Fessée déculottée J moins 8 ?

Monsieur Christophe,

Vous n’imaginez pas, je crois, combien votre proposition de fessée déculottée puis nos échanges de commentaires de vendredi dernier ont réveillé mon imagination et mon désir tout au long du WE. Quelle ne fut pas ma déception ce matin en ouvrant le blog après tout un dimanche et tout un samedi consacré à mon rôle de bonne mère bonne épouse de ne trouver aucun commentaire de vous. Nous ne nous connaissons pas et pourtant je n’ai cessé de penser à vous pendant ces deux longues journées. Jusqu’à rêver la nuit dernière de la fessée déculottée que vous m’avez promise. Je voulais vous réécrire mais, craignant que mon mail reste sans réponse je décide cet après midi de publier ce petit billet pour vous inviter à y laisser de nouveaux commentaires d’ici ce mardi 23 février si proche et si loin en même temps. Deux jours et deux nuits à Montauban que j’ai désormais diablement envie de passer en votre compagnie, du moins pour le temps en marge de mes rendez-vous commerciaux terriblement ennuyeux. Ne me laissez pas ainsi. Que puis-je faire pour vous convaincre de m’écrire à nouveau ? Pour vous je me sens prête à suspendre pour toute une semaine mon profil adultère sur Infidèle Messenger et à n’écrire qu’à vous. Vous me demandiez vendredi de vous convaincre à mon tour que je saurais mériter ma fessée déculottée. Je vous propose alors un petit jeu que j’espère vous trouverez pervers à souhait. Ecrivons nous chaque jours sur les commentaires de cet article. Faisons ensemble monter le désir l’un pour l’autre et voyons si nous parvenons à transformer cette semaine d’idylle épistolaire en une belle et sensuelle rencontre secrète dans votre appartement Montalbanais.

Vous avez déjà toute mon attention. Pour la fessée déculottée il vous faut mon petit cul. Pour l’obtenir ainsi que le reste de mon corps et un peu de mon âme faite encore un petit effort d’écriture.

Fessée déculottée j moins 7

Aie ! Je ne sais comment mettre en page cet article interactif. Les commentaires sont pratiques pour écrire mais moins pour les lecteurs qui suivent mes « aventures ». Je recopie donc votre commentaire dans le corps du post et y réponds.

15 février 2016, 15h43 commentaire de Monsieur Christophe :

 Ma chère Lucie,
Je constate avec plaisir que ma proposition d’une fessée déculottée a retenu ton attention. N’aie crainte je ne t’ai pas oubliée. Du moins pas encore. Je suis certain que nous allons nous entendre à merveille, tout du moins si tu es vraiment telle que tu te décris sur ce blog autant physiquement que dans ton comportement. Ne réserve pas d’hôtel pour ton séjour à Montauban car je pense que j’aurai largement de quoi t’occuper et te recevoir comme il se doit la semaine prochaine. Bien que soumise et menée à la baguette, puisque c’est ce que tu sembles aimer, je peux aussi t’assurer que tu sera choyée et que tu seras l’objet de toutes mes attentions. Ok pour ton jeu d’écriture quotidienne. Pour demain (ou ce soir si tu préfères), j’aimerais que tu m’écrives comment tu comptes te vêtir pour l’occasion. En échange je t’en dévoilerai un peu plus sur moi.

16 février, ma réponse donc à une semaine du rencard :

Monsieur Christophe,

Par prudence je réserve quand même l’hôtel pour le mercredi soir. Mais il reste fort probable que je sois mardi chez vous donc. Si je m’y plait il sera toujours temps d’annuler l’hôtel du lendemain…

Je me rendrai donc à votre appartement en sortant de mon rendez vous commercial à quinze petites minutes à pied d’après googlemap. Cela limite un peu les options vestimentaires. Sous mon tailleurs de marque mais un peu sage j’espère que la lingerie sexy que j’aurai choisie vous plaira. C’est encore l’hivers aussi je serai en bottes. Mais je songe, pour vous plaire, à emporter dans mon baise-en-ville une paire d’escarpins à talons aiguilles qui ira mieux avec mes véritables bas couture des grandes occasions. Vous parliez de m’offrir un collier un peu particulier. J’avoue qu’avec la fessée déculottée c’est ce qui m’a troublé dans votre commentaire. Je suis tout de même un peu effrayée par l’idée. Effrayée mais excitée à la fois. Terriblement excitée même !

Si vous avez d’autres idées du même type je vous en supplie ne me les dévoilez pas encore. J’aime être surprise autant que surprendre. A toutes fins utiles je mesure 1m76, pèse ce jour 63 kilogrammes et demi et fais un 85D.

Qu’aimeriez vous savoir d’autre de moi d’ici mardi prochain ? De mon côté je brule de savoir ce qui vous a poussé à me proposer cette fessée déculottée alors que vous ne disposez d’aucune photo de moi et ne me connaissez que par mes textes.

Fessée déculottée J moins 6

16 février 2016 Réponse de monsieur Christophe :

 Lucie,
Je suis un de tes fidèles lecteurs depuis presque un an maintenant. Aussi je n’ai pas besoin de photo de toi pour deviner à travers ce que tu dévoiles dans tes écrits que tu me plaira. D’ailleurs les mensurations que tu annonces ne sont pas pour me contredire. J’ai un peu moins de dix années de plus que toi. J’ai l’impression que nous accordons tous les deux une plus grande importance aux scénarios et à la mise en scène de nos rencontres qu’à la plastique des corps. Même si cela reste important. Pour ma part je suis assez sportif et ne pense souffrir d’aucune tare physique rédhibitoire. Je me suis décidé à t’écrire car je pense, sans me vanter, être à même de te faire progresser au niveau expérience sexuelle. Ce que j’ai lu de tes aventures est très excitant mais, si je puis me permettre, je trouves que tes amants (et toi) allez trop vite. Tu dis aimer la soumission mais tu ne prends pas le temps de la savourer comme il se doit. Comment le pourrais tu quand ton scénario type est une rencontre d’un soir suivi de quelques heures, parfois moins, dans une chambre d’hôtel. Si tu viens mardi soir prochain saches que je t’ai prévu un tas d’activités. D’ailleurs je t’ordonne de décaler tous tes rendez vous de mercredi au lendemain. Je suis certain que tu peux y arriver ! Fais cet effort ! Mon appartement te sera ouvert à partir de 17 pile. Tu as le code d’en bas, c’est le denier étage porte de droite. Ne frappes pas. Contente toi de gratter à la porte comme un petit animal docile que je veux que tu d’habitues à être avec moi.

17 février, ma réponse

Humm, j’espère que ces promesses ne sont pas que du vent. J’ai été pas mal déçue ces derniers temps par des forfanteries proférées en chatcam qui n’ont donné au final que des ébats désolants de banalité et qui plus est rapides. Parfois à la limite de l’éjaculation précoce ! Mais revenons à nous. Puisqu’il est question de fessée déculottée je n’oublierai donc pas d’en mettre une de culotte. Juste pour que vous puissiez me la baisser ! OK, je m’arrange pour déplacer mes rendez vous de mercredi et je pose un congé. Je serai donc toute à vous. Je croise les doigts et décroise les jambes pour ne pas avoir à le regretter. Comme le temps me semble long maintenant que j’ai décidé de vous rencontrer la semaine prochaine. J’ai beau savoir que chaque seconde me rapproche de cet instant et de ma fessée déculottée, j’ai aussi l’impression que c’est terriblement loin. Je voudrais tant qu’il n’y ait pas ce week-end à venir entre nous ! Je vous supplie de continuer à m’écrire d’ici là.

Fessée déculottée J moins 5

17 février 2016 Réponse de monsieur Christophe :

Aujourd’hui tu voudrais que le temps passe plus vite. Mais ne t’inquiète pas, tout vient à point à qui sait attendre. La chatte miaule, la chienne aboie, la jument hennit, bêle la brebis et couine la lapine. Je suis curieux d’entendre quel seront tes cris. Mais n’aies crainte, je ne suis pas violent, ni sadique. C’est bien de plaisir que j’ai l’intention de te faire hurler. Si tu sais te montrer obéissante tu auras en retour les plus belles étoffes les soies les plus douces et du cuir pleine peau au grain tendre et fin. En attendant de nous voir je t’autorise à te caresser un peu. J’aimerais que tu le fasses à côté de ton mari quand il dort tout en pensant à notre prochaine rencontre. Feras tu cela pour moi ?

Ma réponse donc le 18 février

Je l’ai fait, il devait être trois heures du mat. Je n’ai pas beaucoup de mérite car mon cher et tendre ronfle comme un cochon et dort comme une pierre. Mais je ne voulais pas qu’il se réveille alors j’ai quand même du faire attention. Pas facile de devoir mesurer chacun de mes gestes en me caressant. Surtout que, pensant à vous, j’imagine des choses qui n’ont rien de calmes. Cela m’a tellement mise en feu que j’ai presque eu envie de réveiller monsieur pour un vrai corps à corps pendant lequel j’aurais pensé à nous. Mais j’ai préféré n’en rien faire. J’essaie de me préserver pour mardi. Mais j’ai bien peu de craquer avant et d’accomplir mon devoir conjugal ce WE. Au moins si je fais cela vous aurez une vraie raison de m’asséner cette fameuse fessée déculottée.

Fessée déculottée J moins 3

Samedi 00h18 : Pas de commentaire de vous aujourd’hui. J’espère de tout mon cul que vous ne m’oublierez pas mardi. Maintenant que j’ai votre adresse, le code d’en bas et que je sais l’étage plus rien ne peut m’arrêter. Je glisse un doigt juste dans ma chatte en pensant bien à vous. Tout à l’heure, à côté de mon mari endormi je me caresserai et enfoncerai un doigt dans mon anus qui sera, je l’espère bientôt à vous. Il me tarde trop !

Fessée déculottée, c’es demain !

Lundi presque 10h, je trouve la réponse tant attendue :

Eh, oui, moi aussi je sais rester longtemps sans te répondre. Je voulais te faire languir. Tu dois apprendre que c’est bien moi qui décide où, quand et, surtout comment…Demain 17h donc. Ne sois pas en retard ! Et tu peux venir habillée comme tu veux. De toutes façons je t’ai prévu pas mal de costumes et de surprises pour nos deux jours ensemble. J’ai lu que tu courrais. Prévois donc une tenue de sport aussi car j’ai bien l’intention de te promener le long du canal du midi où se croisent les maîtres de chiens et de chiennes…

Ma réponse :

Monsieur Christophe, merci, merci, merci de ne pas m’avoir oubliée. Je ne m’étends pas sur la réponse car c’st bien sur votre lit ou votre parquet que j’espère m’étendre demain. Et puis si je veux gratter cette journée sur mon boulo en milieu de semaine il faut que je bosse un peu dès maintenant. Vous n’imaginez pas combien j’ai hâte de venir mériter ma fessée déculottée. Je ferai de mon mieux pour ne pas vous décevoir…

Dernier message avant ma fessée déculottée :

Bon ma fessée déculottée c’est dans moins de 24h ! Je crois que j’ai tellement fantasmé sur ce plan cul que j’ai peur maintenant d’être déçue. J’éteins le blog pour 3 jours donc. Je reviendrai vous raconter comment ça s’est passé. Je pense que je vais avoir du mal à m’endormir ce soir.

Sexcam, 5 raisons d’aimer OKSANA

Salut aux lecteurs de ce blog et un grand merci à toi, belle Lucie, pour la page que tu m’offres ici. Je voudrais l’utiliser pour dire à tous combien j’aime vraiment mon métier d’hôtesse Sexcam. Bien sûr, ne nous cachons pas derrière notre petit doigt (qui est bien mieux ailleurs…), je le fais pour l’argent. Mais il n’y a pas que cela, j’aime passionnément mon métier et je pense que cela se sent dans ma façon de l’aborder. La sexcam, pour moi c’est vraiment du sexe, j’y mets tout mon cœur ! Pour les autres filles je ne sais pas mais j’ai bien du mal à imaginer que l’on puisse tenir longtemps et avoir du succès en sexcam sur internet si l’on simule ou si l’on ne le fait pas dans la bonne humeur. Internet et la webcam ça met déjà de la distance alors pour vraiment prendre du plaisir et en donner je ne pense pas que l’on puisse simuler. En tous cas moi je n’y arriverais pas !

Mais j’imagine que vous doutez, vous vous dites : »Moui, encore une qui essaie de faire passer sa vessie pour une lanterne. La sexcam c’est un truc de naze avec des fausses actrices porno ratées et souvent moches qui veulent rester bien planquées chez elles. La fille elle veut te faire croire que c’est Laure Sinclair et tu te retrouve en chat avec Régine ! »

Laissez moi vous convaincre du contraire, voici les 5 raisons pour lesquelles vous devez absolument venir me voir sur ma SexCam.

Raison numéro 1 de venir voir ma Sexcam : Les costumes

Depuis toujours j’adore me costumer. Pour moi un strip-tease n’est réussi que si les habits sont choisi avec soin, si chaque centimètre carré d’étoffe ou de cuir est parfait et ultra sexy.

Raison numéro 2 d’aimer ma Sexcam : Ma chambre

Je fais de la Sexcam de chez moi. Cette chambre, ce lit, c’est moi qui l’ai aménagé ainsi. Alors bien sûr nous ne nous rencontrerons sans doute jamais en vrai, je ne vais pas vous mentir. Mais en vous connectant à ma sexcam vous pénétrez un peu de mon intimité. Vous êtes dans ma chambre, sur mon lit. Je suis toute à vous et rien ne saurait me distraire de ce moment que je consacre corps et âme à nous deux. Mon corps et, à défaut du votre au moins votre regard, votre voix, vos instructions.

Raison numéro 3 d’aimer ma SexCam : Je ne simule pas !

Si vous doutez encore de ma sincérité je pense qu’un petit zoom sur ma chatte humide devrait vous convaincre. Je mouille vraiment et cela se voit ! Bon, attention, des fois ça ne marche pas. Si vraiment vous êtes trop passif et ne m’aidez pas en parlant sur le clavier vous verrez tout de suite que je m’ennuie un peu et nous n’irons pas bien loin. Mais pour celui qui sait me guider, pour celui qui sait se laisser aller, nous prendre mutuellement au jeu, alors cela peut devenir très humide, mes doigts ou le gode glissent tout seuls et vous pouvez vraiment me faire jouir !

Raison numéro 4 d’aimer ma sexcam : Je vous appartient !

En show privé je suis toute à vous, rien qu’à vous, une poupée docile à vos ordres. Guidez moi, commandez moi ! Bouche, sexe et anus peuvent être à vous si vous savez vous y prendre avec moi.

Raison numéro 5 de venir me voir : Moi !

Je pense être plutôt agréable à regarder, jugez plutôt :

sexcam oksana
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En plus l’inscription ainsi que l’essais sont gratuits ici. Alors pourquoi vous priver ? A très vite !

Contribution anonyme

Allez, une fois n’est pas coutume, je copie colle un texte qui n’est pas de moi sur le blog. Merci à ce contributeur qui reste anonyme !

Pour la bonne forme et parce que je reste persuadée que c’est une activité respectable et un deal correct je mets un lien vers un joli site de sexcam :

Y a t’il un homme qui n’ait jamais fantasmé sur cette femme à l’allure stricte, que l’on imagine prude et gênée face aux tentations de la chair ? Celle ci, qui éventuellement, sent ses joues rosir à la moindre idée inconvenante. Est t’il simplement concevable que cette femme, sur un coup de folie décide de briser les barrières rassurantes de sa routine conjugale ?

Cilia, je l’ai rencontré sur un site bien peu recommandé pour les femmes convenues (copine de sexe).

Pourtant respectée et respectable en temps que directrice à son travail, une envie irrésistible d’exhiber son corps la tiraillait dans son intimité. Sous couvert d’anonymat elle offrait des images et fragments de son anatomie tout en savourant le désir immédiat suscité chez la gente masculine.

Nous échangions fantasmes et clichés, de plus en plus fiévreux. Il est vrai que Cilia était une belle femme, la trentaine passée, sportive et aux courbes généreuses. La blondeur de son carré mi-long parfaitement accordée à ses tailleurs ainsi qu’à une lingerie très élégante.

Car la belle avait l’esprit malicieux et essayait régulièrement d’insuffler une touche de folie dans son couple sans beaucoup de réussite. Elle restait un amour sacré et presque vénéré au regard de son homme.

Les pensées adultères de la belle épouse s’articulaient sur la sensation de transgression et sur l’envie de découvrir un plaisir nouveau et intense, presque violent.

La rencontre se fit lors d’un déplacement pour formation. Pour calmer son angoisse elle m’avoua avoir préalablement commandé un whisky au bar. Mme la directrice, dans son tailleur noir, le teint empourpré dès lors qu’elle sentait mon regard glisser sur elle. Sa fragilité était touchante.

Je lui proposais d’esquiver les regards indiscrets, ce qu’elle accepta soulagée.

Dans l’ascenseur je me rapprochais enfin d’elle, la main sur sa taille, je la sentais presque trembler.

Nous rentrions dans la suite après quelques pas bien silencieux dans le couloir.

Je la débarrassais de son manteau pour la voir les mains jointes, un peu crispée mais arborant un sourire timide. Après m’être avancé je posais ma main sur sa taille et la guidais à reculons vers le mur. Une fois acculée, je me saisis de ses mains et les plaquais contre le mur. Je voyais sa poitrine s’élever alors que sa respiration s’accélérait, je savais d’avance ce désir chez ma partenaire de s’abandonner.

Je plongeais ma tête dans son cou pour y déposer quelques baisers et chuchoter quelques mots à son oreille : « tu es à moi pour cette nuit », avec pour réponse un simple soupir de consentement.

Alors que je rendais leur liberté à ses mains, elles virent parcourir mon dos et appliquer une pression pour m’attirer à elle.

Mon sexe gonflé exerçait une pression de plus en plus importante sur son ventre. Ma mains gauche caressait doucement le sein droit à travers le chemisier alors que ma main libre se glissait vers la précieuse culotte de Cilia. Je souris en sentant une petite auréole humide.

Quant à elle, Cilia n’était pas en reste, ses mains migraient agréablement vers mes fesses avant de se poser sur ma bosse comme pour répondre à mes attouchements. Je fis glisser sa veste ainsi que son pantalon au sol et déposais un chaste baiser sur ses lèvres.

L’excitation apportée par ces agréables caresses avait emportée toute appréhension.

Je poussais la belle vers le lit, admirant ces jambes dorées sublimées par une culotte de dentelle blanche. Elle se laissa tomber à reculons en pouffant de rire. Je lui ordonnais d’ouvrir les boutons de son chemisier puis m’avançais en retirant veste et pantalon.

Une fois au pied du lit je retirait doucement la dentelle qui couvrait son intimité et passait mes doigts entre ses lèvres pour en constater l’humidité. Un fin duvet blond couvrait son mont de vénus, je ne pouvais résister à l’envie de goûter et de parcourir sa fente du bout de la langue. Mon désir était impérieux, je dégageait ma queue de mon boxer et enfilais silencieusement une protection.

Minaudant qu’elle avait presque froid, je m’affalais sur l’ingénue, profitant de son souffle coupé je guidait mon gland entre ses nymphes et m’enfonçais lourdement. Cilia poussa un cri de surprise et moi un râle de délivrance. Son corps délicat se tordait, sa respiration anarchique s’entrecoupait de gémissements.

Les bras enserrant sa nuque et son dos je ne me retenais pas. Sa tête rejetée en arrière Cilia vibrait sous mon assaut, des soupirs de plaisir franchissaient ses lèvres. Avec un plaisir vicieux je lui demandais ce qu’elle ressentait en trompant son mari, quelques instant plus tard son corps répondit pour elle en se crispant, ses ongles laissant leurs marques sur ma peau. Cette douleur et la satisfaction de voir ses hoquets de plaisir suffirent à me faire perdre le contrôle, après quelques vas et viens je râlais de plaisir et la rejoignais dans son orgasme.

PS :

J’ai un peu romancé tout cela.. je pense pas être très doué dans ce domaine. Ça ne s’en est pas tout à fait arrêté là.