Micro short, maxi plaisir

Footing en milieu de semaine. Mon petit cul moulé dans un micro short rose. Je cours devant toi, mon petit cul qui balance à un ou deux mètres de toi. Mes gros seins aussi balancent dans mon crop top. Mini string qui dépasse du micro short pour compléter mon costume de salope sportive. Je t’ai lancé un défi. Si j’arrête de courir avant toi alors tu pourras disposer de mon corps comme tu l’entends. Je te l’ai promis en chat sur cinqasept. Si c’est toi qui abandonne alors je t’échapperai pour rejoindre un autre amant et tchao baby ! Moi je m’en fiche, pour une jolie MILF salope comme moi c’est pas le choix qui manque ! Les dix premiers kilomètres sont avalés aussi facilement qu’une belle bitte. Je sue à peine. L’allure est tranquille. Un petit 11km/h. Je consulte mon Apple Watch et décide d’accélérer en allongeant ma foulée. Je sais que tu es motivé. J’avais l’intention de te déposer pour jouir de ta frustration et me taper un autre mec. Mais je suis en train de changer d’avis. J’ai espoir que tu aies envie de me punir pour t’avoir fait courir. Vers le kilomètre 15 je commence à chauffer et à être bien en sueur. Mon Airbnb est a une dizaine de minutes alors j’accélère encore sans pitié. Si tu arrives à suivre je suis à toi. Sinon tempis, tu n’as pas l’adresse et tu n’auras que tes yeux pour pleurer et ta main pour te consoler. Mais il faut dire que mon joli cul moulé dans le short riquiqui en éponge rose bonbon est sacrément motivant.

J’ai sur toi un gros avantage. Je sais où je vais et je peux donc doser mon effort en conséquence. Toi tu suis, sans savoir si je suis partie pour un marathon ou si la ligne d’arrivée est proche. D’ailleurs je sens que je commence à te distancer. Pas facile d’ailleurs, je fatigue moi aussi. Quand j’arrive enfin au portail de la maison de ville où est l’appartement de mon Airbnb je suis à bout de souffle et me penche en avant les mains sur mes cuisses. J’ai une vingtaine de mètres d’avance et tu es soulagé de me voir m’arrêter. Tu me rejoins et te colle direct contre mon dos, tes bras enlaçant ma taille.

-« Je te tiens ! J’espère qu’on est arrivés ! Je ne te lâche plus ! »

Mon dos est trempé de sueur. J’adore sentir ton corps contre moi et tes bras autour de ma taille. Mais je fais mine d’essayer de me dégager. J’ouvre le portail et je m’enfuie vers la porte de l’appartement au fond du petit jardin. Je n’ai pas le temps d’ouvrir que tu me plaques contre la porte. Je sens ton sexe dur à travers ton jogging juste entre mes fesses. Heureusement que je n’avais pas fermé la porte à clef car je ne sais pas si tu ne m’aurais pas baisée là, dehors, contre la porte.

J’ai à peine tournée la poignée que tu me pousses à l’intérieur et claque la porte derrière nous. Je trébuche et tombe maladroitement manquant de me cogner contre une table basse  . J’ai raté le canapé d’un bon mètre ! J’essaie de me relever mais tu es déjà sur moi et tu me pousses brutalement en avant. Heureusement cette fois j’atterris sur le canapé ! La claque sur mes fesses est bruyante et sans retenue. Mais du plat de la main. Je me cambre malgré moi. Comme par réflexe. Je tourne la tête jette un regard suppliant en mordant la lèvre inférieure. Une deuxième claque encore plus forte et bruyante, puis une troisième. Je tente de mettre mes mains sur mes fesses pour les protéger mais tu prends mes poingnets d’une main et les maintient derrière mon dos tout en me corrigeant d’une magistrale fessée de l’autre main.

Tu frappes fort et longtemps avant de baisser mon short sur les genoux et de déchirer mon string. Puis tu remets ça toujours du plat de la main, en prenant soin de faire claquer. Tu tapes là où c’est charnu, pour faire rougir mais sans intention de baliser. Tu as lâché mes poignets et j’ai choppé un coussin pour mordre dedans en attendant que tu te lasses de taper mes fesses. Je me dis que tu dois bander et que tu vas forcément avoir envie de me pénétrer, qu’il me suffit d’attendre docilement. Je sais que je vais jouir alors la douleur, c’est supportable, ça fait même partie du plaisir.

La fessée s’est arrêtée,  c’est maintenant que je me retourne. Tu as le jogging sur les chevilles. J’enlève ma brassière et je presse mes gros seins contre toi, ta queue juste dans le creu parfait au millieu. Je suis la reine de la cravate de notaire, la langue qui taquine le bout de ton gland et mes seins chauds pressés sur ton membre. J’ai plus du tout mal au cul, je suis juste bien mouillée et j’ai très envie de jouir.

La suite bientôt peut être…