme avant même de me marier ! »

-« Tout de suite les grands mots. Qui te parle de tromper ? C’est qu’un jeu. Un jeu sexy. Et puis, tu peux faire semblant, c’est toi qui fixes les limites…moi j’dis ça, j’dis rien. Le Minitel parle de jouir, pas de commettre l’irréparable adultère…Tu veux pas venir…derrière moi… »

Je me mets à genoux sur le canapé. Et, le miracle de l’amour commence à se produire. Tu es derrière moi. Tes mains sur mes épaules. Je sens avec délice ton corps juste derrière moi. Je me laisse doucement aller en arrière et ton corps est collé au mien. Beaucoup de tissus entre nous mais quand même. C’est un bon début! Un très bon début même quand tes mains descendent vers mes seins. Je suis toujours à genoux sur le canapé. Je penses que tu n’as toujours pas l’intention d’aller trop loin. Pour le moment c’est encore un jeu. Un jeu certes sexy et d’adultes mais un jeu quand même. Enfin, tes mains sur mes seins c’est déjà pas mal. Ça me rend bien chaude. Je cambre mes reins et essaie de presser mes fesses en arrière. J’ai l’impression de te sentir contre moi. Je relève ma robe qui était retombée entre nous. Je sais que mon cul de bombe atomique en collants ça plait à tous les hommes. Même les plus sages.

-« Hummm, pas mal. Tu sais, techniquement tant qu’il n’y a pas pénétration…c’est pas vraiment trompé…J’dis ça, j’dis rien… »

L’argument fait mouche. Car tu te fais très caressant sur mes seins et glisse à mon oreille : « Ok, mais seulement si ça reste secret entre nous. »

-« T’inquiètes, ce qui se passe dans la sexcape room reste dans la sexcape room. C’est la règle et promis, je ne m’inviterai pas à ton mariage. Tu sais, j’aime très beaucoup les bisous dans le cou… »

Je te sens déjà moins timide. Et toujours très dur contre mes fesses. Les lèvres sur mon cou sont tièdes, humides. Je me laisse aller en arrière. Tes carresses sur mes seins tournent au massage et j’ai déjà très chaud. D’ailleurs je me dis que ma pièce dans laquelle nous sommes doit être très bien chauffée. Il doit bien faire 25 ou 26 degrés facile. Je te laisses prendre ton temps, tu es encore un peu réservé. Un amant d’internet aurait sans doute déjà déchiré mes collants. Mais là c’est différent, tu as l’intention de rester du bon côté de la frontière de l’adultère. Alors je te laisse baver sur mon cou qui devient aussi mouillé que ma chatte. Je salive pour pour mouiller mes seins. J’aimerais être plus en sueur mais malgré la chaleur ce n’est pas suffisant. Il faudrait que je sois essoufflée et ce n’est hélas pas le cas. Alors je prends ta main et la porte à ma bouche pour sucer tes doigts avant de les rendre à mes seins. Tu ne dis pas un mot mais tu sembles avoir compris ce dont j’ai envie et tu te montres coopératif. Tu lèches mon cou et les épaules. Tu embrasses en y mettant toute la salive que tu peux. Plusieurs fois je reprends ta main pour la porter à ma bouche. Tu la remets entre mes gros seins qui sont de plus en plus moites. Secrètement je pries pour que tu ne sois pas un ejaculateur précosse capable de jouir dans ton pantalon juste en me caressant. Ton sexe bien dur que je sens contre mon cul me fait craindre le pire. Mais je n’y peux rien, il est des risques qu’il faut savoir accepter. Le manège de ta main entre ma bouche et mes seins est fort plaisant et je pourrais ne pas m’en lasser. Pourtant à un moment c’est plus fort que moi. Au lieu de laiser ta mains revenir entre mes seins je la guide plus bas, sous ma robe, entre mes cuisses. Je sens comme une hésitation, une résistance à aller si loin malgré la température qui entre nous est monté de plusieurs crans.

-« Aller, t’inquiètes pas, c’est juste des caresses sans enlever mes collants… »

Je force un peu ta main contre mon abricot tout gonflé et je serre les cuisses pour la garder emprisonnée. Toujours à genoux je passes ma main libre dans tes cheveux, sur ta nuque pour t’inciter a continuer à embrasser mon cou. Je serre mes cuisses très fort pour t’encourager à faire quelque chose de tes doigts. Je lâche un petit gémissement d’aise quand je sens enfin tes doigts presser contre mon abricot juteux.
-« Hummm, je t’en supplie, t’arrête pas de m’embrasse, caresse moi. Tu sens comme mon petit abricot aime ton doigt ? »

Je serre et desserre mes cuisses pour t’inciter à me caresser à travers le nylon de mes collants. J’ai très chaud et je mouille. Si bien que même avec le nylon ça commence à devenir glissant. Tu frottes en va et vient comme tu peux avec ta main toujours prisonnière. Je tiens fermement ton poignet pour que tu n’essaies pas d’enlever tes doigts de là où ils doivent être.

-« Hummm, c’est bon, tu vois, même pas besoin de faire ta femme cocue pour me donner du plaisir. Hummm, j’adore, tu me fais trop mouiller. Pitié, t’arrêtes pas. »

Et d’ailleurs c’est parti, tu ne semble plus trop avoir envie de t’arrêter. Ta langue a quitté mon cou et mes épaules pour t’attaquer à mes oreilles. Ça chatouille mais la façon dont tu le fais est très excitante. Je peux exactement imaginer que c’est un autre trou que tu pourrais lécher. Et je suis certaine que tu veux justement que j’imagine le Cunilingus que je rate. Je prends la main qui s’occupe de mes seins pour en sucer les doigts. J’aspire fort, je pousse trois doigts bien au fond de ma gorge. Je veux que toi aussi tu saches ce que tu rates, la bonne suceuse en gorge profonde que je saurais être si tu me laissais faire. Tes doigts qui caressent mon abricot à travers le collant pressent de plus en plus. Je te laisse prendre encore un peu ton temps. Bien mur et juteux l’abricot n’en sera que meilleur. Je meurs d’envie de déchirer mon collant par devant, j’imagine le bruit si excitant de tissu qui se déchire. Mais je veux rester fairplay et te laisser le choix. Après tout c’est TON enterrement de vie de garçon.

-« Hummm, tu sens comme mon petit abricot est juteux ? Je suis en train de tremper mon string et mon collant, faut faire quelque chose…C’est pas humain de me laisser comme ça…»

Je passe les mains derrière mon dos dans l’espoir d’accéder à ton pantalon. C’est un pantalon de smoking, noir en tissus fin et délicat. Même dans mon dos je suis une experte en la matière. La boucle de ceinture est facile à défaire. Occupé avec ma chatte sous ta main droite, mes seins dans la gauche et mon cou sous tes lèvres et ta langue tu me laisse faire sans protester. J’en profite pour tâter la bosse juste sous la ceintures. Évidement tu bandes comme un âne. Gros et dur. Je défais les deux boutons de ton pantalon, la fermeture éclair me donne un peu plus de mal. Il faut dire que je suis hyper excitée et que je balance mon bassin au rythme des pressions de tes doigts qui me massent à travers le nylon trempé. Après trop de vaines tentatives je laisse tomber pour la fermeture éclair de ton pantalon. Je me dis que c’est impossible maintenant que ta queue reste infiniment prisonnière. Il faut juste être patiente et t’aider un peu. Je me dégage un peu vers l’avant pour enlever ma robe par le haut comme un pull-over. Je n’avais pas de soutien-gorge et me voilà donc sans le haut avec juste encore mes collants, mon petit string et mes talons aiguilles.

-« Tu sais, si tu enlèves ta chemise, c’est pas le bout du monde. La peau contre la peau c’est agréable mais c’est pas tromper, c’est même pas un bisou. Tu peux faire ça non ? »

Je n’aurais pas cru que ce serait si facile. J’en suis presque déçue. Tu sembles avoir perdu toute timidité et tu es torse nu en un rien de temps. J’arrive, comme par miracle à défaire la fermeture éclair de ton pantalon et à saisir ta queue bien dure derrière moi. Je me retourne et je te pousse sur le canapé pour te sucer. Tu as oublié toute idée de résistance. Tout en gardant ta queue dans ma bouche, je me tourne pour que tu puisses enfin déchirer mes collants et me caresser.
-« S’il te plaît, occupe toi de mon petit trou du cul aussi, je t’en supplie. »

En fait je nàvais pas besoin de supplier. Tu presses un doigt qui était juste avant dans ma Chatte et donc bien humide. Ça rentre tout seul. Sensation délicieuse. Je m’applique à sucer alors que je sens déjà l’orgasme en moi qui me fait oublier mon corps. Tellement bon, on reste comme ça longtemps. Caresses et baisers mouillés, tes doigts dans tous mes orifices. Ta queue reste longue et dure et j’ai envie de l’avoir directement dans mon cul pour une fois, sans passer pas ma chatte. J’arrête de te sucer et je me place en cuillère contre toi. J’écarte mes fesses. Ton gland presse, je suis tellement détendue que ça rentre sans trop de difficulté. J’en gémi de joie. Folle sensation de ta queue qui me semble immense dans mon cul. J’insulte tout doucement, en gémissant de vrai plaisir. Quand tu finis par jouir je fais tout pour garder ta queue bien au fond, en moi. Je sais que tu vas le regretter, être gêné maintenant que c’est fait. Mais je m’en fiche, c’était tellement bon. Je te murmure le code à l’oreille.
Génétu n’oses rien dire. Tu te rhabilles et monte sur la table basse pour récupérer la clef.
Tu bredouilles quelques mots stupides avant d’être partir. Je reste dans la sexcape room en espérant qu’un autre candidat vienne prendre ta place car ça avait un petit goût de reviens y…
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