La piscine, top des lieux de drague

Draguer à la piscine

Dans le top des lieux où j’aime chercher mes plans cul en déplacement professionnel il y a incontestablement la piscine. Des piscines il y en a partout, souvent en semaine il est facile d’en trouver une qui ouvre tard pour les nageurs de l’après boulo. L’homme seul qui fait du sport après le taff est une proie facile, très facile pour la grande cochonne que je suis en ce moment…

 

Drague en réunion

Notre Dame de Gravenchon, Seine Maritime, premier jeudi de novembre. Un froid de canard, la nuit en fin d’après-midi. Mon rendez vous de boulo fini un peu avant 17h. Le responsable du labo me propose que nous dînions ensemble. Je suis tentée. Il n’a pas arrêté de mater mes seins en douce de toute la journée et guettait le moindre signal que je pourrais faire suggérant une ouverture. En plus il est bel homme. J’ai joué un peu avec l’idée de lui ouvrir mes cuisses. J’avoue que je suis même aller me masturber en y pensant dans le toilettes à la pause de midi. J’ai souri, mordillé ma lèvre inférieure, croisé et décroisé les jambes, ri a ses traits d’humour et même touché son bras à la pause café. Mais c’est trop risqué. Il connaît mon boss, tout le monde a remarqué notre petit jeu de séduction. Si je lui cède je peux faire un grosse croix sur ma réputation professionnelle. Dans mon milieu tout se sait très vite. Donc j’ai décliné, prétextant que dois me lever tôt demain et j’ai trop envie de profiter d’une soirée seule à l’hôtel à regarder Netflix. Pour une fois que je n’ai ni mari ni enfant sur le dos !
Sa collègue a souri. Elle me comprends à 100% et aimerait avoir ma chance de voyager autant pour le boulo ! Ce qu’elle ne dit pas mais que je devine c’est qu’elle est ravie que son collègue se prenne un gros râteau ! Et comme je suis une salope un peu perverse j’avoue que sa mine déconfite me console presque de ne pas l’avoir dans mon lit ce soir. Mais bon, sur le parking du labo il fait déjà presque nuit et c’est bien seule que je rentre dans ma Mercedes de location flambante neuve (Merci Virtuo !).

(me rencontrer… ici...)

Séduire en maillot de bain

Direction donc la piscine de Notre Dame de Gravenchon. Si je fais vite je peux être dans l’eau avant 18h et faire presqu’une heure de longueurs. Ou pas… Il fait nuit, il fait froid, je peux tout simplement rentrer pour me faire draguer au bar de l’hôtel. C’est facile confortable avec ma chambre juste pas loin… Non ! Courage, sois forte, si tu veux garder un corps de salope allumeuse il faut un minimum de discipline. Je gare la classe A noire sur le parking devant la piscine. C’est pas la place qui manque. Je suis un peu déconfite, pas du tout sûr que je trouve un plan cul ici. Mais bon, j’y suis, j’y reste. La fille à l’accueil me regarde bizarrement. Faut dire qu’une working girl en tailleur et talons qui entre dans une piscine éclairée aux néons avec carrelage aussi blanc que bruyant sous les talons cela détonne.

Mais j’ai mon petit sac de sport Nike noir et une jolie femme qui vient nager un jeudi soir après le travail cela n’a rien de très original. Je paie ma place et file aux vestiaires des femmes. Dans la cabine exiguë je me déshabille avec soin pour ne pas froisser ma tenue ou filer mes bas. J’enfile mon maillot de bain Eres une pièce bleu fétiche. Le bonnet de bain est obligatoire alors je perds un peu de temps à mettre mes long cheveux en chignon. Être sexy à la piscine municipale c’est pas facile. Mais je pense m’en sortir plutôt bien. Sans être trop provocante pour autant.

Le bassin de nage fait 25 m. Il y a une piscine olympique à l’extérieur accessible directement depuis le bassin intérieur en nageant sous des grosses bandes de plastique transparent. Avec toutes les usines du coin la municipalité est riche.

Je nage à l’intérieur car c’est là que trois hommes partagent une ligne d’eau. C’est drôle, la piscine est quasi vide et ils sont tous dans la même ligne. Si je fais abstraction des deux vieilles qui parlent en nageant la brasse.

Difficile de juger le potentiel sexuel d’un type quand il est un moule bite avec un bonnet de plastique sur le crâne. D’autant que les trois qu’il y a c’est pas Florent Manaudou.

Bon, ils sont pas dégueulasses non plus. Au moins pour deux des trois. Et puis j’ai trop envie de baiser. Le physique c’est important mais pas tant que ça. Je passe par l’échelle de piscine en prenant soin d’attendre d’être remarquée au moment de descendre dans l’eau. Les mecs sont trop cons ! Ou prévisibles ! Ou juste en fait normaux ! Évidemment qu’ils me remarquent ! Maintenant il me suffit juste de nager juste assez vite pour être dans leur ligne d’eau. Facile pour moi ! Au bout d’une dizaine de longueur je constate avec plaisir qu’aucun n’a quitté le bassin. Tu m’étonnes ! Évidemment deux ont accéléré pour pouvoir me doubler et en profiter pour me mater à travers les lunettes de piscine. Je sais que mes longues jambes et mon cul de salope sont suffisants pour les empêcher de sortir de l’eau avant moi. A chaque virage je surveille l’heure. La piscine ferme à 19h10. Si je veux un peu de temps pour en laisser un m’aborder il ne faut pas trop attendre avant de sortir de l’eau. J’accélère histoire de m’épuiser un peu et aussi pour voir qui tient le rythme. Je calcule mon coup pour sortir de l’eau à l’opposé des vestiaires et juste devant celui qui me plaît le plus. Bingo ! Il sort juste derrière moi ! Nous allons devoir marcher tout le long du bassin ensemble. Polie j’attends qu’il sorte de l’eau et lui souri. Il souri en retour, ne trouvant rien à dire. Je vais encore devoir faire tout le boulo !
-« Elle est toujours aussi chaude l’eau ici ? »

-« oui, ils chauffent beaucoup car le bassin communique avec l’extérieur. C’est trop chaud pour vous ? »

-« oh !  Non ! C’est jamais trop chaud pour moi… »

Yes ! Je suis la reine de la répartie ! Prix Nobel de drague ! Putain je me kiffe trop !

Il souri à ma remarque, il a bien sûr compris l’allusion mais n’est pas encore certain que c’était intentionnel bien sûr.

-« Excusez moi de vous demander cela mais vous vous y connaissez en voiture ? »

-« Heu, pas trop, enfin un peu si, pourquoi ? »

-« Bin j’ai un voyant qui s’allume sur ma voiture de location. Ça m’inquiète un peu. Ça vous embête pas de jeter un œil ? »

-« Ah…ok, pourquoi pas. Mais franchement pas sûr que je puisse faire grand chose… »

-« Ah?… » je fais une mine déçue.
-« Bon, si ça peut vous rassurer je peux regarder, ok. »

-« Merci vous êtes chou ! Désolées encore de vous embêter avec ça… » J’ose un premier contact physique léger. Mais sur son avant bras. Contact bref mais signe qui normalement ne trompe pas.

Là je suis un peu inquiète. Normalement à ce stade un mec intéressé aurait trouvé un truc à dire pour manifester son intérêt. Un truc plus ou moins délicat sur mon physique ou sur son envie de m’aider. Là, juste « bon, ok » ça part mal.

Pas de temps à perdre. Si c’est pas le bon il faut que j’essaie l’autre qui me plaisait. Je tente le tout pour le tout : « Super, vous m’attendez à l’entrée de la piscine hein ? Promis ? Je me mets sur la pointe des pieds et lui fait une bise sur la joue par surprise. »

Ca pour le coup il est surpris ! Rouge comme une pivoine ! Instantanément !
-« Heu, oui oui, bien sûr pas de problème ! »

Bon, pour la pipe dans les vestiaires de la piscine et la baise debout en cabine je crois que c’est rapé ! Mais en la jouant fine je pense que je peux l’avoir. Enfin, l’espoir fait vivre et, au pire, j’irais en voiture au port du Havre dans un bar antillais 😂.

Je file sous la douche et me rhabille sans trop traîner de peur qu’il ne m’attende pas. Dans la hâte je file un bas. Merde ! J’ai horreur de ça être en tailleur classe et avoir un bas filé. J’hésite du coup à être jambes nues. Mais il fait trop froid. Surtout je veux me sécher les cheveux et c’est bien le truc le plus long du monde avec le séchoir de piscine en métal accroché au mur !

Ouf ! Il m’attend à l’entrée ! Bonne surprise, mec élégant, jean blouson et casque de motard. Peut être 45 ans mais souriant et bien plus à l’aise habillé qu’en moule bite. Pas d’alliance. Très bon signe. Soit il l’a enlevée et il est donc intéressé, soit il n’en a pas et c’est bien aussi.

La Mercedes Virtuo s’ouvre depuis mon iPhone. Ça fait son petit effet. J’explique que c’est une voiture de location. J’ai un voyant qui s’allume. Il monte côté passager et doit forcément se pencher vers moi pour voir le tableau de bord. La tension sexuelle est presque palpable maintenant dans l’habitacle. Bien sûr aucun voyant suspect. – « J’étais pourtant sûre ! Je ne mente pas ! Ohlala, la honte, vous allez me prendre pour une folle ! »

-« heu…non, ça arrive, si cela se trouve c’était le voyant d’huile ? Ou de pression des pneus? »

-« je sais pas, si je tombe ne panne sur le chemin de hôtel…comment je fais ? »

-« bin, heu…si cela vous rassure je vous suis en moto. »

Ah quand même ! Enfin ! C’est pas trop tôt !

-« C’est vrai vous feriez ça ? Vous êtes sur ca va pas vous retarder ? Vous avez sûrement une femme ou une copine qui doit vous attendre ? »

J’avoue, l’allusion à la copine c’est risqué. Mais autant savoir !

-« Heu non non, ça va, je peux envoyer un texto pour dire que je suis avec des potes…heu…enfin  non pas que j’ai quelque chose à cacher… »

Il rougi encore. Même avec la lumière de la veilleuse de la voiture je peux le voir.

Bon, c’est le moment, si je le laisse gamberger en moto derrière moi il risque de me filer entre les pattes.

-« Chhhhuttt! » Je plaque les lèvres contre les siennes. Il ne s’écarte pas. Je mets la langue. La sienne suit. Je fais durer. C’est bon. Je prends sa main pour la diriger sous mon tailleur. Il cède. Pas de méfiance, goût délicieux de sa bouche. J’aime son odeur. Je garde ma bouche sur la sienne jusqu’a ce que ses doigts trouvent ma chatte mouillée.
-« je propose qu’on laisse ta moto ici. Je te ramène demain matin, promis. »

… Il hésite… j’y crois pas, il a peur de se faire voler sa bécane ! Mais quel gros naze ! Putain !

-« Tu veux pas que je te suive ? »

Le naze mériterait que je le plante là avec sa Ducati de frimeur de merde ! J’hésite d’ailleurs à le faire. Mais j’ai trop envie de baise ce soir.
-« Tu connais les best western Port Jérôme ? »

-«  oui, à cinq minutes »

-« Tu m’y amène en moto même si j’ai pas de casque ou t’as trop peur pour ça, aussi …? »

Heureusement qu’il dit oui, sinon je pense que je me suicidais !

La moto en tailleur c’est pas l’idéal. En plus il fait vraiment froid 🥶 . Mais déboutonner son pantalons pour coller mes mains sur son sexe pendant le trajet c’est cool !

Rassuré de savoir sa bécane dans le parking de l’hôtel il m’a donné entière satisfaction une fois dans la chambre. Celles et ceux qui me prenne pour une salope qui baise un mec différent par semaine se trompent lourdement. Cela faisait plus d’un mois que je n’avais pas sucé ou eu autre chose que la queue molle de mon mari en moi. J’ai sucé, couiné, gémi et offert mon cul sans retenue. Nous avions toute la nuit et une partie de la matinée jusqu’à l’heure de libération de la chambre. La bonne fortune m’a fait tomber sur un garçon juste parfait. Endurant mais qui ne se retient pas de jouir. Surtout il récupère assez vite et reste bien dur même sur les  3èmes et 4èmes round. C’était il y a juste trois jours et mon cul me fait encore mal. Mais délicieusement mal. Alors oui, je pense que je retournerai souvent à la piscine lors de mes prochains déplacements !

Si vous avez lu jusqu’au bout laissez un commentaire. Je réponds très souvent…

 

 

 

Tellement envie de faire ma salope !

Tellement envie d’un mec à sucer ! Refaire ma salope en chaleur pour l’amant d’un après midi Provincial. Je veux le frisson de sa main pour la première fois sous mes jupons. Sentir ses doigts dans ma culotte chercher ma fente déjà humide. Sortir sa queue du pantalon, demander si je peux sucer. Trop longtemps que je m’ennuie à mourir chez moi. Mon maricinqminutespasplus, la maison triste et les voisins. Les conventions de mon milieu, les soirées entre amis sans vie.

Alors je traîne sur un site à plan cul...
 

Je veux qu’il embrasse mes seins, je veux sucer comme une chienne, sentir un doigt dans mon anus, mouiller, couiner comme une chienne. Être fessée et enculée. Je veux crier, je veux la mélanger nos sueurs. Étouffer presque d’avoir sa queue en fond de gorge. Qu’il tire mes cheveux qu’il pétrisse mes seins. Je veux nos langues mélangées, mes jambes fines écartelées. Qu’il me défonce, me fasse jouir. Je veux baiser à l’épuisement, griffer, mordre me faire injurier. J’veux qu’il m’épuise pour m’endormir souillée de foutre sur ma peau.

Et puis je veux que le matin, il me prenne moitié endormie. Sa salive lubrifiant mon cul. J’veux sa queue dure sur mon anus. Qu’il me défonce par le cul. Et que toute la semaine ensuite je me souvienne en m’asseyant qu’il a bien été mon amant. Qu’une nuit au moins j’ai vraiment vécu. Que je suis plus qu’une femme vaincue, femme au foyer mère parfaite. Je veux la semaine prochaine. Refaire la chienne et je veux vivre.

Mes autres articles en attentant

Le club des salopes qui trompent leur mari

Tenir ce blog a été libérateur pour moi. Avant de devenir une bonne petite salope qui trompe son mari j’ai été cocue. Je reçois beaucoup de témoignages de femmes qui sont dans mon cas et agissent comme moi. Alors forcément cela me rassure et m’encourage à continuer. Encore qu’en vrai c’est tellement bon que je n’ai pas besoin d’encouragements. Mais parfois je sais que mes histoires peuvent lasser. Alors j’ai décidé d’ouvrir ce blog aux témoignages d’autres filles dans mon cas.

Je laisse donc la place à Florence, 29 ans, Finistérienne.

Salut Lucie, je m’appelle Florence et j’habite dans le Finistère. J’aime ton blog car il résonne avec mon histoire et voici donc le témoignage que j’aimerais que tu publies, si tu veux bien.

Je suis blonde, mon histoire est commune. C’est celle d’une jeune fille mariée sur un coup de tête, trop tôt qui a eu deux enfants en 3 ans et s’est retrouvée cocue à 28 ans. En plus d’être cocue j’ai pris un bon 15 kg de trop depuis mon mariage. Ceci explique peut être cela. Quoiqu’il en soit le laissé aller et les rondeurs ont détourné mon mari de moi et ce connard m’a trompé avec ma meilleure amie. Je n’ai pasta volonté. Je ne me suis pas mise au régime et au sport. J’ai juste posté une photo de moi avec tous mes kilos en trop sur un site de rencontre et attendu le réponses. Résultat, 147 demandes le premier soir !!! Mais 147 gros pervers qui ne me faisaient pas du tout envie ! J’étais juste désespérée. C’est finalement sur copains d’avant que j’ai retrouvé un ami de CM2 avec qui j’avais échangé un bisou sur la bouche très furtif…Il était Célib et toujours en Bretagne. On s’est retrouvés dans un bar à Brest et ça a été magique. Comme si on ne s’était jamais quitté mais avec vingt ans de plus. C’est moi qui ai proposé qu’on prenne une chambre à l’hôtel d’à côté. Il n’a pas dit non. Mes 80kg pour mon petit 1m65 n’ont pas du tout semblé le gêner. A peine étions nous dans la chambre que je me suis jetée sur lui pour le sucer. On s’est retrouvés nus comme des verres en moins de deux et c’est parti en 69. J’avais honte de mon gros cul de blonde et de mes rondeurs. Mais lui semblait m’apprécier comme cela. Rien qu’avec sa langue il m’a fait jouir et j’ai avalé son sperme sans trouver ça dégueu. On a passé la journée ensemble à baiser et rebaiser. Mais quand on s’est quitté en se promettant de nous recontacter je me suis dit que j’avais surtout envie de rencontrer d’autres hommes. Voilà. C’était la semaine dernière et depuis je n’ai pas renouvelé l’experience. Mais je voulais t’en parler car tu es devenue un modèle pour moi.

Florence.

Plan cul Montpellier

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Mon plan cul, je l’ai choisi marié, ingénieur tout juste quarante ans. Un bel homme, pas très original mais qui m’a semblé idéal pour un cinq à sept d’hôtel Mercure sur le chemin de retour vers mon domicile conjugal. La veille nous nous étions chauffés en live chat. Il avait pu vérifier que j’étais bien la jolie petite salope sexy à petit cul que je prétendais être et de mon côté j’avais calculé qu’il pouvait bander longtemps au moins séparés par la webcam. Je sais qu’en vrai c’est parfois une autre histoire mais c’était déjà un bon début.

Il m’avait avoué n’avoir jamais pratiqué la sodomie et j’étais très excitée à l’idée de lui offrir mon cul pour ce dépucelage anal. Enfin je ne suis pas certaine que dans ce sens on puisse techniquement parler de dépucelage anal.

Nous avions tiré à pile ou face qui attendrait l’autre dans la chambre 412 de l’hôtel Mercure Antigone de Montpellier. La pièce était tombée sur pile et c’est donc moi qui devait arriver à l’hôtel la première. J’avais pris la chambre vers 16h30. Il devait arriver un peu après. Je décidais de l’accueillir en dessous sexy. Ensemble Guêpière et bas noir Aubade, nuisette assortie. Pas très original mais efficace.

17h pile, il frappe à la porte de la chambre. J’ouvre, il est en costume et cravate. Je le tire par l à cravate pour le faire entrer et l’attirer à moi. Je pousse la porte derrière lui et l’embrasse sur la bouche directement. Pas besoin de discours ni de préliminaires. J’ai trop envie de faire ma salope.  Ces mains sont tout de suite sur mon cul écartant mes fesses. Je presse mon pubis contre sa cuisse et cherche à tâtons sa braguette. Nos langues s’entremêlent. Je tire sa chemise pour toucher sa peau. Lui n’a pas besoin de me déshabiller, je suis déjà en tenue de baise.

-« Tu vas me baiser comme une petite salope hein? J’ai trop envie . Je suis sure que tu va bien m’enculer. »

-« Hum dis donc t’es une vraie coquine toi. »

-« ouai ! Une bonne coquine bien salope qui mouille déjà trop pour attendre »

Je l’attire vers le grand lit pour que nous tombions dessus ensemble. Il défait son pantalon et je m’empresse de lui enlever tout le bas. Caleçon, chaussettes et souliers. J’ai des préservatifs à portée de main et je lui habille habillement la queue sans même le sucer avant car j’ai p envie de l’avoir dans ma chatte. Mais je me rassure : « T’inquiètes, t’aura droit à un deuxième round et je te sucerai comme une bonne grosse cochonne… »

Je l’attire sur moi un écartant mon string. Sa queue rentre d’un coup, à fond. C’est tellement bon que j’en couine. Je ferme mes jambe pour le retenir et je serre très fort pour l’empêcher d’aller et venir tout de suite. Je me colle à lui, baiser mouillé tout en langue.

-« Bouffe moi les seins pendant que tu me baise…s’il te plaît… »

Je défais mon soutien gorge et il fait exactement ce que j’attends de lui. Il prend mes gros seins à pleine bouche tout en me baissant lentement mais bien à fond. J’ai envie de jouir et d’oublier ma promesse de lui offrir mon cul. Mais lui n’a pas oublié et il se dégage. Je sais ce qu’il veut et comme il bande bien sûr je me dis que c’est mieux de le laisser me prendre par le cul maintenant plutôt que d’attendre en second round toujours incertain même avec les pilules magiques.

Alors je me dégage et me retourne pour lui offrir une belle vue sur ma chute de reins et mon cul de salope. J’ai prévu un lubrifiant spécial sur la table de nuit. Je le lui tends. Et j’enlève mon string.

-« Prends ton temps mon beau. Mon petit cul ne va pas s’échapper… »

Et comme je suis un bonne grosse salope je vais arrêter ce récit ici, juste au moment où le gel lubrifiant anal coule dans ma raie du cul… Sachez juste que j’ai joui, qu’il n’est plus puceau de la sodomie et qu’il y a eu un second round tout en fellation et branlette espagnole…Bref un vendredi après midi comme j’aimerais en vivre plus souvent…

Un plan cul simplement

Plan cul au bureau

Jeudi soir. 18h pile. Il baisse les stores de l’agence et se retourne vers moi. Jeune collaboratrice intimidée je sais que ce n’est pas par hasard qu’il n’y a plus que nous deux au bureau. C’est un plan cul adultère improvisé. Il vient de téléphoner à sa femme qu’il doit finir un dossier et rentrera tard. Je suis le dossier. Son alibi n’est pas original mais c’est simple et efficace. Pour ma part pas de souci. Je suis en déplacement pro à 600 km de la maison et ne suis sensée rentrer au domicile conjugal que demain. Nième aventure adultère pour moi. Je ne m’en lasserai, je crois, jamais 😀.

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Petite agence Maaf assurance de province. Il en est le directeur et c’est pour préserver son anonymat que je ne vous dis pas le nom de la ville. Nous avons convenu en Chat que je dois jouer le rôle de la nouvelle collaboratrice toujours en période d’essais. J’ai mis un tailleur strict mais relativement moulant, des escarpins noirs à talons, mes plus beaux dessous sexy et, une fois n’est pas coutume, bas et porte-jarretelles.

-« Mademoiselle, que lisez vous ici ? »

Il a le doit pointé sur le bas de la page d’un contrat d’assurance habitation qu’il a ouvert sur son bureau.

Je dois me pencher en avant pour lire. C’est écrit en tous petits caractères.

-« C’est écrit vraiment petit monsieur… »

-« Idiote, je ne vous demande pas de me lire les conditions particulières ! Je vous demande ce qui est écrit là ! »

Il me montre la signature et la mention manuscrite.

je me penche pour déchiffrer. Je suis consciente qu’ainsi mon tailleur moule mon petit cul bombé. Il mate sans gêne.

Je lis : « Bon pour accord, F. Et une signature indéchiffrable, Monsieur »

-« et la date ? »

-« Il n’y a pas de date monsieur. »

-« Exactement idiote! Tu as oublié de préciser à la cliente qu’il faut écrire la date à la main sur le contrat !!! »

Écrire qu’à se moment la claque qu’il m’assène sur les fesses est une surprise serait un mensonge.  Je me doutais bien que j’aurais droit au classique secrétaire fessée.

Dans mon rôle je n’en suis pas moins pétrifiée et n’ose pas bouger. Je me contente de rester penchée sur le bureau en attendant la seconde claque qui ne tarde pas à venir.

-« Allez, montre moi tes fesses. Petite incompétente ! »

je relève ma jupe de tailleur mais elle est moulante et je dois la retrousser pour lui offrir mon cul. L’ensemble bas et porte jarretelle fait alors son effet.

-« hummm, alors comme ça on met des dessous de salope pour venir travailler ? »

Je ne réponds pas. Il prends mes fesses à pleines mains pour les écarter. Je reçois encore quelques claques sur les fesses mais entre chaque il caresse aussi mes cuisses et vient frôler ma chatte. Je me cambre à la rencontre de sa main à chaque passage. Il se penche sur moi pour me murmurer à l’oreille : « tu es une coquine. Hein, tu sais qu’avec un cul comme ça tu m’enlève l’envie de te punir. » Sa main remonte entre les cuisses. Il écarte mon string. Je mouille déjà comme une chienne en chaleur. Son doigt rentre tout seul. Je me raidi pour lui faire sentir que j’aime ça. Il m’embrasse dans le cou et me prend par les cheveux pour m’emmener vers les petit canapés de la salle d’attente clients. J’ai juste le temps de rebaisser mon tailleur en chemin avant qu’il me balance sur le canapé. Pour qu’il me viole il faudrait que je résiste. Ou au moins fasse semblant. Mais j’ai trop envie et mon regarde trahi sur ce point. Je décide donc d’assumer mon côté salope et de l’attirer vers moi. Il reste debout, comme par hasard juste bien placé pour que je puisse caresser la bosse sous son pantalon. Je déboutonne et sort l’engin. Belle queue longue et bien raide. J’émets un « hummm » appreciateur, le prends en bouche 👄 sans attendre. Je suce lentement, sa main dans mes cheveux donne le rythme.

-« tu viens pas tout de suite hein? J’ai envie que tu m’encules après. »

-« T’inquiète cochonne 🐷, avec moi tu pourras en avoir par tous les trous. »

Alors je fais confiance et reprends ma fellation. En général je sais quand mon amant est proche de la fin. Et là tout m’indique que ça ne fait que commencer. D’ailleurs il se laisse aller et ne semble pas pressé. J’enlève ma veste sans le laisser échapper de mes lèvres. Il fait de même et le laisse baisser son pantalon. J’ai droit à quelques compliments. Je suis une bonne suceuse, si je reste bien salope il renouvellera mon CDD, j’ai bien choisi les sous vêtements sexy, je dois toujours m’habiller comme ça et rester faire la fermeture avec lui. J’acquiesce la bouche pleine. Il me pousse pour me retourner sur le petit canapé. Il trouve tout de suite la petite fermeture éclair de la jupe tailleur et m’en débarrasse délicatement. Ses baisers sur les fesses sont humides à la limite du suçon. Il est juste à la limite entre caresses et massage. J’ai droit à tous les compliments du monde. Mon cul de salope est juste parfait. Il aime mes jambes et je dois toujours être en talons. Je réponds oui, dis que c’est bon, que j’aime trop ce qu’il me fait. Quand il se décide à me prendre en levrette je suis déjà bien chaude et prête à jouir. L’orgasme vient immédiatement et je couine comme une chienne en chaleur. Il me lime sans faiblir et je multiplie les orgasmes, toute haletante sur le ridicule petit canapé de l’agence. La sodomie vient par surprise. Je n’étais pas préparée et là jouissante fait place une douleur qui m’arrache un cri de surprise. Il s’en fout. C’est son moment et il me défonce sans ménagement. Passée la surprise du début et même si la douleur est intense la situation m’excite et j’ai honte de m’entendre supplier : « oui, encore » alors que la raison voudrait que je demande une trêve. Je sais que demain je vais le regretter et que j’aurai du mal à cacher ma douleur à mon mari pendant quelques jours. Mais qu’importe, j’improviserai, comme toujours depuis presque quatre ans…

Plan cul sado maso soft

Une chienne qui aime les vieux mâles

Certains hommes mûrs aiment les très jeunes femmes. Souvent mariés, ils trouvent dans la chair fraîche d’une petite salope débutante ce qu’une relation conjugale convenue ne peut leur apporter. Rien de tel que le petit cul d’une étudiante en langue un brin coquine pour faire rejaillir le feu de l’ancien volcan qu’on croyait éteint. Surtout qu’a L’approche de la cinquantaine Monsieur n’a aucun problème avec l’usage du viagra ou autre stimulant pour s’assurer une érection ferme et durable. Tout l’opposé du jeune éjaculateur précoce. Moi, je l’avoue, ce type d’homme m’excite. Alors c’est sans vergogne que je me rajeuni de dix ans sur mon profil.

Petite salope suce

Petite salope  cherche plan SM soft

En même temps je fais tous pour garder un corps ferme de bombe sexuelle et je n’ai pas tant de difficultés que cela à me faire passer pour une étudiante délurée de 25 ans. Au gré de mes envies coquines je suis débutante  timide, allumeuse assumée dingue de sexe ou chienne soumise branchée bondage. C’est ce dernier scénario X que j’avais privilégié pour mon plan cul de rentrée des classes. Les profils d’étudiantes coquines ne manquent pas sur les sites de rencontre à plan cul. Il s’agit presque toujours de prostitution occasionnelle. Alors, pour me démarquer je me présente comme une toute jeune maîtresse d’école nouvellement mutée a Chartres. Je me prénomme Charlotte, 25 ans, 1m78, 65kg, gros seins et petit cul. Mon kiff c’est les plans sado maso softs avec homme quarante, cinquante ans. J’explique que, vu ma profession au contact d’enfants et de leurs parents j’exige la discrétion la plus absolue en échange de ma soumission la plus totale.

Il me fait tourner la tête

C’est donc ainsi que je me retrouve un mercredi après-midi (mon jour de congé d’institutrice)  dans un studio AirBnB avec vue sur la cathédrale de Chartres en compagnie d’un homme dont je n’ai pas le droit de connaître le prénom. Chose qui serait d’ailleurs inutile puisque le vouvoiement est de mise et que je dois lui donner du Monsieur et beaucoup de respect. Lui m’appelle Charlotte et me tutoie bien évidement : « Alors, Charlotte, t’as une culotte ou t’as pas de culotte ? »

-« J’en ai une Monsieur… »

-« Baisse les yeux quand tu me parles, je n’aime pas les insolentes! »

-« Pardon Monsieur, vous me voulez sans culotte, Monsieur ? »

-« Non, garde la c’est très bien, je n’aime pas les allumeuses non plus. »

Je garde la tête baissée et contemple en silence la pointe de mes escarpins.

-« Tourne sur toi même, Charlotte, que je décide si je te préfère de face ou de fesse. »

J’exécute une petite pirouette qui fait voleter ma jupe légère.

-« Arrête ça tout de suite ! On n’est pas au manège Charlotte! Si j’avais voulu une ballerine tu serais déjà en tutu rose. Tu tourne doucement et tu ne t’arret Que quand je te l’ordonne. »

Je recommence très lentement cette fois. Trop lentement semble-t-il car quand je me retrouve face à lui il s’est approché ce qui me met à portée de gifle. La baffe est forte mais sans violence excessive.

-« Idiote ! Tu ne sais même pas tourner sur toi même ! Recommence ! »

Mon troisième tour doit lui plaire car il ne me frappe pas et me fait signe de continuer d’un geste circulaire de l’index. Sans qu’il ait besoin de m’expliquer je comprends le signe pour ralentir, accélérer ou changer de sens. J’ai la tête qui tourne quand il m’intime d’arrêter. Tenir debout sur les escarpins à talons n’est pas simple.

-« T’inquiète ma petite salope, t’as pas fini de tourner. Mais on va te mettre plus à l’aise! »

Il déboutonne mon chemisier et me fait signe de tourner doucement. Il est dans mon dos quand il chuchote « Stop » a mon oreille.

-« C’est bien, tu es une gentille petite salope, Charlotte »

Il m´ôte mon chemisier et dégrafe mon soutif qui tombe à terre en libérant mes gros seins que je cache du mieux que je peux derrière mes bras croisés. Une jeune fille timide et pudique c’est toujours plus excitant qu’une petite salope délurée pour un plan SM…

Il ne me demande pas de lui montrer mes seins tout de suite mais me fait encore tourner sur moi même lentement. Je commence à être vraiment étourdie. J’ai perdu le compte des rotations lorsque je me retrouve pour la Nième fois de face. Surprise ! Il a le pantalon sur les chevilles et le sexe fièrement dressé. La tête me tourne et je vacille. Il n’a pas besoin d’ordonner pour que je m’accroche à lui et tombant lamentablement assise à terre. En temps normal je serais morte d’envie de sucer sa belle queue. Mais là, avec le vertige j’ai plus un début de nausée qu’autre chose.

-« T’inquiete pas ma jolie, je ne vais pas te faire vomir. Prends ton temps, sers-toi de tes gros seins de petite salope en attendant d’aller mieux ! »

-« Mer…merci monsieur. »

Je m’agenouille et me redresse du mieux que je peux pour prendre sa bite entre mes seins. Au fur et à mesure que je monte et descends pour le branler entre mes mamelles je me sens un tout petit peu mieux.

Tandis que je le masturbe doucement en branlette espagnole il ajuste à mon cou un large collier de bondage en cuir doublé de velour.

-« Voilà comme ça ma petite salope de Charlotte va être une bonne petite chienne soumise… »

-« Oui Monsieur »

-« Elle va goûter un peu de saucisse maintenant ma petite chienne soumise ? »

La nausée n’est pas encore complètement partie mais ça va mieux. Et c’est pas comme si j’avais le choix…

Je le prends en bouche et suce maladroitement, comme une débutante. Pas question de gorge profonde. J’ai peur de vomir et je ferme les yeux pour ne pas voir la pièce tourner autour de nous. Un click caractéristique m’indique qu’en plus du collier de soumission votre petite salope est désormais équipée d’une laisse de chienne. Je fais de mon mieux pour sucer mais j’ai la nausée et j’ai vraiment l’impression d’être assez nulle. Les larmes me viennent et font couler mon mascara. Je m’attends au pire. En général les mecs n’aiment pas les pleurnicheuses.

-« Allez petite Charlotte, arrête de pleurer. Je vois que tu es une bonne petite salope qui fait des efforts. Viens »

Il a retiré sa queue de ma bouche et tire doucement sur ma laisse pour m’amener vers le grand canapé. Je suis docilement à quatre pattes. J’ai peur qu’il ne soit violent mais il ne tire pas sur la laisse et s’installe sur le canapé et m’attire pour que je m’installe à côté de lui, à genoux. -« Là, calme toi. Viens, tu es une bonne chienne, tu n’as pas de raison d’avoir peur. »

Il tire sur la laisse pour que je sois sur ses cuisses nues, mes gros seins juste sur sa bite gonflée à bloc. Il me caresse la tête, lisse mes cheveux et descend une main le long de mon dos.

-« Enlève moi cette jupe ma jolie. »

J’obéis et le tortille un peu pour faire glisser la jupe et lui dévoiler mes fesses. Il me caresse lentement, passe la main sous ma culotte. Ces gestes sont lents et mesurés. Je le sens un peu mieux. Toujours légèrement nauséeuse mais mieux. Il caresse la raie de mon cul, progresse doucement vers ma chatte. Je suis encore sèche mais je me détends petit à petit et je sais qu’il va réussir à me faire mouiller finalement. Sa queue est juste entre les seins. Je me déplace légèrement pour l’avoir bien dans le creux. Je le presse un peu et ondule pour le branler. Je sens son doigt pressé songer ma chatte. Ça y est, je mouille. Son doigt rentre et je me cambre pour l’accueillir. Je vais enfin mieux j’ai envie de sucer. Il le comprends et tire sur ma laisse pour me montrer qu’il veut bien que je le suce. Je sens avec bonheur un second doigt entrer dans ma chatte. Je gémis de plaisir et je prend sa queue dans ma bouche 👄 à fond cette fois. Quelque va et vient de vraie salope suceuse avant de relever la tête vers mon maître : « s’il vous plaît, mettez un doigt dans mon cul aussi ! »

C’est son pouce qui est contre mon anus. Je me cambre à la limite de l’orgasme. J’ai sa grosse queue dans ma bouche qui me semble énorme et ses doigts dans ma chatte me rendent folle. Je ne sais plus trop où j’habite. C’est juste trop bon. Quand il éjacule abondamment dans ma bouche 👄 je jouis déjà depuis longtemps. Il tire la laisse pour sortir son sexe.

-« Avale pas tout ma petite salope ! »

Il se masturbe pour envoyer un reste de foutre juste sur ma pommette. J’ai avalé la plus grosse partie et ça ne fait pas une grosse éjaculation faciale mais il étale en utilisant son sexe mou comme un pinceau.

-« C’est bien, tu es une bonne petite chienne bien salope ma Charlotte » repose toi, on n’en a pas fini ensemble. »

Je m’effondre à moitié sur lui. Il me caresse les cheveux distraitement. Je suis heureuse. J’aimerais rester là pour toujours. Qu’il me rebaise encore et encore. Je m’endors sur lui sachant qu’il me réveillera quand il aura à nouveau envie de moi.

Drague express pour plan cul rapide

Liste des articles

Heure de la sieste, famille somnolente. Attendre que le mari ronfle. Enfiler un petit string de dentelle, un mini jupe et un petit top bien moulant. Filer sur la pointe des pieds nus, spartiates à la main. Ne pas claquer la portière de la Fiat500c , laisser partir un roues libres dans la pente douce et ne démarrer qu’une fois loin du bungalow. Faire quelques kilomètres pour s’assurer l’anonymat. Passer lentement devant le Clarisse, s’assurer qu’il y a des hommes en terrasse. Vérifier qu’il mâtent la jolie brune qui passe au pas en Fiat  décapotable. Se garer quelque mètres plus loin. Enfiler mes spartiates, s’appliquer avec les lanières de cuir sur les jolis mollets. Tourner le rétroviseur pour vérifier mon rouge a 👄.  Trouver que ça mérite une retouche. Fouiller mon sac à mains à la recherche du rouge à lèvres 💄.  S’appliquer à nouveaux. En profiter pour remonter un peu ma queue de cheval. Sortir enfin choisir une table. Croiser des regards, baisser les yeux, sourire néanmoins. Demander un Perrier rondelle au serveur bien joli garçon. Insister un peu lourdement sur le mot rondelle. Poser un paquet de Vogues menthol sur la table. Attendre pas longtemps avant qu’un type me demande si j’ai du feu. Technique d’attrape nigaud qui fonctionne toujours. Jauger le nigaud. Bof, trouver que son pote    est plus à mon goût. Le laisser engager la conversation. Répondre poliment. Sourire, n’être que de passage, accepter de se joindre à sa table. Se délecter de la mine déconfite de leur copine. S’appeler Clarisse. Oui, comme le bar ! Ça doit être un signe ! Un signe de quoi ? Ne pas savoir mais rire et donner par inadvertance un coup de pied sur le tibia de son copain qui me plaît. S’excuser, dire qu’on est maladroite. Poser la main sur son avant bras pour dire pardon encore. Se délecter bis de la mine déconfite du nigaud cette fois. Poser des questions sur la ville, être volubile, de plus en plus tactile, quand le Perrier rondelle arrive s’excuser et dire qu’en fait on a plutôt envie d’un Spritz. Offrir sa tournée, Faire semblant de ne plus se souvenir du prénom d’Elisa, se tromper aussi sur celui de Frank le nigaud. Montrer que Jérôme ça on s’en souvient.

Rapprocher imperceptiblement son pied, sous la table, de celui de Jerome. Trinquer. A l’été ! Aux rencontres ! Aux signes ! Feindre de ne pas remarquer que nos genoux se touchent maintenant. Dire qu’on a oublié son iPhone à la location et qu’on est perdue sans googlemap. Expliquer que l’on cherche un caviste car on doit aller avec Monsieurmonmari chez des amis ce soir et qu’il faut un bon champagne. Se délecter ter de la mine déconfite de Jérôme qui vient d’apprendre que l’on n’est pas célibataire. Laisser renaître l’espoir en expliquant que l’oubli de l’iphone est un mal pour un bien. On pourra dire qu’on s’est perdue toute l’après midi. Se laisser convaincre d’un deuxième verre mais seulement si Jérôme veut bien m’accompagner après chez le caviste. Jérôme veut bien, Frank fait la gueule la copine Fabienne semble contente que je ne sois que de passage. Arrivée de la seconde tournée de Spritz. Ils servent des piscines ici. Être heureuse de se sentir légèrement saoule à même pas 15 heures. Avoir chaud. Nos jambes se touchent toujours mine de rien. Demander à Jérôme d’y aller car on ne veut pas que Monsieurmonmari s’inquiète. Laisser un billet de 50 et planter là Fabienne et le pauvre nigaud de Frank.

Faire semblant d’être un peu plus saoule que la réalité. Laisser Jérôme conduire la Fiat500c.

-« Alors comme ça vous êtes mariée ? »

Trouver le Alors comme ça un peu con mais ne pas s’en offusquer. Répondre en riant que mariée ne veut pas dire fidèle ! Faire attention de ne pas tout faire foirer. Rester légère, la fille un peu bête et légèrement  pompette. Penser à le toucher à chaque fois que je ris pour un truc ou un autre. Être la fille rigolote et tactile. S’exciter de sa main sur les reins quand il fait la marche arrière du créneau et passe en réalité son bras derrière le siège passager. Me jeter sur lui pour l’embrasser dès qu’il fini son créneau.

Profiter du premier baiser. Mêler nos langues. Mains baladeuses. Embrasser longtemps. Les yeux ouverts. Se laisser peloter. Mettre ma main dans ses cheveux quand il embrasse mon cou. Mettre ma main sous son T-shirt, dire à son oreille qu’on ne veut pas de suçon…mais que par contre on veut bien sucer s’il n’habite pas loin…on peut laisser la voiture là son appart est à deux rues dans le centre piéton. Dire que vite alors, pas de temps à perdre s’il veut avoir le temps de tout visiter en profondeur. Laisser la voiture, partir main dans la main vers son appartement.

Joli studio propret. Déco vintage, canapé cuir, tapis berbère en laine.  Ne pas laisser la gêne s’installer. Dire qu’il me plaît, que j’aime comme il embrasse. Joindre le geste à la parole. Laisser ses mains passer sous mon petit top sexy. Libérer sa teub adroitement et lui dire à l’oreille que je suis sa petite notaire qui aurait bien besoin d’une cravate. Enlever mon top pour qu’il voit mes gros seins à branlette espagnole. Me coller contre lui et descendre doucement, tout doucement. Joie d’une grosse queue qui va et vient entre mes seins. Avoir presqu’envie de continuer jusqu’à l’éjac faciale. Se laisser guider quand il me tire la queue de cheval pour que je me relève et m’installe sur le canapé. Aimer sa bouche sur mes fesses. Enlever mes vêtements en le laissant m’embrasser un peu partout. Planter mes ongles dans son cuir chevelu et le laisser embrasser mon ventre sans douter qu’il descendra plus bas en temps voulu. Me glisser sous lui pour un 69 et enfin avoir sa grosse queue dans ma bouche. Grosse, dure et tellement bonne. M’entendre lui dire : « s’il te plaît, prends moi par le cul…Force mon petit cul de salope même si j’ai mal. J’ai trop envie d’avoir mal… »

Être retournée, le sentir hésiter et commencer par le prendre en levrette. Flipper qu’il ne vienne trop vite et me prive de ma sodomie de chienne en chaleur. Être rassurée et reconnaissante quand il change de trou et presse son flan contre mon petit trou du cul. Gémir, écarter mes fesses avec mes mains. Douleur et cri quand il m’encule enfin. Brutalité, me branler en même temps gémir, jouir et porter mon cul à sa rencontre à chaque coup de butoir. Encore, encore, encore ! Avoir sa main dans ma bouche pleine du goût de ma propre mouille, souffrir et jouir en même temps, continuer à venir à sa rencontre. Encore, encore, encore. Me sentir écrasée quand il s’effondre sur moi de tout son poids en jouissant dans mon cul. Regretter presque qu’il ait mis un capote car j’aurais voulu sentir son foutre couler en moi. Me dégager à regret pour aller ouvrir son frigo vintage à la recherche d’un soda ou d’une bouteille d’eau. Remercier Dieu qu’il ait une grande bouteille de San Pelegrino. M’assoir par terre à côté de lui sur le tapis et surveiller du coin de l’œil son sexe qui pourrait renaître. Lui tendre la bouteille d’eau gazeuse.  Embrasser son ventre en sueur et descendre vers le sexe qui me fait encore envie. Lécher 👅, puis sucer. Le laisser me caresser la chatte et onduler en rythme sans arrêter de le sucer. Jouir sous ses doigts juste quand il éjacule dans ma 👄. Avaler. Rester encore un peu puis me rhabiller et repartir pour une soirée d’ennui conjugal. Mais me sentir néanmoins heureuse et décidée à  garder mon profil sur tous les sites a plan cul possibles et imaginables pour la rentrée prochaine.

Comment transformer une soirée entre amis en partouze

La soirée entre amis tourne à la partouze

La partouze, avouons le, on y a toutes et tous un jour pensé. Et si cette soirée entre amis un peu ennuyeuse se transformait en partouze ? Mais voilà, même si quelques blagues grivoises font naître un peu d’espoir, vos attentes sont vite douchées par la triste réalité. La soirée s’enlise, c’est agréable mais tout sauf coquin. Et vers deux heures du matin on se quitte un peu éméchés mais juste bons amis. Non seulement partouze il n’y eu point mais en plus fatigue et légère ébriété réduisent très largement vos chances d’une partie de jambes en l’air avec votre officiel.le

Ok pour une partouze ?

Rassurez vous votre bonne petite salope nymphomane est là pour vous aider et je vais vous donner quelques conseils pratiques pour que la prochaine soirée entre amis tourne à la partouze.

Le bon nombre pour une partouze

Quelques une d’entre nous, bien plus même chez les hommes, fantasment sur une partouze type orgie romaine ou soirée bounga bounga à la Berlusconi. Ne rêvez pas ! Sauf à payer votre entrée dans un club libertin, votre première expérience de sexe en groupe sera très certainement un plan à 4. Les résistances sociales et psychologiques sont déjà suffisamment fortes pour ne pas aller chercher plus compliqué si l’on veut enfin avoir sa partouze à la maison.

Donc, on se limite au dîner à quatre. C’est, croyez moi, l’idéal. Ensuite ce sera bien plus facile d’ailleurs d’ajouter du monde. Mais c’est une autre histoire. Une histoire de partouze…

Diner à 4 donc, en général deux couples. Forcément, s’il y a dîner à 4 on est en présence de personnes qui s’apprécient Un minimum.

Plan partouze, compter les forces en présence

Je vais être claire et réaliste avec vous. Le secret de la réussite pour transformer une soirée sage entre amis en partie fine tient en un mot : unanimité. Il faut que tout le monde en ait envie et soit d’accord. Pfffft me direz vous tout ça pour ça ! Mais rassurez vous, à 4 l’unanimité est acquise facilement s’il y a majorité. Surtout quand on a deux couples. Il suffit que trois en aient envie et soient prêts à passer le pas pour que le quatrième se sente obligé et cède, en général de bonne grâce.

Et pour convaincre un troisième il faut faire confiance à l’adage qui dit jamais deux sans trois. Il vous faut donc un ou une alliée et 80% du job est fait. Procédons donc avec méthode. Autant vous le dire, l’allié.e sera difficile à trouver en cours de soirée. Ce n’est pas impossible mais si vous avez la possibilité de faire alliance avant la soirée vous gagnerez un temps précieux et accroîtrez vos chance de déclencher la partouze ce soir !

Méthode classique : votre conjoint est votre meilleur allié.

Indiquer à votre mec que : « dis donc Marina, elle est bien roulée non ? Si j’étais un mec je pense qu’elle me ferait bander… » permet de tâter le terrain.

Où, dire à votre copine : « Franchement, célibataire, Pierre, c’est pas un homme qui pourrait te plaire ? »

Bref, on tâte le terrain, on y va PROGRESSIVEMENT, si pas d’intérêt manifeste en face on ouvre le débat : « c’est qui les filles baisables dans nos amis ? »

l’idée, à ce stade, c’est de rester dans un cadre théorique. On ne propose pas une partouze, on parle de partouze.

Les cocktails améliorés, déclencheur de partouze

Attention, si un peu d’alcool désinhibe, l’excès va juste mettre fin à la soirée avant le début des réjouissances. Donc il faut être prudent de ce côté là et, si c’est vous qui êtes motivé.e pour le plan partouze je vous conseille d’être celle où celui qui s’alcoolise le moins. Par contre un très bon moyen d’amener l’ambiance partouze est de préparer un cocktail spécial aphrodisiaque en mélangeant un peu de produit spécial au cocktail du jour. Par la peine d’en parler à vos hôtes !

vous trouverez ici un choix assez complet pour hommes comme pour femmes. La plupart des aphrodisiaques en cellules ou liquides ou pilule passent assez inaperçus niveau modification du goût. Faut juste pas abuser niveau quantités. Attention avec les stimulants masculins type viagra quand même. Trop c’est cardio-vasculaire lent dangeureux.

S’il fait chaud je vous conseille aussi simplement mon gaspacho spécial partouze. Je vous assure que c’est indétectable et diablement efficace. Pour le Gaspacho on vous pouvez prendre une recette d’internet ou céder à la facilité en adoptant celui de chez Picard. Ma touche personnelle est d’ajouter x de dans la préparation avant de tout mettre au frigo deux bonne heures avant le début de la soirée.

Pour les cocktails il faut choisir plutôt des recettes qui rendent l’ajout du petit booster magique indétectable. Bloody Mary fait partie de mes préférées, mais piñacolada c’est aussi 👌 !

Le Jacuzzi, arme secrète du partouzeur

Bon forcément, là cela demande un peu plus de moyens et de logisitque. Mais sachez qu’un Jacuzzi est connu comme le meilleur déclencheur de partouze que vous puissiez imaginer. Par contre mon conseil est de bien choisir le moment de la mise à l’eau. Laisser d’abord agir un peu l’alcool et son petit booster magique.

Et bien sûr, qu’il y ait Jacuzzi ou pas, ce sera à votre complice et à vous de doser et synchroniser vos approches physiques des deux supposés récalcitrants pour que la magie opère et que la partie fine commence.

Un jeux de société coquins pour mettre en place la soirée partouze.

Bon, personnellement j’avoue ne pas avoir essayé. Mais il paraît que ça peut marcher. Alors pourquoi pas…

j’espère que cet article vous aura aidé. Je suis preneuse de toutes idées pour l´améliorer !

Plan cul virtuel et interactif

Mois d’août, maris en Vacances impossible a fuir. Envie d’un plan cul comme on a envie d’une bière après une journée de plage ensoleillée.

Alors mon petit cul et moi nous vous proposons un jeu d’été. Un jeu sans conséquence ni obligation d’achat aucune. De toutes façons je n’ai rien à vendre puisque mon corps je l’offre à qui je choisi…

Voici donc le jeu. J’écris un plan cul mais c’est vous qui, par vos commentaires me guidez. Je vous ferai parfois voter, et parfois j’ouvrirai non pas mes cuisses mais le champ des possibles… Les questions seront moins fermées. Compris ? Non ? Pas grave, ça viendra en jouant.

Ma journée de jeune femme adultère débutante vous est donc offerte. Nous repartons 4 ans en arrière lorsque je réalise que le Père de ma fille me trompe. Il est 2 heures du matin. Je n’arrive plus à dormir. Je suis en petite culotte et seins nus à la table de la cuisine. Et j’allume mon MacBook.

J’hésite entre :

– ouvrir Pages pour écrire mon chagrin et ma colère.

– regarder sur sex-TV un de ses vieux pornos des années 90 qui m’excitaient à mort quand j’avais 17 ans et que canal plus avait encore le monopole du film x

– m’inscrire sur un site de rencontre adultère pour me venger

– une autre solutions que vous me donnez.

A vous de me dire en commentaire la direction que mon petit cul (encore vierge de l’anus à cette époque) et moi allons prendre.

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Salope en micro short mode d’emploi

Micro short maxi plaisir

Le Havre, dernier plan cul adultère de salope en micro short que je peux m’offrir avant les grandes et terribles vacances. J’ai donné rendez vous à mon plan cul du jour sur la promenade le long de la plage du Havre. J’ai choisi un sportif et je compte bien le faire courir 🏃‍♀️ et suer à grosses gouttes 💦 avant qu’il puisse disposer de mon corps svelte de petite salope. J’ai mis pour l’occasion un micro short rose. Un très très micro short…Mes jambes n’en paraissent que plus longues et mon petit cul est tout ce qu’il y a de plus alléchant dans cet écrin satiné. Il fait très chaud 🥵 j’ai un T-shirt blanc ultra court qui laisse le ventre nu et que mes gros seins tendent de manière fort provocante.m

mon micro short et moi
Mon micro short et moi

Premier rendez vous en mini short

Serge est mince et grand avec des yeux bleus très pâles. Pour une fois je n’ai pas fait mystère de mon ouverture à un plan cul 🍑🍆dès notre première rencontre. Il sait que j’aime être dominée et que j’ai très envie de faire ma bonne petite salope en micro short pour lui. Alors forcément quand il me dit que le footing peut attendre et que là il a plutôt envie de me montrer sa collection de vinyles je n’envisage pas de refuser. En route alors me dit-il en m’assenant une claque sur les fesses. J’habite pas tout près mais ma voiture est juste à côté. J’ai une petite inquiétude à l’idée de partir en voiture avec ce type qui est quand même encore un inconnu. Mais je me raisonne car en vrai les agressions suite à des rencontres sur internet je sais que c’est un gros fantasme et qu’en réalité une femme a 90 fois plus de malchance de se faire agresser par un proche que par un inconnu. Et surtout j’ai très envie de me faire baiser comme une chienne et je vois a son regard que c’est bien ce qu’il a l’intention de faire. Je prends soin de bien rouler du cul dans mon micro short en me dirigeant vers le parking de la plage. Il mets son bras autour de ma hanche et je le serre un peu contre lui. Sa Mercedes fait bib bib. C’est une vieille classe S des années 90. Le modèle essence à huit ou douze cylindres. Gris clair avec les vitres tintées. Intérieur cuir un peu usé pas nickel mais propre. Il met le contact et baisse son short sur ses cuisses avant de démarrer. Ce qu’il attend de moi est assez évident et en bonne salope je ne me fais pas prier pour me pencher sur lui. Je me mets à genoux sur le siège passager et commence a caresser sa queue à travers le slip hyper tendu.

Il conduit d’une main. La boîte auto ça aide. L’autre est sur mon petit cul qui ne demande qu’à être malaxé. Mon micro short et suffisamment élastique pour qu’il puisse glisser ses doigts dessous. J’adore sentir ses doigts chercher ma chatte pendant que je suce sa queue. Il conduit doucement, mais ne voyant pas la route je suis forcément un peu inquiète. Loin de me bloquer, cela accroit mon excitation. Je suce avec application, à pleine bouche comme j’aime le faire, toute en langue et en succion. Je baisse mon micro short pour qu’il puisse mieux accéder à ma chatte déjà toute moite. Il me dit que j’ai l’air d’être une bonne petite salope. Je réponds : « T’as même pas idée… » et j’entreprends de lui lécher les couilles. Le doigt qu’il glisse dans ma chatte trouve instantanément mon bouton de plaisir. J’en couine de plaisir mais me maitrise pour continuer à le sucer sans hâte. La voiture s’arrête, il prend une télécommande dans le vide poches. Quelques secondes plus tard nous entrons dans un parking souterrain résidentiel. Il fait tout sans que sa main droite quitte mon cul. Ses doigts sont exactement là où il faut, j’ai l’impression qu’il me baise carrément juste avec ses doigts. Le pouce pressé sur mon anus commence à rentrer. C’est divin ! Il a garé la voiture en marche arrière et sa main gauche enfin libre se pose sur ma nuque pour contrôler la fellation. Il appuie et relâche pour imposer son rythme et la profondeur. Son pouce est à fond dans mon trou du cul de salope suceuse. Il me fait jouir avec deux doigts et le rythme s’accélère. Il éjacule abondamment en grognant. J’en ai plein la bouche. C’est tiède, salé et bon. J’avale évidement. Nous restons là longtemps dans le noir. Je garde son sexe mollissant dans ma bouche, il ne sort pas ses doigts de ma chatte ni de mon anus.

Au bout de quelques minutes c’est lui qui prend l’initiative : « je t’offre un dernier verre chez moi ? »

Comment refuser ? je me tortille pour renfiler mon micro short. Il est déjà sorti de la voiture et m’ouvre la portière en vrai gentleman.

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Post scriptum : j’adore les commentaires coquin ou même carrément cochons. Si vous voulez que la petite salope en micro short vous réponde n’hésitez pas, lâchez vous dans les commentaires.