Bikini sexy, je fais ma salope qui drague à la plage

Opération Bikini

Je t’ai donné la veille en messagerie anonyme mes instructions secrètes pour un plan cul adultère avec une bonne petite salope sexy en Bikini.

Tu as accepté le risque d’un rendez-vous uniquement sur la base d’une photo de profil au visage flouté. J’aime les hommes qui assument leur désir d’un corps sexy sans accorder d’importance au visage. Non que mon visage soit laid, mais savoir que tu me désires pour mon corps est une assurance de plus qu’il ne risque pas d’y avoir de prise de tête ou de sentiments trop encombrants. Baiser l’esprit libre lorsque l’on est une femme mariée est primordial dans le choix d’un amant, fusse-t-il passade de vacances.

Le rendez vous pour l’opération Bikini est fixé sur la plage en fin d’après midi. A ce moment en général mon époux s’est lassé de rester allongé sur le sable et notre fille a eu son lot de baignade, éclaboussures et châteaux de sable. Je demande à mon mari s’il peut la ramener à la maison afin que je profite en paix de la plage jusqu’au coucher de soleil. Il ronchonne un peu mais je lui chuchote : « S’te plaît…promis je te suces en rentrant… » Depuis peu j’ai fait la paix sexuellement avec mon mari. Ça m’excite encore plus de le tromper si je le satisfais au lit. Je me dis que si un jour on se sépare il aura encore plus les boules. Et s’il s’aperçoit qu’il est cocu savoir que sa jolie femme en bikini peux être une vraie pute au lit l’achèvera encore plus. Je sais c’est mal mais avant que Il m’a tellement trompée avant que je ne lui rende la pareille que mon désir de vengeance connaît peu de limites.

Voyeur de plage en avance au rendez vous

Bien sûr tu n’as pas tenu compte de l’horaire que je t’ai donné et tu as passé une bonne partie de l’après midi à reluquer les filles en maillot de bain de la place pour essayer de repérer la petite salope mariée en Bikini qui t’a promis un cinq à sept voire un peu plus si affinités…

Je me suis décrite comme un petit cul sexy en bikini jaune et je ne t’ai pas menti. Le bikini est de la couleur annoncée et mon petit cul de salope très à ton goût. Cerise sur le gâteau mes beaux seins conviennent et tu as quelques heures pour fantasmer sur une cravate de notaire ou juste quelques baisers gourmands un peu partout.

Nous avons convenu que c’est à toi de m’aborder si je suis seule sur ma serviette de plage sous mon parasol.

Tu te postes à distance respectueuse de ma petite famille et attends patiemment que je m’en sois débarrassée pour m’aborder comme convenu. De ton poste d’observation tu prends plaisir à m’observer dans mon rôle de jeune maman sexy à la plage avec son époux. Savoir que c’est avec toi que je vais le tromper dans quelques instants t’amuse et fait déjà partie du plaisir de ce plan cul adultère. Me voir en bikini est parfait pour constater que je n’ai pas menti sur la marchandise. Reste à savoir si la maman et épouse modèle saura être à la hauteur de ses promesses en ligne où si elle se dégonflera. En me découvrant en vrai tu as forcément un peu peur d’un faux plan et que je reparte avec mari, gosse et parasol en te plantant là. D’autant que j’ai vraiment l’air de bien m’entendre avec l’homme qui m’accompagne et d’être attentive à ma fille. Je suis à genoux en Bikini à faire des châteaux de sable et, même d’un peu loin tu ne perds pas une miette de la vue sur mon petit cul sexy.

Heureusement, un peu avant l’heure convenu tu constates avec plaisir que mon mari range nos affaire et part en tenant ma fille par la main. Tu attends d’être certain qu’il ne reviendra pas pour oser enfin m’aborder : « Bonjour, Mademoiselle, je peux installer ma serviette à côté de la vôtre ? »

Je te regarde par dessus mes lunettes de soleil : « C’est madame…Mais oui, je sois en prie. De toutes façons je vais bientôt libérer la place. J’ai trop chaud. A propos, vous ne connaîtriez pas un endroit confortable et climatisé ? »

J’en convient, c’est digne d’un bon vieux porno ringard des années 90. Mais ça fonctionne plutôt bien. Et, dans mon Bikini deux pièces jaune cocu je pense que j’ai un petit côté starlette du porno nineties qui n’est pas pour te déplaire.

Ta location de vacances est à deux pas et, oui, elle est climatisée. j’attache un paréo à ma taille et je prends juste mon grand sac de plage en osier et ma serviette en laissant le parasol bleu et blanc assez moche planté dans le sable. Je le récupérerai en rentrant chez moi en début de soirée s’il y est toujours.

je m’accroche à ton cou et te fais un gros bisou sur la joue : « Smack ! Vous êtes trop gentil de m’offrir l’hospitalité ! Je me demande bien comment je vais pouvoir vous remercier… »

-« Oh, de rien. Je suis sûr que vous allez trouver… »

Je colle ma hanche à la tienne et pose la tête sur ton épaule. Mon corp est souple et ton bras autour de ma taille commence à vraiment en apprécier le contour.
-« Oui…je crois que j’ai bien une petite idée de comment vous remercier..Mais je ne suis pas celle que vous croyez, je ne compte pas enlever mon Bikini. »

-« Ah ? »

-« Mais non! Je plaisante, tu pourras l’écarter un peu sur le côté si tu veux…hummm »

-« Mais avec joie ! »

Il n’y a eu qu’à traverser la rue pour arriver à ton immeuble. Ton T1 est en rez de jardin. A peine passée la porte je t’embrasse sur la bouche. Pas trop de temps à perdre en conversation. Tu réponds à mon baiser en nouant ta langue à la mienne et je presse en ondulant mon entrejambe contre ta cuisse. Pas besoin de musique pour danser la Lambada. Mon paréo est par terre et je passe les mains sur tes fesse sous le short de bain. Nous avons deux belle heures devant nous. Je compte bien faire durer le plus possible et, si je peux sentir que tu bandes déjà bien dur, il n’y a pas d’urgence à aller plus loin trop vite. Tu prends le temps de passer tes main le long de mon corps, d’en jauger la souplesse. J’ondule en pressant mes gros seins et en prenant soin de garder mon entrejambe bien collée à ta cuisse. Ta petite salope en Bikini embrasse les yeux ouverts et tâte elle aussi tes fesses de bel homme. Ce ne sont pas encore les préliminaires, je n’ai pas vu ta queue et tu n’as pas glissé de doigt dans mon string. Cela viendra bien sûr. Pour l’instant on se frotte comme des adolescents. Mais nous sommes des adultes vaccinés et nous savons que nos langues n’iront pas que dans la bouche de l’autre. Il y a les caresses mais il y a aussi les mots. J’aime te demander si tu l’aime ta petite salope adultère en Bikini. Et j’aime t’entendre répondre que « mouai, pas mal, faut voir comment elle se débrouille… »

-« Ça dépend aussi de toi…Tu va pouvoir tout lui faire à ta petite salope en Bikini. Reste à savoir dans quel ordre… » Je prends ta main pour la porter à mes lèvres et j’entreprends de sucer ton pouce avec lenteur. Je prends mon temps en ondulant toujours très lentement. Les yeux grands ouverts plantés dans les tiens. Arrogante et soumise en même temps. Tu me pousses lentement vers le canapé. Je me laisse adosser à l’accoudoir mais je reste debout. Ta pute en Bikini n’a pas envie de passer tout de suite à l’horizontale.

-« Tu as vu mon mari tout à l’heure ? »

-« Oui mais je n’avais d’yeux que pour toi. Il ne sait pas la chance qu’il a… »

-« Ouai ! Bien d’accord avec toi. J’ai promis que je le sucera ce soir s’il me laissait seule sur la plage et ramenait la petite à la maison…Ça t’exige si je te dis que je le sucerai en pensant à toi ? »

-« Hum, si tu ne pense pas trop à lui quand tu es avec moi alors oui, tu peux le sucer ce soir et penser à moi… »

-« T’inquiète ! Je suis 100% à toi corps et âme jusqu’à 19h… Après mon corps sera loin mais tu resteras dans ma tête quoiqu’il arrive avec mon mari…J’espère que tu es moins précoce que lui au fait ! »

-« À toi de me dire… »

Ta main libre est passée sous le tissus d’une Bikini jaune. Tu caresses mes fesses, je me laisse faire en suçant toujours ton pouce. Je serre plus fort mes lèvres autour de ton pouce pour te faire comprendre que tu peux y aller un peu plus fort sous le bikini. Message reçu 5/5, tu presses ma fesse à pleine main. C’est trop bon. Je me colle encore plus contre toi, je passe les mains dans mon dos pour délacer mon haut de bikini et libérer mes seins qui ne demandent qu’à ce que tu t’occupes un peu d’eux aussi.
En cinq à sept j’aime prendre mon temps plus que quand j’ai toute la nuit. Lorsque j’ai toute la nuit je sais qu’il y aura plusieurs rounds. Alors un bonne baise rapide ou violente pour commencer  peut m’aller parfaitement puisque je sais qu’on aura le temps de reprendre notre souffle et d’essayer autre chose plusieurs fois dans la nuit. Si j’ai toute la nuit je peux par exemple commencer par un bonne fellation de salope sans peur d’avale. Un peu de repos, éventuellement une petite pilule et c’est reparti pour un tour…

Mais quand il n’y a que deux petites heures et une seule cartouche alors il faut faire durer, y aller tout en douceur et progressivement.
Te laisser lécher mes seins, serrer un peu les jambes quand tu passes la main dans mon bikini pour glisser un premier doigt dans ma chatte. Me laisser entraîner enfin sur le canapé, m’y positionner à quatre pattes comme une chienne docile pour que tu embrasses et caresses partout. Sucer prudemment juste pour t’exiger plus encore et te montrer que je suis une bonne petite salope adultère. Jouer avec tes nerfs et t’emmener sur le lit pour d’y pousser sur le dos. M’enduire de crème solaire pour venir me tortiller contre toi sensuellement longtemps mon sexe contre ta queue sans me laisser pénétrer tout de suite. Sucer encore un peu, jouir de ta langue dans mon petit sexe bien étroit. T’obliger à faire un pause sans avoir joui. T’inquiètes pas, tu vas bientôt me baiser. J’enfile délicatement ton préservatif et J’écarte enfin mon bikini pour laisser ta queue entre en moi. Je veux être sur toi, mes gros seins dans ta bouche l’un après l’autre, suçes à me faire un peu mal. Je m’en fiche, je jouis et je couine en ondulant mon ventre, ta queue bien raide dans ma chatte étroite et moite. Tu sais te contrôler, écarter mes fesses et passer me mettre un doigt dans l’anus. Au putain, c’est bon, c’est bon, c’est troooop bon. Je jouis en continu. Tu cris quand tu viens enfin. Je m’effondre sur toi.

-« Merci…c’était trop génial. J’ai adoré faire ma salope en bikini avec toi…Dommage que je parte demain. Promis je penserai à nous en suçant mon mari ce soir… »

Déjà 19h, pas le temps hélas pour un second round. Mais tu m’as bien baisée et je peux rentrer chez moi le cœur léger, rassasiée pour quelques temps. Ce soir j’honorerai ma promesse et ferait une petite fellation à mon époux en repensant à toi. Merci encore.

Pour m’écrire il suffit de laisser un commentaire. Mais vous pouvez aussi passer par cette page si l’humeur vous en dit

Escort girl d’anniversaire

J’ai, pour l’occasion, des bas de soie crème et une robe à froufrou style renaissance. Mes gros seins pigeonnent juste comme il faut et mes lèvres sont d’un rose très pâle, presque blanc. Pour une fois mon amant n’est ni un plan cul trouvé sur internet ni une rencontre de hasard draguée à la terrasse d’un café. Non, cette fois je suis le cadeau que mon amie Marie offre à son petit frère, Pascal. Un bel homme marié mais sexuellement déçu. Alors chaque année, Marie, ma délicieuse amie Marié qui ne cessera de me surprendre, lui offre une nuit avec une escort girl. Le plan est simple. Pour l’anniversaire de Pascal Marie a pris pour moi une chambre dans le plus bel hôtel de la ville et je dois y attendre son frangin. Il est au courant puisque c’est entre eux une tradition. Depuis quelques années, une semaine avant son vrai anniversaire, qu’il passe avec son épouse légitime, Marie lui offre une jolie petite pute de luxe dans une belle chambre d’hôtel. Cette année l’escorte girl de luxe c’est moi et je suis gratuite ! Mais cela, Pascal ne le sait pas encore.
Marie a garni le petit frigo de la grande chambre d’hôtel de toasts de foie gras et de fleur de sel. Un magnum de Jacquesson 742 est tenu au frais dans une grande glacière sur pieds en inox. Je lui suis reconnaissante de m’avoir épargné le Ruinart blanc de blancs que je tiens pour une arnaque marketing. Après je ne suis pas là pour une séance d’œnologie…Mais bon, quite à se faire plaisir autant que tout soit parfait. Il y a aussi une vieille cravache en cuir patinée m’effraie un peu. Bien sûr je pourrais la cacher en attendant mon galant. Mais j’ai promis à Marie d’être à la hauteur de l’amour qu’elle porte à son frérot. Alors si elle a prévu une cravache ce n’est pas à moi d’en décider autrement.

On frappe à la porte avec cinquante bonnes minutes sur l’horaire prévu. Mince ! Bien que tout semble prêt et parfait je n’ai pas trop pris le temps, moi, d’être prête dans ma tête. Tempi, il faut improviser.
J’ouvre et je peux enfin mettre un visage sur le nom du frangin de mon amie. C’est Marie en mec ! Même bouche charnue et cheveux bruns bouclés. Je suis instantanément sous le charme ! Vite se mettre en mode salope. Souffler le chaud et le froid l’exciter et faire monter doucement.
D’abord le froid donc : « heu, c’est toi Pascal ? Parce que tu es très en avance… » Je m’applique à prendre une pause raide et pas du tout sexy. Je lui offre mon regard le plus dédaigneux possible. S’offrir trop vite et sans résistance peut vite s’avérer décevant. J’aime mieux qu’il croie que je peux changer d’avis, que ce n’est pas du tout cuit. S’il est inquiet il me le fera payer quand je céderai et je pense que ça me plaira.

-« Ah, pardon, je peux revenir dans une heure si vous préférez… »

J’adore sa mine penaude, il a tellement de traits communs avec sa sœur. Je prends exprès mon temps pour répondre, juste pour le plaisir légèrement sadique de le faire attendre.

Maintenant soufflons le chaud :  « Mais non…ça va gros nigaud! Joyeux anniversaire… »

Et je m’accroche à son cou pour l’embrasser langoureusement sur la bouche. Un vrai baiser d’adolescente, mouillé et tout en langue. Je fais durer, il n’ose pas encore trop me peloter et je garde sagement mes bras autour de son cou. J’embrasse en fermant les yeux, comme une jeunette. Je sais que si j’ouvre les yeux il verra tout de suite que je suis une grosse salope. Et je veux qu’il découvre petit à petit ce dont je suis capable. Ne pas tout dévoiler trop tôt…

« Ça va ? Il te plaît ton cadeau d’anniversaire ? »

Je m’écarte de lui pour qu’il puisse m’admirer et je fais une petite pirouette sur moi même. Juste assez vite pour que ma robe à froufrous se lève un peu et laisse deviner mes bas de soie crème. C’est puéril, je sais. Mais nous avons toute la nuit et je peux bien me permettre quelques fantaisies. Ce n’est pas parce que je suis le cadeau que je n’ai pas le droit de m’amuser !

-« Disons que pour l’instant je trouve mon cadeau d’anniversaire très appétissant…mais faut voir à l’usage… »

Il m’a attrapée par le poignet et m’attire à lui. Son bras autour de mes hanches me tient prisonnière. J’hésite à résister. La résistance c’est un peu quite ou double. Si le mec comprend que je résiste juste pour jouer alors il peut insister et me violer ce qui est le pied assuré. Mais si je tombe sur un peureux ou un gentleman alors il peut juste ne pas oser et du coup ça casse l’ambiance. J’ai trop envie de baiser et surtout je ne veux pas risquer de tout faire foirer. Alors j’opte pour le mode grosse salope en chaleur. Je me colle à lui et passe la main sous sa chemise : « c’est ton anniversaire mais j’ai trop envie de souffler la bougie… » Je descend tout doucement pour me mettre à genoux en déboutonnant son pantalon que je baisse en même temps que son caleçon en coton blanc. J’embrasse son ventre. Sa queue est raide et bien dure. Je commence par les couilles que je tête doucement en le regardant bien dans les yeux par en dessous. Je pourrais facilement le sucer dès maintenant et le faire éjaculer abondamment en quelques secondes si je voulais. Mais j’ai trop envie de faire durer, de lui laisser un peu prendre les commandes. Alors je continue à jouer avec ses couilles, à embrasser l’intérieur de ses cuisses en le regardant effrontément tout en évitant de toucher son membre viril. Comprenant enfin que je ne vais pas le sucer tout de suite, que je ne fais que m’amuser avec lui, il me prend par les cheveux et me relève.
-« Dis donc, tu m’a l’air d’un sacré numéro toi alors… J’ai l’impression que tu n’en fais qu’à ta tête hein ? »

-« Oh?! Non ! Pardon, je t’assure que je suis toute à toi. J’obéis à l’œil et au doigt… »

J’ajoute en regardant sa queue ostensiblement : « Tu peux me mener à la baguette jusqu’au petit déjeuner demain matin. »

-« Si tu commençais par m’en montrer un peu plus sur mon cadeau hein ? La robe à jupons c’est bien joli mais j’aimerai voir ce qui est dessous… »

Je m’approche du canapé et me penche en avant pour relever mon jupon. Je suis en talons assez hauts et bas de soie couleur crème. Porte jarretelles assorti et culotte en soie.

-« J’aime beaucoup les fesses de mon cadeau d’anniversaire…Je peux toucher ? »

La question est de pure forme et il n’attends pas la réponse pour caresser mon cul à travers la culotte de soie. Je ne peux m’empêcher de me cambrer légèrement pour l’encourager. J’adore qu’on me caresse les fesses. Mais bien sûr après quelques caresses il fait descendre ma culotte jusqu’à mes chevilles et remonte lentement le long de mes jambes avec la cravache qu’il dont la présence ne lui avait pas échappé. Je frissonne mais reste penchée en avant. Il caresse l’intérieur de mes cuisses du petit bout plat en cuir de la cravache. Le premier coup sur ma fesse droite et sec et juste assez fort pour que je sache que je risque d’être vite bien rouge et sensible du postérieur. Il enchaîne sans se presser les coups secs et précis. Jamais exactement au même endroit. Me surprenant toujours tant par le moment où arrive le coup que par l’endroit exact entre le haut de mes cuisses et le bas des reins.

Le salaud prend son temps. Après une bonne vingtaine de coups sans un mot avec pour seul bruit le claquement de la cravache sur ma chair qui doit déjà être bien rouge je commence à gémir à chaque nouvelle claque. Il pose la cravache sur le lit à côté de mon visage et entreprend de délacer le dos de ma robe.
-« Bien, on va continuer à déballer mon cadeau alors…J’espère que la cravache t’aura fait passer l’envie de jouer l’effrontée… »

Il me débarrasse de ma robe et je n’ai plus que mes bas et mon soutient gorge. Mes fesses me brûlent et je fais l’erreur d’essayer de me retourner.

-« Attends, j’en ai pas tout à fait fini avec ton cul ! »

Il me pousse brutalement sur le lit et me fesse cette fois directement du plat de la main. Une dizaine de claques bruyantes qui m’obligent à mordre la couette pour ne pas crier. J’ai mal et les fesses et le haut des cuisses en feu. Mais les amatrice de fessée comme moi savent qu’ensuite c’est mille fois meilleur de se faire baisser et que la douleur en vaut la peine. D’ailleurs, rien que son souffle frais me semble délicieux.

-« tu es un bon petit cadeau d’anniversaire ! Il te faut un peu de frai je pense. Tiens, assieds-toi là dessus, tu verras ça ira mieux »

Il prend le magnum de champagne et me retourne pour que je lui fasse face. Il glisse la bouteille glacée entre mes cuisses sous mes fesses et place sa queue devant mon visage. Plus trop envie de jouer avec ses nerfs en lui léchant juste les couilles. Là il faut que je suce. Et c’est tant mieux parce que j’ai envie de sucer sa queue et de laisser un peu le temps au frais de la bouteille de soulager mon cul meurtri. Surtout que je sais qu’avec ce que j’ai pris quand il me baisera plus tard je vais être très sensible…Je ne vous raconte pas tout mais vous devez savoir qu’après cette nuit Il n’a pas été question qu’un autre homme me touche pendant plusieurs semaines…Baiser moins souvent mais mieux, c’est ça le secret de mon épanouissement sexuel !

Si vous avez aimé cette petite escapade d’anniversaire laissez moi un commentaire.

Mon site pour septembre : cinqasept

Chalenge de juillet pour petite chienne en chaleur

Salut à celles et ceux qui me lisent en ce mois de juillet qui me semble interminable. J’ai, pour vous l’idée d’un petit jeu. Je vous propose un plan à trois rien que vous, moi et la fille de votre choix sur purelive. Le principe est très simple : vous vous inscrivez (c’est gratuit et ça me fait des point fidélité si vous le faites via mon blog) sur pure live. Vous choisissez le modèle avec qui vous voudriez faire un plan à trois avec moi. Vous m’envoyez en commentaire le pseudo du modèle, vous vous décrivez un peu physiquement et psychiquement. Et moi je m’occupe du reste ! Bon, vous faites pas d’illusions, le plan à trois ne sera que virtuel avec un texte de mon cru à partir de vos éléments ! Mais avouez, c’est déjà pas mal. J’attends vos suggestions donc. Tendre bisou à l’intérieur des cuisses en attendant !

Si les filles de purelive ne vous suffisent pas vous pouvez aussi vous inscrire sur copine de sexe. Même procédure. Sauf qu’en plus, y étant moi même, je les contacte sur le site pour tenter d’organiser un truc pour la rentrée. Pareil, probabilité de succès quasi nulle, je préfère prévenir…Mais sait-on jamais…

Je promets de faire de mon mieux pour répondre à tout le monde d’ici la fin de l’été…Ça marche ?

Jolie maman adultère baisée par son amant

Soir d’été, village côtier en Pays Basque. Avant goût de vacances en famille, résidence secondaire familiale. Plan cul trouvé sur mon site de rencontre préféré du moment. Désir qu’il me voit d’abord en épouse modèle avec mari et enfant. Lui indiquer la pizzeria où nous devons dîner en terrasse avant d’aller faire un tour dans la chaleur de fin juin. Le voir s’installer seul à deux tables de distance, mesures COVID obligent. Savoir qu’il va peut être bientôt me baiser si j’arrive à échapper à monsieur mon mari cette nuit. Robe légère et un joli corsage. Lancer de discrètes œillades Et faire semblant de m’intéresser à la conversation avec mari, belle sœur et beau frère aussi là.

Croiser, décroiser mes jambes. Toucher mes cheveux, mordre ma lèvre. Mes seins qui pointent sous mon corsage. Mon beauf qui me dévore du regard. Ma belle sœur qui me foudroie…Mon mari gêné mais fier que je sois belle à ses côtés. Les enfants, pour une fois sages au restaurant ! Bonheur simple des premières sorties post déconfinement. Retour des jours heureux comme dit notre président. Rencontre coquine et fellation aux toilettes compromise, trop risqué, configuration mal adaptée, fichus geste barrière et distanciation sociale ! Aller quand même aux toilettes pour quelques sextos et photos suggestives. Donner le nom de l’impasse faiblement éclairée où je peux le rejoindre quand nous aurons quitté la pizzéria. Impatience, dîner interminable, lever les yeux au ciel, gonfler les joues. Sucer furtivement mon majeur en le fixant dans les yeux au moment où tous regardent mon neveu qui fait le pitre. Refuser un dessert en espérant être suivie dans cet tentative d’écourter le dîner. Désert pour tous donc, sauf moi. Attente prolongée. Main de mon mari sur ma cuisse. Éviter de me raidir, le laisser faire en pensant à un autre. Un autre qui est à moins de cinq mètres…Improviser, saisir l’occasion d’écourter le dîner en glissant à l’oreille de mon mari que j’ai envie qu’on rentre vite se mettre au lit. Presser sa main sur ma cuisse pour me faire mieux comprendre. Sourire de la voir se lever pour aller payer directement au comptoir. Me délecter de son frère vert de jalousie qui enrage. Trouver ma belle sœur laide et grosse. Oublier mes lunettes de soleil dans leur étuis sous ma serviette au moment de partir. Ne m’en apercevoir qu’à mi chemin entre la maison et la pizzeria. Dire que je fais demi tour à pied et les rejoins à la maison. Refuser que mon mari m’accompagne, prétexter que s’il couche notre fille en arrivant  on peut se mettre au lit pas trop tard. Courir  , récupérer mes lunettes et filer vers la ruelle sombre où m’attend sagement mon plan cul. Premiers baisers sur la bouche, le moins de mots possible, juste l’essentiel, dire mon envie de faire ma chienne pour lui, l’inviter à toucher dans ma culotte pour constater comme je mouille. Douce jouissance d’un doigt qui glisse dans ma chatte. Prolonger le baiser pour le laisser trouver mon bouton sensible. Défaire son pantalon et m’agenouiller sur le trottoir pour sucer comme une vraie pute de rue. Penser que j’aurai les genoux rouge et qu’il faudra inventer une histoire de chute pour mon mari. Sucer jusqu’à ce qu’il jouisse et avaler son sperme tiède. Promettre de rejoindre mon nouvel amant dans deux petites heures à son appartement. Réajuster ma robe, recoiffer mes cheveux et rentrer à la maison le cœur battant. Casser un de mes talons juste avant d’entrer pour donner corps à mon histoire de chute dans la rue. Dire à mon mari que j’ai couru, jouir encore de la mine sombre de mon beau frère quand j’annonce que j’ai envie de me coucher tôt avec mon époux légitime. Dire bonsoir à ma belle sœur en ajoutant, théâtrale : « Bonne nuit très chers, je me dois de vous laisser, le devoir conjugal m’appelle… »

ouvrir en grand la fenêtre de notre chambre au prétexte de la chaleur jouer la femme lascive et déshabiller mon mari. Le laisser me caresser et penser qu’il est un autre. Me rassurer de savoir qu’il jouira vite. Le laisser venir sur moi, boucher les hanches en rythme et accélérer les choses avec un doigt dans son anus. Faire semblant de jouir en même temps que lui. Lui proposer un Rohypnol s’il veut profiter de sa nuit et assurer que je me lèverai si notre fille appelle. Augmenter un peu sa dose pour être sûre…Attendre qu’il ronfle, me rabiller et enjamber la fenêtre de notre chambre en rée de jardin pour filer vers mon rendez-vous nocturne pour enfin retrouver celui qui me fera jouir et défoncera sans retenue mon petit cul de jolie maman salope et adultère. Je rentrerai bien avant l’aube, fourbue, les fesses rouges avec quelques suçons à dissimuler. Mais heureuse et rassasiée pour un temps.

 

Post scrotum:

J’adore vos commentaires. J’y réponds presque toujours. Surtout quand vous écrivez ce que vous aimeriez me faire dans l’intimité…Ne soyez pas timides !

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Baisée au téléphone

-« Téléphone à ton mari ! »

-« heu…là comme ça maintenant? »

-« oui, tu t’allonges sur le ventre là, sur le lit, et tu appelles ton mari. Tu le gardes au téléphone pendant que je m’occupe de ton petit cul de femme adultère ! J’adore ton petit cul. »

-« Ah ? Ok, pourquoi pas… »

Je m’installe sur le lit, compose le 06 de mon mari. Je plie les jambes pour montrer mes mollets. Collant noirs et talons hauts 👠 . Troisième sonnerie. Mon mari décroche : « Oui Chérie ? »

Il m’appelle Chérie par habitude. Dans sa voix un pointe de lassitude, d’ennuis que je l’appelle. Trouver un truc à dire, improviser.

-« Allo, je suis enfin à l’hôtel ! Ça va à la maison ? »

Bon je sais, pas terrible comme improvisation. Mais il faut dire que les caresses sur mes cuisses ça n’aide pas vraiment à se concentrer.

-« Oui, ça va, j’ai couché Anaïs et promené le chien. Tu leur manques…À moi aussi tu me manques. »

C’est rare que mon mari dise que je lui manque. Depuis que je le trompe cela a rééquilibré notre relation. Il n’est pas vraiment fidèle. Mais je ne penses pas qu’il  se doute que je suis infidèle. Et je prends bien soin de le laisser me baiser presque tous les week-ends en faisant semblant de jouir pour le rassurer. Là, au téléphone son : « tu me manques » me fait me sentir vaguement coupable. La main de mon amant remonte entre mes cuisses. Je les serre et me tortille un peu pour me dégager. Je me demande si je ne vais pas trop loin. Mais il presse la paume de sa main sur mon dos et m’embrasse délicatement dans le cou. Le cou c’est mon point faible. Ça l’a toujours été même adolescente avant mes premières relations sexuelles. Si un mec veut me faire fondre il lui suffit d’embrasser mon cou !

-« oui…toi aussi tu me manques. Ça a été son contrôle à l’école à Anaïs ? »

C’est bête mais parler de notre fille me déculpabilise de tromper mon mari. Cela peut paraître paradoxal mais c’est comme ça.
J’ai imperceptiblement écarté les jambes et sa main remonte à nouveau le long de l’intérieur de mes cuisses. Mon collant très fin exacerbe les sensations. Le nylon fait comme de l’électricité statique. Je me cambre un peu. Son doigt juste sur ma chatte.

-« Oui, super, que des pastilles vertes ! Et toi, ta journée ? »

-« Ennuyeuse à mourir. Mais maintenant je suis dans ma chambre, je….je me…détends »

Pendant que je tente d’avoir une conversation naturelle mon amant caresse ma chatte à travers le nylon. Je ne mets jamais de culotte sous les collants quand j’ai un plan cul. Je commence à avoir très chaud et des papillons dans le ventre. Je tente faiblement de repousser sa main mais il coince son genoux entre mes cuisses pour m’empêcher de me refermer.

-« hummm…nnnn….stopppp » je chuchote la main sur le micro de l’iPhone.

-« Allo ? Tu dis quoi ? Je t’entend pas… »

-« ah oui, pardon, j’ai la fermeture de la valise qui est coincé. »

-« ah, tu veux qu’on se rappelle plus tard ma chérie ? »

Mon amant me fait signe que non. Il pince ma fesse assez fort pour m’indiquer que si je ne fais pas comme il veut ça peut barder pour moi. Je décide d’obéir, je ne me sens plus du tout coupable, la situation m’excite.

-« Non non, t’inquiètes, c’est bon… d’entendre ta voix… »

Il a mis son genou juste contre ma chatte qui commence a bien mouiller. Je me frotte à lui. Je dois être trempée. Le nylon fait un bruit caractéristique quand il le déchire au niveau de mes fesses.

De l’autre côté du téléphone : « ??  Allô ? Ça va ? T’as déchiré quelque chose… »

« Oui…heu j’ai accroché mes collants sur le coin de la chaise… »

-« hummm, tu dois être jolie à voir ! Face Time ? »

-« heu…non, j’ai pas de 4G, je suis en hedge… »

-« Ah. Au fait demain je vais à casto, on dit toujours bleu pour le mur du couloir ? »

Nouveau bruit de nylon déchiré. J’ai les fesses bien à l’air. Il passes trois doigts entre mes cuisses sur ma chatte trempée et il commence à caresser juste comme j’aime. Dans la longueur, un doigt qui rentre et sort. Je mords mes lèvres.

-« hein? Heu ? Oui…bleu…si tu…veux.. »

-« Allo, tu es sûre que ça va ? »

-« Oui ! Oui ! Très bien…je vais très très bien… »

-« Non parce que j’ai encore entendu un bruit de tissus déchiré. »

-« oui, foutu pour foutu je l’ai arraché…tu disais quoi…déjà ? »

Deux mains passent sous mon ventre pour me soulever. Je suis à genoux. En position levrette. Un gémissement m’échappe quand il me pénètre.

-« Cherie ? »

-« hummm, nooon, je …me …suis …heu…cognée l’orteil…huummm, ça …fait…hyper mal….sa mère…. »

Il m’embrasse le cou à pleine bouche en me ramonant en levrette. J’en peux plus, ça devient impossible de rester naturelle au téléphone.

-« han…mon chéri…on se rappelle demain ok…la j’ai trop…mal »

FIN

me rencontrer…ici

 

 

 

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Escape game sexy partie fine 1

Une idée du bargeot d’ami de Marie, André. Un pervers raffiné complètement déjanté mais assez créatif. Une grande maison isolée non loin d’une ville appelée Issoire. Un petit parc arboré entouré d’une enceinte de pierres. La maison, un corps de ferme le long de la départementale. Je mentirais si je vous décrivais le crissement des graviers blancs sous les roues de ma Fiat500c. Après le portail on  suit plutôt un vague chemin terreux qui longe le mur d’enceinte pour se garer sous l’ancienne écurie reconvertie en abris à voitures. C’est Marie qui m’a proposé de participer à cet escape game sexy.
« Nous serons quatre filles, je ne connais pas les deux autres. Je ne sais pas combien de mecs. Mais c’est ce vieux pervers d’André qui organise. Alors je pense qu’il n’aura pas prévu beaucoup de concurrence… »

André, c’est vraiment pas mon type. Sexagénaire, cheveux blancs, mou du ventre. Mais Marie, elle, je l’aime d’amour et avec elle je n’ai jamais été déçue. Alors je me suis libérée ce mercredi soir d’après confinement.

-« Il y a un dress code ? »

-« Non, pas que je sache. Il faut juste se présenter chez André à 20h précises mercredi à jeun depuis au moins midi et sans smartphone ni montre. Il a précisé que c’était important de jouer le jeu.»

-« Ah ? Bon, ok, ça me fait une occasion de perdre un peu de poids. Avec le confinement je me suis un peu laissée aller… »

-« Alors tu viens ? »

-« Et comment que je viens. Hors de question de te laisser seule avec deux autres filles. Je te rappelle que c’est moi ta partouze partenaire officielle ! »

-« Je t’aime ! »

-« moi aussi je t’aime… »

-« Oui mais moi je t’aime vraiment ! »

-« C’est celle qui dit qui y est… »

-« Pfffft, ça veut rien dire »

-« Allez à mercredi. »

-« On y va ensemble ? »

-« Bin oui, il a dit de venir, il a pas dit chacune séparément. »

A vingt heures piles donc nous sortons de ma voiture et nous dirigeons vers la porte d’entrée éclairée du logis d’André. Je pourrais écrire un manoir pour plus d’effet dramatique mais c’est juste une grosse ferme mal crépie toute en longueur. Marie a un blouson de cuir et un jean moulant qui lui fait un beau petit cul. Je suis en bottes de cuir et robe en laine. Dessous c’est sexy mode call girl en porte jarretelles. J’imagine bien que je n’ai pas été conviée pour jouer au Scrabble.

La porte est entrouverte, nous la poussons et entrons dans directement par la cuisine. Sur une table en Formica quatre foulards de couleurs différentes avec des étiquettes en papier cartonné façon plan de table de mariage. En face de l’étiquette Lucie le foulard est orange. Celui de Marie rouge. Il y a un jaune et un  rose. Sous mon foulard une enveloppe que je décachète.

« A partir de maintenant ton nom est Abricot. Ton amie Marie est Fraise, vous serez bientôt rejointes par banane et litchi. Mets ton bandeau sur les yeux et attends sagement. »

J’interroge mon amie du regard. Sa lettre doit être de la même teneur. Elle hausse les épaules et s’attache le bandeau sur les yeux. Je l’imite. Le tissus n’est pas très épais  et laisse filtrer la lumière. L’attente n’est pas longue je suis surprise par deux main sur mes épaules. On me fait tourner plusieurs fois sur moi même puis je sens le contact métallique de menottes sur mes poignets. Je suis guidée chancelante. On me fait rentrer dans une pièce  et l’on m’assoit sur ce que je devine être un lit. puis la porte claque en se refermant. Je n’ose pas enlever mon bandeau tout de suite. Mais je devine qu’il fait sombre et j’entends bouger pas loin de moi. Alors j’enlève mon bandeau. On n’y vois rien. Noir complet.

Je chuchote -« Marie ? »

-« Oui, je suis là. » tu peux te guider au son de ma voix ?

cliquetis. Je me rends compte qu’une chaîne est accrochée à mes menottes et aux barreaux du lit sur lequel on m’a assise.

« Marie ? Toi aussi tu es attachée ? »

-« Oui… »

-« Silence ! » la voix est forte mais nasillarde. Je devine qu’elle vient d’un haut parleur. La porte s’ouvre et un homme mince que je ne connais pas amène une fille blonde avec un bandeau jaune sur les yeux. Il la pousse à côté de moi sur le lit et joint ses menottes aux miennes avec un cadenas à code. L’homme qui le suit avec la quatrième fille, une petite brune asiatique en talons aiguilles, je le connais. C’est André. Il ne m’adresse même pas un regard et il attache litchi à Marie comme l’autre l’a fait avec Banane.

L’autre homme sort de la pièce et André nous sert son petit discourt de bienvenue : « Mesdemoiselles, bienvenues à l’académie salade de fruits. Les fruits c’est vous. J’ai le plaisir de vous annoncer que vous avez été choisies par le roi Rama X de Thaïlande pour intégrer son Harem personnel. Vous êtes ici pour apprendre les règles du Harem et comment vous comporter en présence de son Altesse. Pour l’instant, installez vous et faites connaissance. On vous dira bientôt quoi faire. »

-« Heu, André, c’était pas sensé être un escape game ? »

-« Mais bien sûr…Abricot…à vous de trouver comment vous échapper…En attendant vous êtes à l’académie en formation pour intégrer le Harem… »

Puis il nous laisse sans oublier d’éteindre la lumière. Il fait à nouveau noir.

-« Bin ok, super, merci Marie, génial ton plan ! »

-« Oh, ça va, c’est pas méchant. Avoue que c’est original. Vis le comme une aventure de plus…et appelle moi Fraise, ça te mettra plus dans l’ambiance. »

-« bon, ok. Et elles en pensent quoi Banane et Litchi ? »

-« Banane elle pense que si on avait de la lumière ça irait déjà mieux. »

-« Pareil ! » dit Litchi depuis le lit de Marie.

A suivre…

mes prochaines dates…

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Lettre à mon prochain amant

Mon chéri,

Permets tu que je t’appelle ainsi ? Je ne sais pas encore qui tu es. Nous nous retrouverons à Gap dans deux longues semaines. D’ici là je pratiquerai l’abstinence sexuelle pour être bien en manque quand nous nous retrouverons. Sauras-tu faire de même ? Zéro branlette pendant au moins trois jours ? Saches, mon chéri que j’aime commencer par sucer et avaler quand tu t’es retenu plusieurs jours. Ma façon à moi de te montrer que j’accepte tout de toi.

Ensuite nous aurons le temps de mieux faire connaissance puisque je serai trois jours et deux nuits à Gap. Toute à toi sauf entre 10h et 16h car oui, j’ai un vrai métier !

Mon chéri, viendras tu courir avec moi avant que nous fassions l’amour ? Je suis certaine que mon legging te plaira. M’offriras tu des fleurs le deuxième soir ? Me sortiras tu en ville, les bars auront-ils réouvert ? J’imagine mes genoux à tes oreilles et tes assaults d’abord doux puis violents au fil des heures. Sauras tu me masser comme il faut ? Là où il faut ? Mon chéri je croise les doigts pour qu’il te vienne des fantasmes auxquels je n’ai jamais pensé. Mon chéri, si tu sais me dresser je serai ta soumise, ton jouet sexuel le temps d’une parenthèse enchantée avant de retourner au triste lit conjugal de ma vie bourgeoise. Mon chéri, si tu es à Gap et libre la première semaine de juin écris moi…Je t’aime.

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Comment bander plus longtemps

Sinon pour le rencontrer c’est par là…ici
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Comment bander plus longtemps avec une fille sexy ?

Oui, je suis une chaudasse ! Oui j’aime un bon plan cul hors mariage de temps en temps. Et même quand je ne suis pas en mode salope adultère, genre au bureau où il faut sauver les apparences, j’aime deviner que je fais bander les hommes. Mais  parfois je tombe sur un éjaculateur précoce, un bande mou ou simplement un amant moyen et sans imagination. Alors bien sûr, ces plans foireux ne sont pas racontés sur mon blog. Mais ce soir j’ai décidé d’essayer de rendre service à tous et à toutes en livrant quelques astuces qui fonctionnent pour bander mieux et plus longtemps.

Parfois une fille trop sexy peut te faire perdre tes moyens. Et tu bandes mou. Ou elle te fait bander mais tellement fort que  tu ne tiens pas longtemps. Il peut même arriver que tu renonces juste par peur de décevoir à cause de tes troubles érectiles.

Bon, je sais qu’il y a plus glamour comme sujet. Mais pas d’inquiétude, ta grande salope préférée va faire de son mieux pour t’apprendre des choses utiles tout en te faisant  bien bander à la lecture de mon article « conseils pour bander plus longtemps ».

Que se passe-t-il quand tu bandes ?

Bien bander longtemps certains y arrivent naturellement. Mais pour d’autres c’est plus compliqué. Et moi j’aime sentir contre mon petit cul tout doux ta queue bien raide. Et comme je suis du genre à aimer les rencontres de hasard sur internet, forcément je ne tombe pas toujours sur des étalons endurants. Alors plus les bons conseils seront diffusés moins j’aurai de chance de mal tomber. Petite mise au point physiologique. L’erection, tu le sais sans doute, c’est l’arrivée de sang sous pression dans le corps caverneux. Le corps caverneux en gros c’est la chair du sexe masculin. Bon, zut, là j’ai l’impression d’être sexy comme un proctologue. Reprenons. J’imagine ta queue qui se gonfle de sang. Elle fait une bosse à ton pantalon et je ne peux m’empêcher de venir contre toi pour tâter. Je te glisse à l’orseille que j’ai envie te faire bander pour te sucer. C’est déjà mieux non ? Ce que tu ne sais peut être pas c’est que ce sang, pour arriver à ton sexe turgescent, doit être libéré. Et pour cela c’est un petit muscle qui doit se détendre. Donc, tout le monde parle de contrôle, pense contrôle alors que la vraie clef c’est la détente. Détends toi, laisses moi faire. Je vais te sucer et tu vas me baiser par tous les trous. Je vais aimer ça et j’en redemanderai. Dans ma chatte mouillée ça rentre tout seul mais je la contracte ensuite et sait la faire se passer pour celle étroite d’une pucelle. Et si tu bandes assez dur et longtemps  c’est dans mon petit cul que tu pourras jouir. Alors on arrête de se lamenter sur sa demi mole ou son ejaculation précoce et on suit les conseils de sa petite salope en chaleur. Don’t worry baby, ça va très bien se passer…

Pour bien bander, oublier ses troubles érectiles

Règle numéro 1 donc pour bien bander : se détendre. Avec une bombe atomique allumeuse c’est vrai que c’est plus facile qu’avec bobonne. Mais même avec bobonne il suffit de se laisser aller. Tu laisses courir, tu oublies les problèmes d’erection et tu profite du moment. De toutes façons, je vais te révéler un secret : une fois que tu bandes c’est déjà trop tard, la machine est à peu près réglée et le mieux que tu puisses faire pour faire durer s’est justement de ne pas faire durer, de lâcher prise. Nous le verrons plus loin mais pour mieux bander et pour bander plus longtemps c’est en amont qu’il faut agir. Donc avec mon petit cul ou avec ta salope de tinder tu profites juste de l’instant, quelqu’en soit la durée…

Comment savoir si mes problèmes d’érection sont physiologiques ou Psychologiques ?

En vous répondant : «Les problèmes d’érection, c’est dans la tête » je sais que j’ai 9 chances sur dix d’être dans le vrai ! Mais cela n’aide pas vraiment.

Alors je vais vous livrer un petit secret tout simple. Je vais vous donner une méthode infaillible pour savoir à coup sûr si vos problèmes d’érection sont physiologiques ou psychologique. C’est très simple. Si vous bandez souvent fort le matin, juste avant le réveil. Alors vous n’avez pas de problème physiologique. Si cela ne vous arrive presque jamais ou jamais. Alors il faut consulter. Ce n’est pas que dans la tête. Voilà c’est aussi simple que cela. Le reste c’est du blabla. Donc si vous bandez sur le matin alors vous n’avez pas de problème d’erection. Détendez vous et profitez du temps que nous passons ensemble. Votre queue dure toute a moi pour 30 secondes ou 3 heures. Qu’importe, quand on aime on ne compte pas.

S’entraîner à bander plus longtemps

Si vous ne bandez pas le matin alors inutile de lire cet article. Je ne vais pas vous mentir. Il faut consulter un vrai médecin ou un sexologue. Un point c’est tout.

Mais sinon, si vous avez souvent seul un belle erection mais que vous perdez vos moyens ou ne tenez pas assez longtemps alors j’ai quelques trucs et astuces pour vous aider à mieux bander plus longtemps.

La baise c’est comme beaucoup de choses. Une question d’entraînement. L’endurance cela s’acquiert. On ne devient pas marathonien du sexe du jour au lendemain. Mais on peut tous et toutes y parvenir. J’écris toutes aussi car c’est un jeu qui se joue à deux (ou à trois ou plus d’ailleurs…). Pour bander plus longtemps une partenaire qui sait te faire bander plus longtemps cela est un vrai plus ! Mais nous parlions d’entraînement. Se masturber, mater des vidéos porno, ou mieux faire de la sexcam avec une fille en direct constitue un excellent entraînement pour apprendre à bander plus longtemps. Bien sûr l’idéal c’est de s’entraîner en vrai, avec un bonne copine de sexe qui comprendra. Mais forcément tout le monde n’a pas cela sous la main, j’en suis consciente. Le moins bien c’est les vidéos porno.  Cela ne marche pas car il n’y a pas de vraie interaction. Donc vous ne progressez pas vraiment et votre chrono n’évolue pas. En plus c’est vite répétitif et déprimant. Un bon compromis c’est la sexcam en ligne. Soit en gratuit avec un coquine trouvée sur un site de rencontre et qui n’est pas encore prête à une rencontre physique, soit en chat avec un strip teaseuse en ligne. Cela peut coûter un peu mais c’est par CB ou téléphone et ça reste raisonnable. Pensez à vous chronométrer, revenez deux trois fois par semaine, pas plus. Vous verrez, rapidement g vous ferez des progrès et banderez plus longtemps.

S’entraîner avec une coach sexuelle

Eh oui ! Ça existe. Bon en vrai d’autres appellent cela une pute. 😹🙀. Mais si vous avez quelques moyens financiers et que vous trouvez une jolie prostituée, il suffit de lui expliquer votre problème et elle sera heureuse de devenir votre coach sexuel. Les prostituées occasionnelles cherchent toutes des clients réguliers pas trop louches. C’est exactement votre cas, pourquoi vous en priver ? Surtout c’est pour la bonne cause. En vous entraînant avec une professionnelle vous satisferez mieux votre actuelle ou future partenaire de jeu.

Les pilules pour bander

Eh oui, le viagra et autres génériques du viagra que l’on trouve plus ou moins légalement sur internet ça marche ! 👌

Pour certains quinquagénaires d’ailleurs cela a été une révolution dont on a trop peu parler. Il faudrait aussi parler à toutes ses femmes ménopausées victimes collatérales du  viagra 😖. Mais c’est une autre histoire que je développerai peut-être un jour. En attendant oui, le viagra fonctionne. Je ne saurais quand même que trop vous conseiller un avis médical. Si vous vous en passez soyez prudents et sachez que c’est déconseillé en cas de problème cardiaque.

Pour un petit coup de pouce il y a aussi le fameux Titan XXL. Perso je trouve le nom débile genre attrape nigaud. Mais la vérité c’est que ça marche vraiment pas si mal. Ce sont des gélules à prendre avec un verre d’eau une heure avant de baiser. Je ne vous promet pas le produit miracle. Mais un bon deux fois plus longtemps et une queue bien dure c’est presque garanti ! Après deux fois plus que 30 secondes c’est une minute…Donc faut pas rêver non plus. Pour essayer j’en ai donné à mon mari un jour de confinement en douce. Je lui ai fait croire que c’était un complément alimentaire pour mieux dormir. Il m’a un peu mieux baisée que d’habitude. J’ai dis un peu. Mais la différence était quand même notable et appréciée.

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Envie d’une bonne pute bien salope et gratuite ?

pute

Pour me rencontrer c’est ici

Putain ! C’était long ce confinement ! Trop envie de refaire ma pute adultère. Pardon d’être directe mais j’en peux plus ! Il faut que je refasse ma petite salope suceuse étroite de la chatte et du cul sinon je vais devenir dingue 😜 !

Pour toi j’ai enfilé ma petite robe noire courte. J’ai chaussé des talons hauts d’actrice porno et choisi le rose à lèvres qui me fait une bouche à pipe. Vrai sac à main chanel et boucles d’oreilles créoles en or. J’ai relevé mes cheveux en chignon pour que tu aies envie de poser ta main sur mon cou quand je te sucerai. Les bars restent fermés mais nous pouvons encore jouir du plaisir de marcher en ville en se tenant par la taille. J’aime que tu me sortes, que tu me montres comme un trophée de chasse dans cette petite ville de province où je suis une parfaite inconnue. J’aime sentir les regard sur moi. Sur nous. La jalousie des autres hommes est évidente, celle des femmes aussi d’ailleurs. Cela m’excite et me donne encore plus envie de faire ma vraie chienne salope pour toi après la promenade. Il a fallu ruser pour trouver un terrain de jeu a moins de 100km de mon domicile conjugal qui ne soit pas trop risqué. Trouver un prétexte pour m’absenter toute une journée alors que je suis sensée télétravailler n’a pas non plus été une mince affaire. Mais tu sais quoi, je suis une salope pleine de ressources. Et étrangement je me suis trouvé une passion pour le bénévolat ces derniers temps. C’est très  bien le bénévolat. Exactement le genre d’activité qui n’intéresse pas mon mari avec des gens qui lui sont indifférents et qui me permet de m’absenter jusque tard le soir, voir toute la nuit si je dis que je fais des maraudes. Seul inconvénient, pour être crédible il faut aussi en faire vraiment. Mais en vrai ça va. Aider les pauvres rachète mon âme et j’y prends un réel plaisir. Qu’importent mes motivations. Au final ça aide non ? Mais trêve de digression, je suis donc à ton bras dans ce moment délicieux de l’entre deux. Nous ne sommes pas encore amants. Juste une rencontre internet qui va se concrétiser ou rester dans la friend zone. Pour cette remise en jambes d’après confinement j’ai choisi de jouer mon propre rôle. Celui d’une fille sexy mais mariée, en manque de sexe après un confinement désastreux avec mon mari. J’ai dit : « Sors moi, exhibe moi, Je veux que toute la ville sache qu’on va baiser et après je veux que tu me baises comme une chienne jusqu’à l’épuisement. » parfois je sais être directe…Et très convaincante…

J’ai aussi dit : « J’aurais un masque en tissus à fleurs, je ne l’enlèverai que plus t’embrasser et te sucer. Tu me trouveras assise sur un banc au parc municipal à 14 heures précises. Je ne t’envoies pas de photos, mais je ne t’en demande pas non plus. Si tu ne me trouves pas à ton goût alors passe juste ton chemin. Moi, ton physique m’importe peu, pourvu que tu saches me faire couiner et jouir jusqu’en fin d’après midi je suis preneuse. »

Et nous voici donc, bras dessus, bras dessous, marchant parmi d’autres déconfinés. Je t’ai demandé de mettre ta main sur mes fesses en marchant. « Comme ça tu peux tâter la marchandise et en plus ça m’excite… » Et nous avons commencé notre petite promenade en amoureux. J’ai fait durer pour que monte un peu le doute en toi. Pour que tu accumules assez de frustration pour me le faire payer une fois seuls. Je t’ai traîné dans quelques boutiques d’ameublement juste parce qu’il y avait du monde et je je voulais que d’autres hommes me voient lécher ton cou en douce. Je voulais sentir leur yeux rivés sur mon cul moulé dans la petite robe noire. Je voulais jouir des regards désapprobateurs de quelques vieilles rombières provinciales. Puis, après une grosse heure de ballade, quand je t’ai senti à bout j’ai cédé : « Oh ! C’est marrant, on est juste à côté de chez moi ! Ça te dis de monter cinq minutes ? Ou plus, si affinités ? »

Dieu merci, Airbnb fonctionne encore !

Dans l’escalier de bois qui monte a mon appart je suis passée devant pour te laisser mater mon petit cul de salope et mes jambes fuselées sur talons hauts. J’ai fait semblant en arrivant de faire tomber mes clefs pour me baisser et que tu puisses voir que j’ai mis des bas de pute de luxe. Tu as osé une main au cul. Cela m’a surprise car tu avais été plutôt réservé jusqu’ici. Mais rassure toi, la surprise était agréable et je suis restée penchée te regardant en arrière mes fesses toujours offertes. Tu aurais défait ta braguette et m’aurais prise par derrière sur le palier, je n’aurais pas protesté. Mais tu as juste aventuré ta main plus profond, entre mes cuisses déjà moites. Tu t’es penché vers moi : « Dépêche toi s’ouvrir sinon je risque de te prendre ici debout… »

-« Hummm, je suis pas contre… »

Un doigt sous mon string, habile le bonhomme !
-« Ah, oui, je vois ça, t’es un petite cochonne dis donc… »

-« Hummm, oui, une petite cochonne qui mouille déjà… Mais qui a trop envie de sucer pour te laisser me prendre à la va vite sur le palier finalement ! »

Je me suis relevée, j’ai rajusté ma robe et ouvert la porte pour t’inviter dans ma garçonnière…

Lumière tamisée, j’avais pris soin de tirer tous les rideaux à l’avance. Bougies de massages coquins sur la table basse, pilules « revitalisantes » pour les deuxièmes et troisièmes rounds, véritable martinet à lanières de cuir pour le cas où il te viendrais l’envie de me punir d’être une vilaine fille. Comme tu vois j’ai tout prévu pour que nous passions une excellente après midi…Il y a aussi une boîte à   cigares cubains sur la table basse. Je trouvais que ça allait bien avec le vieux fauteuil club en cuir. Je te pousse dans le fauteuil : « Détends toi, on va dire que je suis ta Monica Levinsky. Ok ? T’as rien contre la nicotine j’espère… »

Je fais glisser ma robe par terre pour me retrouver en soutif et porte jarretelles. La vérité c’est que je n’ai pas trop envie que tu déchire ma robe. C’est une AlexanderMacQueen et même si ça ne te dis rien elle m’a couté une blinde ! Et j’aime qu’on s’occupe de mes gros seins pour les préliminaires… Je prends la boîte à cigares et m’avance vers toi pour te l’offrir : « Ils sont un peu secs désolée… » je baisse les yeux, évidemment tu m’as comprise. Mais vas tu oser ? Vas tu le faire comme il faut ? Comme j’aime ? Ton bras autour de ma taille me fait deviner que oui. T’es lèvres sur mon ventre sont tièdes. Tu écartes délicatement mon string petit bisou avec le bout de la langue sur mon sexe déjà ouvert. Tu enfonce doucement le cigare qui glisse tout seul. Je n’ai pas choisi de gros barreaux de chaise que je trouve vulgaires. Ceux là sont longs et comparés à une belle bite ils sont de moindre diamètre. Mais justement c’est parfait, plus gros qu’un doigt, mais moins que deux, et tout lisses. Tu fais quelques va et vient délicieux mais pas plus pour ne pas tremper le havane. Je te prend le cigare pour le chauffer à la flamme d’un briquet zippo chromé. La flamme sent l’essence. Tellement mieux qu’un bic à gaz. Je chauffe jusqu’à sécher le cigare sans le brûler. « Oh ! Il est tout sec à nouveau !… » Cette fois s’est moi qui guide ta main pour introduire le cigare dans ma chatte. Je te montre comment tourner en pressant juste comme il faut sur mon clitoris. Je mords ma lèvre inférieure pour ne pas gémir. « Ça va ? Tu l’aimes ta petite stagiaire ? Tu m’offres un cigare à moi aussi ? » Bien sûr en disant cela j’ai la main juste là où il faut pour être sure que tu comprennes de quel cigare je parles. J’allume ton havane, je tire la première longue tafe et te le mets en bouche avant de m’agenouiller entre tes genoux. Ta queue est évidement au garde à vous. Je défais mon soutiens-gorge pour la prendre entre mes gros seins en branlette espagnole. Je commence sans la bouche, juste en pressant mes seins tièdes et soyeux. J’appuie ma langue sur ton ventre. Je regarde vers le haut droit dans tes yeux. « Tu peux souffler un peu la fumée vers moi ? J’aime l’odeur et j’ai envie d’avoir les yeux qui piquent » Le délire te semble peut être bizarre mais tu prend une longue taffe et tu la souffle vers mon visage. Je me force à garder les yeux ouverts. Ça pique mais les larmes montent et c’est ma fierté de bonne pute bien salope de te montrer que j’encaisse et que j’aime ça. Un indice dont j’espère que tu te souviendras quand nous serons dans d’autres positions. Je veux que tu comprennes que j’ai tout et que tu n’as pas à te gêner avec moi. Je suis ta pute pour l’après midi. Ton jouet sexuel dont tu peux user et abuser. Quand je prends enfin ta queue à pleine bouche ta main ferme sur ma nuque me fait comprendre que tu as reçu le message cinq sur cinq. Mais après quatre ou cinq va et vient gourmands tu te retires de ma bouche de gloutonne. Je sais ce qui t’inquiète : « Rassure toi, te retiens pas de décharger. Avec les pullules magique que j’ai on a toute l’après midi pour s’amuser et tu pourras bien défoncer ma petite chatte étroite et me déchirer le cul sans problème. Là ça fait trop longtemps que j’ai pas avaler du sperme. Te retiens pas. » Et je me remets à l’ouvrage après cette trop longue tirade. Je sais que tu dispose d’une vue imprenable sur ma chute de reins. J’ai toujours mon string et mes bas de call girl. Maintenant que tu sais que tu peux éjaculer dans ma bouche tu es plus détendu et ça prend du temps. Je suce ta bite toujours longue et dure mais au lieu de t’exiger et te tendre jusqu’à jouir c’est tout le contraire. Tu souffles la fumée sur mon visage et te laisse aller : « C’est ça, tu es vraiment un bonne pute Lucie, suce bien, vas y t’as raison, on a tout le temps. »

Je te reprends entre mes gros seins. Les yeux vers toi en larme à cause de la fumée. Puis je m’y remets, en gorge de plus en plus profonde. Enfin je sens ta main qui se crispe un peu plus sur ma nuque, t’es cuisses dures et tendues, tu te cambres ne jouis pas encore. Je dois continuer à sucer longtemps avant qu’enfin tu décharge la purée dans ma bouche. C’est chaud, abondant, goût inimitable, salé et visqueux un peu comme de la tête de veau.  Mon plat préféré. Le sperme, pas la tête de veaux ! J’avale et je le he bien tout ton sexe pour le nettoyer. Et je viens me blottir contre toi dans le grand fauteuil. Je te prends le cigare pour fumer un peu moi aussi. « Hummm, j’ai adoré te sucer, merci, on fait une petite sieste ensemble ? Tu veux bien ? »

Je t’entraine vers la chambre. Pour te déshabiller. J’ai envie que tu me prennes dans tes bras et que nous dormions un peu avant de refaire ma petite pute du jeudi après midi. La petite pilule que je te fais avaler fera effet dans une heure, au sortir de la sieste. C’est en tous cas ce que je te dis. Je ne suis pas certaine que ce soit vrai mais je sais que si tu y crois alors ça marchera. Surtout mon petit cul de salope contre ta queue fera forcément son effet. En fermant les yeux j’ai déjà hâte d’être enfin pénétrée.

Ami lecteur qui est allé jusqu’au bout de ses longues lignes. Merci ! J’espère t’avoir bien fait bander. Je suis curieuse de savoir ce que tu m’aurais fait au réveil si tu avais été à la place de mon petit plan cul de jeudi dernier…

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Plan cul jeu concours

Plan cul, jeu concours avec rien à gagner…ou peut être que si…ou que non…va savoir avec une perverse comme moi lunatique et nymphomane. Bref, le principe de ce jeu est simple : dites en commentaire les mots que vous aimez dire à votre partenaire au lit…ou ceux que vous aimeriez lui dire…ou ceux que vous aimeriez qu’elle où il vous dise. Gagnant ou gagnante annoncée dans 7 jours calendriers… Bonne chance !

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