Plan à 3, suite en chambre d’hôtel

Si vous avez raté le début, lisez d’abord la mise en place de ce plan à 3

A peine refermée la porte de la chambre Amandine se colle à moi pour m’embrasser le cou. Je l’aurais repoussée gentiment sans l’intervention élégante de Michel : »Allez y les filles, gouinez vous un peu, ne vous gênez pas pour moi, au contraire, je vais me servir un petit verre en vous regardant. Après tout vous avez une tournée d’avance il me semble. »

Il se dirige vers le minibar comme si tout était parfaitement habituel et naturel. Michel se sert un whisky et s’installe sur le canapé tendis qu’Amandine me pousse sur le grand lit. Sa langue fouille ma bouche et ses mains semblent être partout à la fois. Je ne sais pas si c’est l’effet de l’alcool ou si c’est de savoir que Michel nous regarde mais je me désinhibe enfin et répond à son baiser avec avidité ainsi qu’avec la langue. La bouche d’Amandine me semble minuscule. Sans doute que cette impression est accrue du fait que je n’ai jusqu’alors embrassé que des hommes. Habile elle trouve la fermeture éclair de ma jupe. Elle m’en débarrasse sans décoller sa bouche de la mienne. Sa robe fourreau me donne plus de fil à retordre mais, indulgente, elle guide mes mains vers le bouton du haut que je parviens à défaire sans arrêter de faire tourner ma langue. Pour moi c’est la première fois avec une fille et la sensation de tenir dans mes bras le corps si menu d’Amandine est assez déroutante. Cependant, de voir Michel dans le canapé à côté qui sirote tranquillement son Whisky en nous reluquant m’excite au plus haut point. Le corps d’Amandine ondule contre moi et nous poursuivons notre séance d’effeuillage jusqu’à nous retrouver entièrement nues. Amandine me titille le clitoris et, comme je ne veux pas être en reste j’aventure ma main entre ses cuisses. La sensation est très différente de quand je me caresse. Comparée à la mienne sa chatte me semble incroyablement étroite. Elle mouille bien, je n’ai pas de mal à y enfoncer deux doigts mais ils me semblent bien à l’étroit. J’ai aussi l’impression d’être aspirée et que sa chatte me suce littéralement les doigts. Je pense d’ailleurs que ce n’est pas une impression. Cette jeune asiatique semble parfaitement maitriser des muscles dont je ne soupçonnais même pas l’existence. De son côté Michel a sorti son braquemard de son pantalon et fini son verre cul sec.

« Hé les filles, faudrait pas m’oublier non plus ! » nous lance-t-il depuis le canapé.

Il ne faut pas me le dire deux fois, je m’écarte un peu d’Amandine et me dirige lentement à quatre pattes vers le canapé. La chambre est assez grande ce qui me laisse le temps de soigner ma démarche de chienne soumise. Amusée, Amandine me suit mais en avançant sur les genoux langue pendante et coudes repliés adoptant la position d’un animal bien dressé qui ferait le beau pour avoir une friandise. Je débarrasse Michel de son pantalon tendis qu’Amandine s’occupe d’ôter mocassins et chaussettes en fil d’écosse de notre troisième homme. Le plan à 3 va enfin pouvoir vraiment commencer.

Michel est aux anges, cela se voit. Mais il se comporte exactement comme je l’espérais : tout en contrôle sans se laisser dépasser par l’aubaine que constitue ce plan à 3 d’enfer.

« Hum, vous êtes vraiment deux bonnes petites chiennes bien dressées ! » nous flatte-t-il en nous caressant les cheveux alors que nous remontons lentement le long de ces jambes aussi poilues que nos chattes sont lisses et imberbes. Alors qu’Amandine commençait à le branler et approchait sa fine bouche du gland décalotté je la retenais et lui glissais à l’oreille : »Attends, rien ne presse, faisons le attendre un peu si tu veux. »

Fine mouche elle comprend instantanément où je veux en venir et se contente de petits bisous en haut des cuisses et à la base de la verge sans chercher à le sucer tout de suite. Cela me laisse le temps de déboutonner sa chemise en partant du bas, léchant son ventre puis son torse velu au fur et à mesure de ma lente progression vers son cou. Michel ne parle plus, il savoure l’instant caressant toujours nos tête comme si nous étions ses deux animaux domestiques. Il est parfait et, chose rare, j’ai envie de l’embrasser langoureusement comme un vrai amoureux. Je ne me gêne pas et il a l’air d’aimer car je sens ses deux mains maintenant dans mes cheveux. Amandine s’est frayé un chemin jusqu’à ma chatte pour me lécher copieusement. Sa fine langue nerveuse me fait tressaillir de plaisir et j’en gémi dans la bouche de notre amant. La langue d’Amandine fait merveille mais j’ai envie d’en donner plus à Michel. Après tout il s’agit d’un plan à 3, pas d’un plan gazon maudit. Je m’écarte doucement de la tête d’Amandine pour m’agenouiller au pied du canapé. J’ai besoin de reprendre un peu mes marque et de me retrouver en terrain connu. Pour cela rien de tel qu’une bonne vieille pipe des familles. La queue de Michel est dure et longue, bien au garde à vous et me voilà prise d’une irrésistible envie de sucer cette pine merveilleuse. Amandine a suivi le mouvement et nos bouches se retrouvent de part et d’autre de la colonne de chair turgescente. Nous jouons à aller et venir latéralement, nous embrassant à moitié partageant la queue de notre amant comme si nous sucions le même esquimau glacé.

-« Je prends les olives et toi la saucisse ? » me dit alors Amandine avec toujours cet accent forcé que je trouve un peu ridicule mais qui ne semble pas gêner Michel, bien au contraire. Il lève un peu de bassin pour se mettre plus à l’aise et passe une main sur ma hanche pour m’inciter à monter sur le canapé. Je m’exécute. Agenouillée en travers je suis effectivement en meilleur position pour gouter sa belle saucisse. Je peux vous assurer que c’est plus proche de la saucisse de Toulouse que de la Chipolata niveau diamètre ! Quel délice de sentir sa main ferme entre mes fesse au moment ou je le prend en bouche. Après la délicatesse du cunnilingus d’Amandine ses doigts fermes et inquisiteur pénétrant ma chatte me font l’effet d’une intrusion intensément excitante. Je serre bien les lèvres autour de son chibre et tends du mieux que je peux mon cul pour qu’il y introduise aussi le pouce. J’ai une vue de premier choix sur le visage d’Amandine qui entreprend d’aspirer délicatement une couille. toujours par terre elle se caresse elle même d’une main que je sais maintenant experte. Nous prenons notre temps dans cette configuration. Les vas et viens divers sont répétitifs et j’aimerais transcrire la longue durée de cette double fellation dans mon texte. Imaginez donc ma chatte trempée limée par votre majeur tendis que du pouce vous pressez contre mon anus qui petit à petit se détend. Voyez ma bouche qui englouti lentement votre verge. Vos couilles elles sont léchée puis aspirées par la bouche d’une belle chinoise toute menue qui se touche agenouillée sur l’épaisse moquette de la chambre d’hôtel. C’est tellement bon, parfait, enfin presque car vous avez envie d’un second Whisky.

-« Amandine, sois une bonne fille, ressers moi un verre ! »

Amandine interrompt son suçage de couilles et, docile, vérifie le contenu du minibar.

-« Lucie, tu veux un verre aussi ? Il reste un Whisky pour Michel et une Vodka ou un Gin. »

-« Hummf, non ça va pour moi, j’ai ce qu’il… hummmfff… faut… miummff… en bouche. »

Surtout j’ai envie de ne pas ajouter trop d’alcool aux deux Mojitos et de bien continuer à profiter de chaque instant de ce plan à 3 de folie !

Amandine remplie à nouveau votre verre de Whisky et vous le place dans la main. Elle s’est servi une vodka, en prend une gorgée qu’elle n’avale pas. Elle reprend vos couilles en bouche en prenant soin de ne pas perdre l’alcool. J’imagine que ça pique et chauffe un peu car votre main se crispe un peu sur mon cul. Mais vous portez votre verre à votre bouche pour tenir le coup.

Amandine m’embrasse à nouveau pour me transmettre une gorgée de Vodka. J’aurais voulu la garder aussi en bouche mais la tentation d’avaler est trop forte. Je profite de cet alcool fort. Une petite voix de publicité me susurre que l’abus d’alcool est dangereux et gnagnagna. Je me contrarie de cette pensée incongrue qui me déconcentre de ce moment divin. Alors je me remet à l’ouvrage pour encore sucer avec application. Je ne sais s’il reste suffisamment d’alcool sous mon palais pour que votre bite en soit chauffée. En tous cas votre majeur reprend son travail au fond de ma chatte. L’index bientôt le rejoint.

Putain ce que je me sens bien ainsi. J’ai l’impression que nous nous connaissons tous les trois depuis toujours et que nous sommes exactement en phase. Personne ne se presse. Je suce tranquillement, des fois je laisse un peu votre queue de côté pour embrasser vos cuisses ou votre ventre. Votre pouce entre et sort maintenant sans peine de mon anus et Amandine qui lèche toujours vos couille a joint sa main à la votre pour s’occuper de ma chatte. J’aimerais que ce moment dure des heures. Et, si ce n’est des heures en tout cas il dure longtemps et s’étire alors que la lumière du soir laisse place à la nuit dans notre chambre à la fenêtre ouverte sur la rue quelques étages plus bas. Il fait lourd en cette dernière semaine d’aout même en Bretagne.

Hélas toutes les bonnes choses ont une fin. Heureusement parfois elles sont suivies de choses encore meilleures ! Michel n’a pas encore joui mais il semble au bord de la rupture et n’a pas envie que les festivités déjà finissent. Comme il fait très lourd il propose une douche collective mais froide. L’idée nous enchante comme des enfants et nous voilà tous les trois sous la douche italienne à nous arroser joyeusement tout en nous caressant très tendrement mais en prenant soin que cela reste aussi chaste que possible. L’idée est de refroidir un peu nos ardeurs de hardeurs pour entamer la seconde mi temps dans les meilleures conditions possibles. Tous les échantillons de champoing et gel douche de la chambre y passent. Chacun savonne chacune. Je suis toute glissante et Amandine sent l’amande amère. Bien vite, trop vite, le désir animal reprend le dessus et nous voilà nous frottant l’entrecuisse sur vos jambes. Vous embrassez à pleine bouche mes beaux seins mais avez la présence d’esprit de régler le jet sur froid pour gagner un peu de ce temps que nous savons tous trois immensément précieux. Frais et propres comme des sous neufs nous nous séchons avec les grandes serviettes immaculées de l’hôtel. Amandine m’attire hors de la salle de bain pour me coucher sur le lit. Je suis sur le dos, elle aussi mais en équilibre sur mon ventre fraiche comme une jeune lavandière encore pucelle. Ces petites fesses contre ma vulve elle me semble peser moins qu’un oiseau tellement elle est petite et menue. C’est une autre histoire lorsque Michel et ses quatre vingt kilos s’allongent sur elle pour la prendre en sandwich entre nous. Heureusement le lit est moelleux et je m’y enfonce alors que lui s’enfonce dans la chatte d’Amandine qui laisse échapper un petit cri de douleur. J’ai un peu de mal à imaginer que la grosse queue que j’ai eu en bouche soit rentrée aussi facilement dans la minette si étroite d’Amandine. Mais passée la première douleur elle cri des ouiiiiii et des han han qui ne laisse pas vraiment de doutes sur le plaisir qu’elle prend. A chaque coup de butoir son cul pilonne mon vagin et la fraicheur de la douche me semble déjà un lointain souvenir. Mais il m’en faut quand même plus et je ne fini par réclamer un peu de mon du moi aussi : »Oh, il ne faudrait pas m’oublier hein !? »

-« T’inquiètes, ce soir il va y avoir de la bite à tous les étages ! » et, pour mon plus grand plaisir il joint le geste à la parole, trouvant enfin le chemin de mon sexe humide et, je le regrette un peu, plus vaste.

-« Ouiiii, j’adore ta bite, elle est bien grosse comme il faut ! » Je n’ai pas besoin de me forcer tellement ce que je dit est sincère. A défaut de venir du cœur je peux vous assurer que cela vient au moins du bas ventre. « Vas-y, encore, pilonne moi bien c’est trop bon » Le corps chaud d’Amandine entre nous restreint un peu mes mouvement et je dois dépenser deux fois plus d’énergie pour venir à sa rencontre à chaque coup de rein. A ce rythme je me retrouve trempée autant de mouille que de sueur. Mais comme maintenant c’est Amandine qui réclame il sort de ma chatte pour changer d’étage.

-« Allez, retour au premier étage, hummm, c’est toujours aussi étroit ici dites donc ! »

Difficile de traduire en onomatopée le cri que pousse Amandine tant cela tient à la fois du hululement de chouette que du couinement de truie que l’on égorge. En tout cas elle monte dans les aigus et se débat tout en articulant une suite sans logique de non, oui, non, non, han oui. Un peu vicieuse j’ai mis mes jambe entre les siennes et les maintient bien écartées pour faciliter la tâche de notre doux tortionnaire. Amandine s’agrippe à mes fesses et y enfonce ses ongles french manucurés. C’est un peu douloureux mais dans le feu de l’action j’apprécie beaucoup et je tiens le coup, la maintenant bien écartée et offerte à mon amant. Il la tringle maintenant sans ménagement mais elle ne s’en plain plus et ses gémissements ont maintenant nettement le son du plaisir qui monte. Elle hurle carrément en jouissant. Je pense à la fenêtre ouverte sur la rue passante. Même si on est au troisième étage j’imagine que nous ne passons pas inaperçus. Enfin il ne doit pas être plus de vingt deux heure trente, peut-être vingt trois. l’heure n’est pas déraisonnable.

Michel repousse Amandine sur le côté. Je constate avec envie qu’il semble encore plein de vigueur.

-« Dis donc, Lucie chérie, tu n’as pas été très sympa avec ta copine dit moi ! »

-« Heu, je l’ai tenue pour toi. »

-« Moui, n’empêche ce n’était pas très fair play. Ca mérite une petite punition ! Allez on se retourne vite fait ! »

Il me retourne et je me retrouve sur le ventre. Et le salaud ne me laisse pas le temps de réfléchir. Il me donne la fessée directement du plat de la main sans ménagement. Aie, ce n’était pas au programme ça ! Mais bon, pour être tout à fait honnête ce n’est absolument pas pour me déplaire.

-« Allez, Lucie, tu vas bien te faire pardonner ! »

Amandine prend place juste contre mon visage pour un cunnilingus forcé. Michel me fesse à nouveau.

-« Allez, je veux que tu la fasses jouir pour te faire pardonner. Si tu es bien sage alors tu auras une récompense, t’inquiète pas, je ne serai pas ingrat. » Il passe doucement un doigt sur ma chatte encore bien humide et ouverte.

Timidement je sors ma langue et m’exécute. La sensation est étrange, le goût ni bon ni mauvais. Mais les coups qui reprennent sur mes fesses et cette situation de contrainte m’excitent en réalité à mort et je lèche Amandine du mieux que je peux pour satisfaire mon maître. Amandine prend ma tête à deux main et presse mon visage sur sa jolie chatte intégralement rasée. Je sens la grosse queue dure se presser contre mon anus déjà distendu. La sodomie vient naturellement sans forcer. J’en hurlerai de plaisir si je n’avais la bouche enfuie entre une paire de cuisses fines mais musclées. Je suis complètement en nage. Amandine repousse enfin ma tête et se glisse sous moi au fur et à mesure des coups de butoir qui pilonne mon cul rougi par la fessée. C’est un plan à 3 mais j’ai l’impression qu’ils sont une douzaine à m’enculer à tour de rôle. Je perds totalement le contrôle. Amandine est maintenant sous moi, sa chatte frotte la mienne et je continue d’en prendre plein le cul. Je crois que je crie mais comme on a tous les trois largement lâché les décibels je ne distingue plus vraiment ma voix des couinements d’Amandine ni des grognement de Michel. Finalement il sort de moi brutalement, me repousse violement sur le côté et s’enfonce à nouveau dans le sexe étroit d’Amandine. Elle crie, serre les jambes derrière son dos pour le maintenir à fond en elle mais il se dégage pour pouvoir la pilonner à nouveau. Il finit pas se retirer, enlever son préservatif pour éjaculer sur son ventre bronzé. Je me jette littéralement sur elle pour coller mon ventre au sien et étaler le sperme entre nous. Fin du second round, nous sommes exténués, je dirais même complètement hébétés. A ce jour je dirais que je viens de vivre de loin le meilleur plan cul de ma vie.

Nous dormons quelques heures. Je me réveille vers quatre heure et prend une douche seule puis me recouche contre Michel qui, fort heureusement ne ronfle pas. J’ai vaguement conscience d’Amandine qui se lève un peu après moi et file elle aussi à la douche. Lorsque nous émergeons vers 8h il n’y a aucune gêne entre nous. Nous échangeons de langoureux baisers avec un peu toutes les combinaisons. Nous décidons de nous doucher à trois. Bien sûr je suce consciencieusement Michel. J’adore cette pipe du matin sous la douche. Amandine ne participe pas mais cela n’a aucune importance. Il n’y a plus de serviettes sèches et nous arrachons les draps pour nous sécher. Chacun retrouve ses habits et nous quittons la chambre pour la salle de petit déjeuner. Au moment de nous quitter comme de vieux amis Michel clos notre plan à 3 de cette phrase unique que n’aurait pas renié Valérie Trierweiler : « Tchao les filles, et merci pour ce moment ! »

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

6 réflexions au sujet de « Plan à 3, suite en chambre d’hôtel »

  1. Chère Lucie,
    Mâle de 25 ans, je souhaiterais avoir ton contact mail pour pouvoir échanger avec toi (en dehors de commentaires), te demander des conseils, voir se rencontrer un jour. J’essaie de m’entretenir et d’être élégant, je suis quelqu’un de cultivé et courtois, et je suis avec la même personne en couple depuis 6 ans (j’ai eu avant elle beaucoup d’expérience d’un soir au lycée). Seulement, je me pose un certains nombre de questions. Si au début de notre relation je continuais à séduire des femmes et à coucher avec elles, sans la mettre au courant, j’ai par la suite arrêté. Seulement je me rends compte aujourd’hui que l’envie me reprend, et je deviens obsédé par l’idée d’avoir une relation avec une trentenaire, par l’expérience supplémentaire qu’elle peut avoir et la possibilité de dominer une milf plus âgée que moi et bien formée m’excite énormément. Cette pratique internet étant nouvelle pour moi, et étant donné que je prends énormément de plaisir à te lire depuis un moment, je voulais profiter de l’occasion pour prendre contact avec toi.
    Au plaisir.
    Toni.

    1. Ascenseur oui, un classique quand même ! Toit d’immeuble jamais. Mais cela me fait penser à la chanson Lucy Jordan qui se termine sur un toit d’immeuble. J’en profite pour signaler que je préfère la version du Docotr Hook & the medecine show à celle de Marianne Faithfull

  2. Waou ! grandiose ! Tu es mon modèle Lucie, je pense être pourtant sexy, sportive et avec de beaux seins et j’ai moins de trente ans. Pourtant je ne trouve pas vraiment chaussure à mon pied (ni bite à mon cul) question plan cul adultère. Comment fais tu pour toujours tomber sur des supers coups ?! (Enfin si c’est pas un mytho complet…).

  3. Lucy, Lucy, Lucy !!!

    Toujours aussi palpitant, excitant. Tu donnes envie à te lire. A la fois chanceuse et désirable. Tu sais nous faire rêver !

    J’espère seulement un jour etre un des cheveux qui te croise.

    Au plaisir de te lire en attendant.

Répondre à Toni C Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>